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Jeudi 16 décembre 4 16 /12 /Déc 08:54

Quelques semaines après avoir rencontré Floriane et Bertrand sur le port de Douarnenez, Sébastien avait reçu un appel. Ils l'invitaient à les rejoindre pour partager un verre sur leport de Tréboul.

 

Ravi à l'idée de pouvoir se changer les idées à cause d'une masse de travail incroyable à cette période de l'année, il accepta leur invitation avec joie, et ils décidèrent de se retrouver au Bogan's, un pub non loin du port.

 

A l'heure dite, il pénétra dans l'établissement, et s'installa dans une alcôve reculée au fond du pub pour les attendre, un whisky posé dvant lui. Ils ne furent pas longs à arriver, mais ils n'étaient pas seuls. Une femme d'une cinquantaine d'années, légèrement rond mais très féminine, les accompagnait.

 

Elle se présenta comme étant Christiane, une amie du couple, et ils commencèrent à bavarder comme de vieux amis. Le courant passait très bien entre les quatre.

 

Christiane et Floriane dégageaient une grande féminité et beaucoup de sensualité, et elles paraissaient très complices, presque comme deux soeur.

 

Floriane, menue, avait un visage angélique, des traits fins, et un regard qui savait attirer et captiver le votre si vous n'y preniez pas garde. Vêtue d'un jean serré qui mettait ses jambes en valeur, elle portait un chemisier très léger, qui soulignait sa poitrine parfaitement proportionnée au reste des on corps. La quadragénaire dégageait une grande assurance et était d'une humeur fort agréable.

 

Chritiane était un peu plus enveloppé, légèrement plus grande, et portait une jupe et un t-shirt échancré qui soulignait ses courbes. Elle avait un visage avenant, au dessin sensuel, et des lèvres pulpeuses, comme une invitation au baiser. Elle semblait très sensuelle, et son décolleté laissait apparaitre le début d'un tatouage sur son sein gauche lorsqu'elle se penchait. Un peu plus timide que Floriane, il émanait pourtant de cette jeune quinquagénaire une sensation agréable de ne pas être jugé lorsqu'elle s'adressait à vous, et beaucoup de volonté.

 

Bertrand était un quinquagénaire bien bâti, aux épaules large et au torse puissant, mis en valeur par sa chemise ample. Ses mains étaient larges, marquées par le travail manuel. Il était technicien pour l'office national des Forêts, et Sébastien le croisait souvent lorsque ses compagnons et lui dégageait les chemins et petites routes pour pouvoir se promener à moto. Cet homme des bois était toujours de bonne humeur, ayant toujours un bon mot, et un côté rêveur et idéaliste qui lui donnait un optimisme quasiment à toute épreuve.

 

Ils restèrent à bavarder pendant un long moment, et, finalement, alors qu'ils quittaient le pub qui venait de fermerr, Floriane et Bertrand proposèrent à Christiane et Sébastien de passer chez eux prendre un dernier verre.

 

Ravis de pouvoir prolonger la soirée, tous deux acceptèrent bien volontiers, et ils montèrent en voiture, Sébastien prenant sa moto pour les suivre.

 

La maison du couple se trouvait non loin d'une plage, au bout d'un petit chemin de terre qui serpentait entre les arbres. Il s'agissait d'une petite maison typique, de plain-pied, avec un toit en ardoise et une grande véranda.

 

Une fois arrivés, ils entrèrent et leurs hôtes les invitèrent à rejoindre le salon, une grande pièce avec deux canapés, de grandes étagère couvertes de livres, et un poële à bois d'où se dégageait une odeur de feu fort agréable.

 

Ils prirent donc place sur les deux canapés. Floriane s'assit à côté de Sébastien et Bertrand à côté de Christiane. Ils reprirent leur conversation, entre rire et sourires, et l'atmosphère se chargea progressivement de sensualité. Un flot de musique classique accompgnait leur conversation. Les allusions se faisaient de plus en plus précises, et, la chaleur du poële à bois aidant, les vêtements se faisaient plus légers. Les deux hommes se retrouvérent en T-shirt, Floriane avait ouvert quelques boutons de son chemisier, et la robe de Christiane semblait contenir de plus en plus difficilement sa poitrine, qui semblait vouloir jaillir de son décolleté à chaque inspiration.

 

Ce furent les deux femmes qui franchirent le premier pas, alors que les hommes étaient passés dans la cuisine pour chercher les cafés. Ils retrouvérent les deux femme en train de s'embrasser tendrement, le chemisier de Floriane totalement ouvert cette fois, qui laissait apparaitre un soutien-gorge léger de dentelle blanche.

 

Les deux hommes s'assirent sans mot dire, posant deux tasses sur la table et conservant la leur pour le moment. Ils profitaient du sepctacle, échangeant des clins d'oeil complices. Les deux femmes se laissaient admirer et poursuivirent leurs ébats. Le t-shirt de Christiane fût bientôt disparu, dévoilant ses formes, et le tatouage sur son sein gauche, un dragon entouré de flammes, se dévoiler au grand jour, comme si son souffle donnait vie à la créature mythique.

 

Floriane caressait la poitrine de Christiane, leurs lèvres et leurs langues s'entrempelaient et elles échangeaient des regards chargés de désir. Les mains de Christiane disparaissaient sous le chemisier de Floriane.

 

Elles secaressèrent ainsi un moment, puis Christiane invita Floriane à s'allonger dans le canapé, lui retirant son jean par la même occasion. Sous le pantalon, elle ne portait qu'une culotte de dentelle blanche, coordonnée à son soutien-gorge. Pendant qu'elle caressait les jambes de Floriane, s'approchant progressviement de cette culotte, les deux hommes s'approchèrent. Sébastien s'assit sur le canapé, près du visage de Floriane, et déposa un long baiser sur ses lèvres soyeuses. Bertrand de son côté s'approcha de Christiane, lui caressant les fessses et les jambes sous sa jupe. Il découvrit qu'elle portait un string de satin avec ses bas, et le spectacle le ravit.

 

Relevant la jupe, il déposa un baiser sur la fesse droite de Christiane, qui laissa échapper un léger soupir en lui jetant un regard gourmand, alors qu'elle faisait glisser la culotte de Floriane le long de ses jambes. De son côté, Sébastien caressait la poitrine, le visage et les cheveux de Floriane. Les deux femmes invitèrent les hommes à retirer retirer leurs vêtements, et ils se retrouvèrent tous deux nus à côté des deux coquines, qui continuaient de se caresser mutuellement, Floriane guidant de ses mains la tête et les mouvements de Christiane qui venait d'entamer un tendre cunninlingus. Bertrand reprit place derrière Christiane, ses mains caressant ses jambes et découvrant un puits ruisselant entre ses cuisses. Sébastien de son côté, se retrouva rapidement avec le sexe entre les doigts de Floriane, qui lui lançait des regards de plus en plus gourmands entre deux gémissements provoqués par les caresses et les attentions de Christiane.

 

Floriane entama une longue et sensuelle fellation de Sébastien, son corps entier frémissant sous le plaisir que lui procurait sa complice. Bertrand, pendant ce temps, se masturbait tout en léchant le sexe de Christiane, dont le clitoris gonflé de plaisir faisait son apparition. Après quelques minutes, alors que Sébastien caressait sa compagne et que Christiane prolongeait son cunnilinugs et utilisait ses doigts pour exciter les deux orifices de Floriane qui n'en finissait pas de gémir, il sentit que la main de Christiane l'invitait de façon pressante. Il comprit immédiatement le message et présenta son sexe devant le vagin ruisselant. Il se sentit bientôt comme aspiré entre ces lèvres turgescentes, son pénis disparaissant entièrement dans ce sexe chaud et accueillant, provoquant un râle de plaisir de la femme dont le visage disparaissait entre les cuisses de sa compagne. Excités par le spectacle de ces corps emmêlés, tous les quatre se laissérent emporter par la sensualité et la volupté du moment. Leurs corps mouillés de sueur se caressaient, se goûtaient, se pénétraient, et ils ne fûrent pas longs à jouir de concert, les femmes d'abord, ce qui provoqua l'orgasme des deux hommes, l'un emplissant une bouche et l'autre un sexe de femme.

 

Brûlants de désir, ils se retrouvèrent bientôt dans les bras les uns des autres, continuant d'échanger des caresses et baisers, en attendant d'avoir retrouvé suffisamment de forces pour porlonger l'instant.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 15:03

 

Une fois franchie la porte, Sébastien se retrouva seul avec Sabrina dans une pièce qui devait servir de salle de repos au personnel du cabinet. Elle le guida jusqu'à un sofa disposé au fond de la pièce, lui lança un regard mutin avant de lui chuchoter à l'oreille:
- Ne bouge pas, reste là et fais-moi confiance, je reviens avec une surprise...

 

Elle abandonné le jeune homme seul dans cette pièce et il put détailler les lieux. Un meuble de cuisine avec un petit réfrigérateur, un four à micro-ondes et une petite plaque de cuisson. Un petit évier, une table basse avec quelques magazines féminins posé dessus. Il finissait de faire le tour de la pièce quand la porte se rouvrit et qu'il vit revenir Sabrina, en compagnie de Nathalie et de la jeune Isabelle. Nathalie était vêtue d'un simple peignoir attaché au niveau de la poitrine, et Isabelle d'une blouse blanche d'où dépassait une paire de bas. Toutes deux semblait un peu essoufflées et avaient le teint un peu rose.

 

Apercevant Sébastien posé dans le sofa, entièrement nu, elle ne parurent pas le moins du monde surprises ou gênées. Au contraire, elle fixait tour à tour son visage et son pénis, avec un regard gourmand.

 

Isabelle se passa la langue sur les lèvres alors que Sabrina la guidait vers le sofa, gardant une main posée au creux des reins de Nathalie, qu'elle embrassait maintenant à pleine bouche.

 

La jeune esthéticienne ne se fit pas prier pour venir s'agenouiller devant Sébastien. Sa blouse ouverte laissait apparaître une poitrine généreuse. Il sentit son érection se faire plus pressante encore, et un nouveau frisson le parcourut quand elle posa une main sur son sexe, le regard fixé sur cette verge tendue et gonflée de désir. Elle ne perdit pas de temps en bavardage, elle ne se concentrait que sur ce sexe qu'elle empoignait et pourléchait, l'engloutissant, tout cela tour à tour.

 

En même temps qu'il recevait ces attentions, il pouvait voir que Sabrina s'était agenouillée derrière Isabelle, et relevait sa blouse pour caresser de ses mains les jambes, les fesses et le minou de la jeune esthéticienne, lui accordant quelques attentions buccales sans perdre une miette de ce qui était en train de se produire juste au-dessus d'elle.

 

Nathalie venait de se débarrasser de la serviette et de grimper à son tour sur le canapé, intégralement nue. Sébastien avait une vue plongeante sur le sexe de celle-ci, qui venait tout juste de profiter des soins d'Isabelle, qui avait taillé la toison de la jeune femme en un simple triangle duveteux, à peine perceptible. Le spectacle était délicieux, et le jeune homme ne se fit guère prier avant de saisir les jambes de la jeune femme et de plonger sa langue entre ces lèvres déjà légèrement ouvertes par le désir.

 

Les jeunes femmes gémissaient, Sébastien râlait de plaisir. Leurs corps trempés de sueur et du fruit de leur plaisir s'agitaient de façon quasi spasmodique. Les quatre protagonistes échangeaient leurs positions, les jeunes femmes bénéficiant tour à tour des attentions des autres. Le bruit de leurs jouissances, leurs cris lors des orgasmes devaient retentir dans tout le salon, mais heureusement Sébastien et Nathalie étaient les seuls clients à cette heure de la journée.

 

Finalement, Sébastien se retrouva à terre, chevauché par Isabelle, alors que Sabrina se retrouvait accroupie au-dessus de lui et que Nathalie, qui avait découvert un double-gode Dieu sait où se l'était introduit dans le vagin et avait introduit l'autre extrémité dans l'anus d'Isabelle. Sébastien pouvait sentir la présence de cet objet qui lui paraissait immense dans les entrailles de la jeune femme à travers la mince paroi qui les séparaient, et cette sensation accéléra et décupla encore son plaisir.

 

Nathalie fût la première à jouir, emportée qu'elle était par la sensation qu'elle était pénétrée et pénétrait également Isabelle. Elle s'effondra à moitié, conservant encore en elle le gode qui, en ressortant du ventre d'Isabelle, caressa encore la verge de Sébastien, qui eut la sensation d'exploser au moment où il sentit un liquide chaud ruisseler du vagin de la jeune femme, presque au point de l'expulser de son sexe. Il éjacula de longs traits de semence dans le ventre de la jeune esthéticienne, sentant son sexe pulser en elle, dans cette caverne moite et douce, si tendre et moelleuse. Isabelle râlait et son corps frissonnait, comme saisi de spasmes incontrôlables. Excitée par le spectacle, Sabrina ne fût pas longue à les rejoindre, un flot de cyprine brûlante s'échappant également de son ventre pour inonder le visage de Sébastien à l'instant où elle s'effondrait sur lui, ne prenant appui que sur ses bras pour amortir sa chute.

 

Les quatre amants continuèrent à se prodiguer baisers et caresses pendant de longues minutes. Ils semblaient vouloir prolonger cet instant le plus longtemps possible, savourer ces moments de pur plaisir dans le silence absolu. Puis ils finirent par se lever, et se rendirent tous ensemble dans une grande cabine de douche, se masturbant mutuellement jusqu'à satiété , puis se savonnant et continuant de se caresser mutuellement avec forces plaisanteries.

 

Une fois rhabillés, les quatre libertins prirent un petit café dans la salle de repos, échangeant à nouveau quelques baisers bien sages après les instants torrides qu'ils venaient de partager, et Nathalie et Sébastien réglèrent leurs soins, sans oublier de reprendre rendez-vous à nouveau ensemble deux semaines plus tard, et prenant bien soin de ranger précieusement la carte de visite du cabinet dans leurs portefeuilles.

 

Décidément, ce mariage commençait sous les meilleurs auspices pour Sébastien, bien qu'il ne fût que témoin.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Mercredi 8 décembre 3 08 /12 /Déc 02:04

L'autre jour, une femme charmante et son compagnon, qui vivent une relation harmonieuse et libertine, m'a posé une question que j'ai trouvé particulièrement intéressante, et à laquelle je n'avais pas de réponse toute faite: comment un homme seul anticipe t'il sa première rencontre avec un couple?

 

Difficile de répondre et encore plus de réfléchir au comportement général d'un libertin célibataire. Comme pour les couples, les raisons qui peuvent amener un homme à découvrir et pratiquer le libertinage peuvent être multiples. Il y a mille et une raison pour devenir libertin, qu'il s'agisse d'une démarche d'épanouissement personnel, d'enrichissement sexuel, d'une quête de sensualité et d'érotisme, ou d'une recherche d'expériences avec ou sans lendemain.

 

Je ne pense pas être représentatif de tous les libertins, je tiens à le préciser, mais avant de répondre à cette question, je voulais parler de ma propre démarche, de ce qui m'a conduit au libertinage.

 

Comme beaucoup d'hommes, j'ai eu mon lot d'expériences, plus ou moins réussies. Mon couple a battu de l'aile après un accident, et mon ex-compagne a préféré se séparer de moi et me laisser gérer les conséquences de cet accident tout seul. La vie est ainsi faite, je ne lui en tiens pas rigueur, et si elle est plus heureuse ainsi, j'en suis heureux pour elle.

 

Une chose que je ne regrette pas, c'est sa jalousie, ou celle de mes précédentes relations sérieuses.. La jalousie, c'est à mon sens le poison du couple, qui dévore une relation à petit feu. Soit on se fait confiance, soit on ne le fait pas, mais dans ce cas, c'est aller droit dans le mur dès le départ.

 

J'ai toujours aimé les femmes. Le corps féminin est une merveille de la nature, avec ses courbes, ses volutes, ses volumes... Les hanches d'une femme, ses fesses, son torse, sa gorge, sont autant de manifestation sensuelles de la beauté du monde.

 

C'est ainsi que je vois les femmes, et ce que je perçois quand je les croise.

 

Ajoutez à cela de la conversation, de la finesse, de l'intellect, une voix agréable et un sens de l'humour à toute épreuve, et vous avez l'une des merveilles du monde.

 

Oui, mais le libertinage dans tout ça, me direz-vous?

 

Hé bien la raison est simple. Me retrouver célibataire a été en quelque sorte une révélation. Face à de grands changements dans ma vie personnelle et professionnelle depuis mon accident, j'ai dû me "reconstruire", ou plutôt, me redécouvrir et réapprendre qui j'étais.

 

J'ai réalisé que j'aimais les femmes, et que j'admirais la cohésion et l'unité dans un couple. Par curiosité d'abord, je me suis intéressé au libertinage en tant que concept. Puis j'y ai découvert un univers qui fait la part belle à la sensualité, à la volupté, à l'érotisme et au charme, et j'ai décidé de m'y adonner, de découvrir cet univers et les personnes qui fréquentent un certain site internet libertin.

 

La première chose qui m'a frappé, c'est le nombre invraisemblable d'hommes inscrits sur les sites libertins. Alors qu'il existe des sites spécialisés comme AdultFriendFinder par exemple, beaucoup de ces hommes semblent n'ête là que (pour parler crûment) pour le "cul", pour, selon les dires de couples avec qui j'ai pu échanger "tirer un coup vite fait" puis disparaitre et ne plus donner signe de vie.

 

Difficile quand on est un homme seul d'être reconnu comme étant un vrai libertin, de se démarquer au molieu de ces "morts de faim". Mais pas impossible, heureusement, comme mes échanges épistolaires avec quelques couples me l'ont confirmé.

 

Il existe également, en sus des sites internet libertins, des endroits (clubs et autres saunas), qui font la part belle au libertinage. Mais de ce que j'en ai lu, la perception par les couples des hommes seuls fréquentant ce genre d'endroits n'est pas très flatteuse. Je n'y ai pas mis les pieds en partie pour cette raison. Les autres raisons étant que je ne suis pas fan des endroits bruyants et de la foule. Peut-être essaierai-je un jour le sauna, qui sait? Mais les clubs, ça ne me branche pas vraiment. En plus, avec les séquelles de l'accident, je préfère éviter d'exposer mes cicatrices en public qu'elles soient visibles ou juste perceptibles.

 

Je préfère envisager le libertinage comme une forme plus intimiste du "cocooning". En petit comité, avec un couple, ou quelques personnes au maximum. Cela permet je pense un réel échange, plus profond et concret que l'exhibitionnisme des cliubs, même si je conçois que d'autres préfèrent ce type de lieux.

 

D'où la question. Quand on est un homme seul, et que l'on est entré en contact avec un couple libertin, comment savoir ce qu'il faut faire ou non lorsque la première rencontre se profile?

 

Encore une fois, je précise que ce qui va suivre n'engage que moi. Chacun se comportera de la façon qu'il juge la plus appropriée en fonction des circonstances.

 

En ce qui me concerne, je n'ai eu pour le moment qu'une seule rencontre vraiment concrète avec un couple, même si j'entretiens une communication épistolaire plus ou moins épisodique avec d'autres couples sur le net.

 

Je vais donc me permettre de relater cette expérience avec Mme et Mr (que je ne nommerai pas par souci de respect de leur vie privée), de mon point de vue d'homme célibataire, en espérant que cela alimentera un peu la réflexion de certains couples ou hommes, ou même femmes célibataires, quant à la perception des hommes seuls.

 

Le plus délicat, c'est de respecter l'intmité d'un couple existant. L'idéal dans notre cas, cela a été de nous retrouver dans un lieu public, un pub, pour se rencontrer et discuter dans un premier temps. Cette rencontre n'ayant pas de composante sexuelle à proprement parler, même si le sujet peut être abordé à tout moment, c'est déjà une tension de moins pour tout le monde. On peut percevoir cette rencontre comme une rencontre classique avec n'importe qui, un peu comme les rencontres faites sur le net via des forums de discussions liés à une pratique de loisir.

 

Dans mon cas, j'y suis allé très serein, comme j'allais avant mon accident participer à des rencontres ou balades entre motards organisées sur des forums. Nous nous sommes retrouvés au lieu et à l'heure dite, et nous avons eu un échange très constructif sur divers sujets, allant des voyages au sport, en passant bien sûr par nos perceptions respectives du libertinage. Point important,, il me parait primordial de rencontrer à la fois Mme et Mr, comme j'ai eu la chance de le faire. Ce seront eux qui décideront s'ils veulent donner suite, même si l'homme peut très bien décider de son côté de se retirer. Si le courant passe du côté de l'homme, il faut que ce soit le couple qui décide de la suite des évènements. Sans pouvoir me mettre véritablement à leur place, je pense que mettre la pression à un couple est tout à fait hors de propos, même si la réciproque est sans doute vraie.

 

D'autant que les couples ont un choix très étendu d'hommes disponibles, alors que les couples acceptant un homme seul sont sans doute plus rares.

 

Bref, une fois ce premier contact établi, et si le couple est d'accord, la première "rencontre" à proprement parler est l'étape la plus importante, et sans doute la plus stressante pour un homme seul. Mais sans doute pas que pour lui. Cela dépend déjà du lieu de la rencontre suivante. Si cela se passe dans un sauna, un club ou un hôtel, j'avoue que je ne sais pas trop comment je me comporterai et quelle attitude j'adopterai.

 

Le mieux pour une première rencontre est sans doute de se retrouver chez l'un ou chez l'autre. Mais que la rencontre est lieu chez l'homme ou chez le couple, les régles de la courtoisie s'appliquent toujours. Quelques compliments pour Mme, et aussi pour Mr, pourquoi pas un petit quelque chose pour les remercier de leur accueil (fleurs, chocolats, bouteille de vin) sont déjà un premier pas et une attention forcément toujours appréciée (même si le couple se rend chez l'homme).

 

Ensuite, entamer la soirée comme une soirée classique, discuter tranquillement autour d'un verre ou d'un petit plat, permet de briser la glace et de dissiper les éventuelles tensions de part et d'autre. Dans mon cas, je me suis rendu chez Mr et Mme et nous avons parlé de littérature, de voyages, et progressivement abordé le sujet du libertinage. En tant que "pièce rapportée", je ne voulais pas m'imposer, même si j'avoue que j'avais depuis un moment déjà envie de caresser les longues jambes fuselées de Mme sous ses bas noirs depuis de longues minutes, et d'embrasser ses lèvres délicates. J'ai donc attendu que Mr se rapproche d'elle et entame les caresses pendant quelques minutes avant de percevoir le signe de Mme, sa main se posant sur la mienne, pour caresser son bras et poser mon autre main sur sa jambe afinde la caresser. Ensuite, les indications de Mme et celles de Mr nous ont conduits dans leur chambre, où  nous avons partagé un moment très complice et très agréable.

 

Encore une fois, ce moment où un homme rejoint l'intimité d'un couple varie selon les individus. Pour ma part, je ne suis pas du genre à m'imposer. J'ai donc suivi les signes de Mme et de Mr pour essayer de lui procurer leplus de plaisir, par des caresses dans un premier temps, puis un cunnilingus dont j'espère qu'elle l'a apprécié. Ces instants troublants sont assez intenses pour un hommer seul, comme ils doivent l'être pour le couple également je pense. Ils doivent sans doute se demander si leur compagnon du moment ne sera pas une brutesans cervelle et sans finesse, ou au contraire un puceau refoulé. Mais pour l'homme qui participe à leurs ébats, il est difficile de ne pas être maladroit, et c'est sans doute le plus stressant. Mr connaissant déjà Mme, il sait ce qu'elle aime ou non, ce qu'elle tolère ou pas. Alors que pour moi, c'était une découverte. Mme m'a rapidement mis en confiance par ses gémissements et les mouvements de son corps, et j'ai eu le droit à l'une des plus belles, si ce n'est la plus belle, fellation. Je la ressens encore rien que d'y penser...

 

Bref, ces instants sont très intenses pour un homme seul, car il pourrait à tout instant commettre un impair ou décevoir les attentes du couple. Et il est difficile de passer outre ces appréhensions. S'impliquer dans les caressses, chercher à satisfaire Mme sans prendre la place de Mr, reste le point essentiel. Mais il est difficile de savoir où est notre place dans ces moments, et quand Mr m'a demandé si je souhaitais un préservatif (j'avais oublié les miens dans ma veste à l'étage au-dessous), j'ai eu l'honneur de prendre Mme alors qu'elle caressait son homme et le prenait en bouche, puis elle est montée à califourchon sur moi jusqu'à ce que nous jouissions tous deux quasi-simultanément, son orgasme provoquant le mien alors que Mr nous regardait. Cet instant m'a beaucoup touché, car j'ai senti que Mr me faisait suffisamment confiance, et que Mme semblait plutôt satisfaite.

 

Les instants qui ont suivi m'ont également beaucoup touché. Nous avons prolongé l'intensité du moment en caressant tous deux Mme, d'abord Mr, puis moi, sur l'ensemble de son corps, cherchant tous deux à lui procurer du plaisir, et j'espère que l'expérience a été aussi agréable, sinon satisfaisante, pour eux que pour moi.

 

Après l'acte, un homme seul peut aussi se sentir de trop. Il peut avoir la sensation que Mme et Mr souhaiteraient rester seuls et qu'il est temps pour lui de partir tout de suite. Mais dans notre cas, nous avons prolongé la soirée par un petit café pour moi et un thé pour eux dans le salon, reprenant la conversation en discutant de musique et de cinéma.

 

Puis, comme Mr travaillait le lendemain matin, je n'ai pas voulu m'imposer, et j'ai pris congé de mes hôtes pour regagner mes pénates. Ils étaient si beaux tous les deux ensemble, si complices, que j'ai préféré prendre congé pour les laisser profiter de leur intimité avant de rejoindre les bras de Morphée, lovés dans les bras l'un de l'autre je pense, et de prendre un peu de repos avant que Mr ne rejoinge son travail. En les quittant, je n'avais qu'une hâte, c'est de les lire bientôt ou de les revoir, pour partager d'autres conversations à bâtons rompus ou d'autres instants complices.

 

Voilà, ce sont mes réflexions du moment, c'est un peu la réponse à la question que m'a posée Mme, ou en tout cas les éléments de réponse que je peux lui apporter, ma petite contribution à cette réflexion sur un sujet qui peut paraître banal mais est sans doute primordial pour la compréhension mutuelle des couples et des hommes seuls dans le libertinage.

 

Mais au fait, comment les couples percoivent-ils les hommes seuls lors de leur première rencontre? Comment gérent-ils l'entrevue avec une célibataire? Quelles sont leurs attentes, leurs appréhensions? Car cela a une importance au moins égale à la perception de l'homme seul, voire plus, puisque ce sont bien souvent les couples qui sont prescipteurs de ce type d'échange...

 

Alors si les lecteurs de ce blog ont des éléments de réponse à l'une ou l'autre quesion, j'ai hâte de vous lire ;-)

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Mardi 7 décembre 2 07 /12 /Déc 13:31

Sébastien travaillait en Irlande depuis déjà plus de six mois. Il avait eu la chance de faire la connaisance de Ingrid et Natasha, deux jeunes femmes qui travaillaient dans la même ville que lui.

 

Ingrid était sa collègue de travail. Lui enseignait l'Anglais, et elle, d'origine Tchèque, enseignait l'Allemand. Natasha, jeune Allemande, exerçait dans un autre établissement, et elle était la colocataire d'Ingrid.

 

Toutes les deux étaient bien différentes. Grande, brune, la belle Natasha faisait tourner les têtes avec ses longues jambes fuselées et sa silhouette de danseuse, alors qu'Ingrid, fluette et délicate, arborait une crinière rousse, qui encadraient un visage délicat et deux yeux d'un vert intense.

 

IIls avaient l'habitude de partir se promener ensemble le week-end, Sébastien ayant emmené sa voiture lorsqu'il avait fait la traverrsée depuis Roscoff. Les deux jeunes femmes étaient ses passagères préférées. Il appréciait les moments où, entrant dans un pub, tous les visages se retournaient vers les deux jeunes femmes, et qu'ensuite les autres hommes le regardaient avec envie et jalousie. Cela flattait son ego.

 

Tous trois étaient devenus très liés au fil des mois. Ils mangaient ensemble, prenaient la route tous les samedis matins ou presque, pour ne revenir que le dimanche soir, et Sébastien finit par quitter l'apartement qu'il partageait avec trois étudiants Irlandais pour occuper la dernière chambre de la maison que partageaient les deux jeunes femmes.

 

Le jour de son emménagement, ils décidèrent de fêter cela en comité restreint, invitant quelques amis Irlandais pour un repas "continental".

 

A la fin de la soirée, alors qu'ils finissaient de ranger et de faire le ménage, Sébastien se désigna volontaire pour faire la vaisselle. Il s'installa donc, entendant les deux jeunes femmes discuter en Allemand dans le séjour attenant à la cuisine.

 

Ne parlant pas la languede Goethe, il en appréciait néanmoins la sonorité. Portée par les voix mélodieuses de ses colocataires, elle prenait des accents chantants, une rythmique envoûtante.

 

Ingrid vint le rejoindre pour lui donner un coup de main, pendant que Natasha se rendait dans la salle de bains pour profiter de la douche la première.

 

Sébastien lavait la vaisselle, puis passait les ustensiles, verres et assiettes à Ingrid pour qu'elle les essuie. Ils chantonnaient tous deux en rythme avec la musique que diffusait la radio. Des ballades irlandaises... Les paroles les transportaient tous les deux, ils partageaient un moment très agréables, se déhanchant en mesure tout en faisant la vaisselle.

 

Ingrid ne cessait de lui sourire, plongeant ses beax yeux dans ceux du Français dès que possible, collant sa hanche à celle de Sébastien, effleurant ses mains à chaqe fois qu'il lui passait un plat pour qu'elle l'essuie.

 

Une fois la vaisselle terminée, Sébastien retira la bonde de l'évier, et sentit la main d'Ingrid se poser sur son bras.

 

La radio diffusait une mélodie romantique, une de ces chansons dont les irlandais ont le secret, de celles qui vous transportent l'âme et font vibrer votre corps.

 

Il prit Ingrid par la taille, l'attirant contre lui, et elle vint se blottir dans ses bras, posant son doux visage dans le creux de son épaule.

 

Ils dansaient ainsi, tendrement enlacés. Il sentait ses doux cheveux en appuyant sa joue contre la tête de la jeune femme. Elle sentait si bon...

 

L'instant se prolongea longtemps, de longues minutes. Les mains de Sébastien enserraient la taille de la jeune Tchèque, dont les bras entouraient son cou, posé sur ses épaules.

 

Elle était vêtue d'une robe légère, ne portant pas de chaussures. Lui portait un jean et un simple t-shirt, à travers lequel elle pouvait sentir les muscles de son torse.

 

A la fin de la chanson, ils restèrent ainsi, immobiles, dans les bras l'un de l'autre, et finalement elle releva la tête, plongeant à nouveau son regard dans les yeux du jeune Breton, puis sur ses lèvres. Comprenant l'invitation, il vint déposer un baiser délicat sur les lèvres soyeuses qui s'offraient à lui, sur cette bouche légèrement entrouverte qui attendait de goûter à ses lèvres.

 

Leur baiser langoureux s'éternisa longtemps, très longtemps, comme s'ils voulaient rattrapper le temps perdu.. Elle se recula finalement, pour relever le t-shirt de Sébastien qui vola par-dessus sa tête pour finir sur un meuble de la cuisine. Ses doigts fins et délicats parcoururent son torse, jouant avec les poils qui le couvraient en partie.

 

Le poussant à s'asseoir, elle recula ensuite de deux ou trois pas, et entama une danse langoureuse, en rythme avec la chanson qui se déversait dans la pièce voisine. Sébastien profitait du spectacle, parcourant du regard la silhouette féminine et délicate de la rousse Tchèque, qui entamait un effeuillage très sensuel rien que pour lui.

 

Elle eût tôt fait de se retrouver en sous-vêtement. Un léger bustier de satin noir et un tanga assorti, avec une paire de bas noirs également. Pour Sébastien, grand amateur de lingerie, le spectacle était plus qu'agréable, et il commençait de se sentir à l'étroit dans son jean, quand il entendit la voix de Natasha depuis la porte menant au salon.

 

"Gutt, je vois que tu ne perds pas de temps ma chère... Mais n'oublie pas que dans cette colocation, on partage tout..."

 

Elle appuya sa déclaration d'un clin d'oeil en entrant dans la pièce à son tour. Elle portait pour tout vêtement une serviette enroulée autour de sa poitrine, dévoilant ces longues jambes qui devaient faire fantasmer la plus grande partie de leur entourage masculin.

 

Adoptant le même rythme que sa colocataire, elle vint la rejoindre sous les yeux ébahis de Sébastien, et elles entamèrent une danse plus que coquine, leurs corps se frôlant, se frottant... La serviette glissa sur le corps de l'Allemande, et Sébastien pût admirer son corps de rêve alors qu'elles se caressaient mutuellement.

 

Leurs mains expertes parcouraient chaque cenitmètre de la peau de l'autre, et Sébastien ne pût s'empêcher de se mettre debout et de faire un pas dans leur direction.

 

"Nein mein liebe. Non mon cher, laisse-nous mener la danse, tu ne le regretteras pas..."

 

Ingrid venait de se détacher de sa partenaire pour venir le rejoindre, alors que Natasha continuait de la caresser. La rousse se tenait debout devant lui et glissa ses mains sur les hanches du Français pour venir le débarrasser de sa ceinture et de son pantalon.

 

Il se retrouva alors vêtu de son seul caleçon devant les deux jeunes femmes, son érection bien visible sous le tissu. Apercevant la bosse, les deux jeunes femmes passèrent au même instant leur langue sur leurs lèvres, et échangèrent un regard gourmand.

 

Elle entamèrent alors une exploration à quatre mains du corps de Sébastien, qui se sentait transporté dans un rêve. Il frissonnait, ne parvenant pas à croire ce qui lui arrivait. Deux créatures de rêve qui le caressaient, massaient ses épaules, passaient la main dans ses cheveux, sur sa nuque, sur ses fesses et ses jambes...

 

Il ne resta pas longtemps inactif, ses mains parcourant alternativement les deux corps devant lui. Le bustier et la culotte d'Ingrid disparurent sans qu'il se soit rendu compte qu'elle les avait enlevé. Ou était-ce Natasha qui les lui avait ôtés? Il aurait été bien en peine de répondre à cette question, et son esprit était occupé à tout autre chose, à profiter de l'instant et à essayer de rendre aux deux jeunes femmes le plaisir qu'elles lui procuraient.

 

Après une dizaine de minutes, ils décidèrent de regagner le salon, où caresses et baisers se succédèrent pendant encore un long, très long moment. Sébastien finit par se voir repoussé dans un fauteuil, les deux jeunes femmes s'installant devant lui. Il se sentait si bien. Ingrid échangea un nouveau regard avec Natasha, et retira le caleçon au jeune homme, dévoilant un sexe dressé fièrement vers le ciel. Natasha le caressa doucement, tendrement, alors que Sébastien caressait leurs seins à toutes les deux.

 

Ingrid joignit bientôt sa bouche à la main de Natasha, prenant le gland de Sébatien entre ses lèvres, sa langue le parcourant alors que la main de son amie caressait ses bourses.

 

Il n'avait jamais ressenti un moment si agréable par le passé, et sa tête partit en arrière, un râle d eplaisir s'échappant de sa gorge. Ingrid le butinait, le léchait, le cressant, tantôt tendrement, tantôt plus fort, tantôt lentement, tantôt plus vite. Natasha n'était pas en reste. Elle caressait le corps de son amie, tournant le dos à Sébastien qui de son côté lui caressait les cuisses, remontant progressivement vers l'intérieur de celles-ci pour venir caresser son sexe déjà humide et ruisselant de plaisir. Ses doigts trouvèrent le chemin vers l'intérieur de son intimité sans aucune difficulté, et elle ondulait du bassin pour accompagner ces mouvements en elle alors qu'elle caressait les cheveux, les épaules et les seins de sa compagne.  Se reculant encore, elle sentit bientôt la langue de Sébastien venir se poser sur son petit trou et sur l'espace de peau entre son sexe et son anus. Cela provoqua en elle un long frisson savoureux qui lui parcourut tout le corps et elle laissa échapper un petit cri de surprise.

 

De son côté, Ingrid profitait des caresses de son amie tout en dégustant et savourant le sexe de leur nouveau colocataire. Un sexe dur et savoureux, d'où s'échappaient déjà quelques gouttes d'un liquide légèrement aigre et salé. Elle le dégustait comme s'il s'agissait d'une friandise.

 

Sous les assauts de Sébastien, ses coups de langue et le mouvement de ses mains sur son corps, Natasha eut bientôt un premier orgasme, qui se prolongea pendant un long instant de pure volupté, puis elle échangea de place avec Ingrid, maintenant de force Sébastien dans ce fauteuil. Le sexe d'Ingrd, masqué sous un fin duvet roux, avait un goût différent de celui de son amie, légèremen tmoins amer, et dégageait une fragrance entêtante. Sébastien se régalait, dégustant le fruit du plaisir de la jeune Tchèque alors qu'il sentait son sexe pris dans la bouche de l'Allemande, dans cette bouche chaude et soyeuse. Natasha de son côté savourait à son tour le sexe de leur amant, le caressant, glissant un doigt sous ses testicules gonflées de semence. Un de ses  doigts s'égara à l'entrée de l'anus du jeune homme, l'attendrissant jusqu'à ce que sa rondelle soit suffisamment assouplie pour qu'il puisse s'y frayer un chemin, bientôt suivi par un autre doigt.

 

C'était une autre première pour Sébastien, et entre le parfum entêtant du sexe d'Ingrid et les assauts experts de Natasha, il ne tarda pas à exploser dans la bouche de la jeune Allemande, qui conserva chaque goutte de la semence du Français dans sa bouche, sentant les jets de sperme venir frapper son palais et le fond de sa gorge, puis elle redressa la tête alors que son amant redoublait d'efforts dans et autour du sexe de leur colocataire qu'elle vint embrasser à pleine bouche, partageant avec elle la semence de Sébastien alors que la rousse Tchèque avait elle aussi son premier orgasme de la soirée.

 

Epuisé, repus, les trois colocataires se retrouvèrent avachis, leurs corps mélés baignant de sueur, un sourire satisfait sur leurs visages, les yeux pétillants de la promesse de moments encore plus intenses à partager dans un avenir proche, voire très proche. Finalement; ils n'auraient peut-être pas besoin de trois chambres dans la maison...

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Lundi 6 décembre 1 06 /12 /Déc 13:21

Franchir la passe délicate pour s'écarter de la côte ne prit quère plus d'un pett quatre d'heure, et une fois à la bonne allure, le voilier prit quelques degrés de gîte bienvenue.

 

Sébastien se délectait toujours du spectacle que lui offrait le corps de Ludivine, et il se mit à imaginer ses mains sur ce corps nu, offert à la caresse du vent et du soleil.

 

Ses pensées vagabondaient, alors que Ludivine s'était confortablement installée, avait frappé son écoute sur le taquet du bord, et se laissait totalement aller à la caresse des éléments, s'offrant au regard de son compagnon d'un jour.

 

Ils naviguèrent ainsi en silence pendant une bonne demi-here de plus, puis Sébastien descendit dans la petite cabine pour porter le point sur sa carte. Il appela donc Ludivine, à qui il confia la barre du voilier, avant de disparaitre quelques minutes.

 

Il espérait que l'excitation provoquée par le spectacle de son équipière vétue d'un seul paréo, sans le moindre autre vêtement, ne se voyait pas trop, mais il ne pouvait masquer son érection.

 

Depuis la cabine, il se retourna, et croisa à la fois le regard de Ludivine, mais aussi le spectacle de son entrecuise à hauteur d'yeux. Elle ne portait effectivement pas de culotte, et son regard plongeait directement sur l'intimité de la femme qu'il avait crue si sage lors de leur rencontre au Café du Port.

 

Il ne put pendant quelques instants détacher son regard de ce spectacle, sa gorge lui semblait sèche et il se passa à plusieurs reprises la langue sur les lèvres, s'imaginant goûter à cette intimité dévoilée, jusqu'à ce qu'il sentit le regard appuyé de Ludivine.

 

"Mais dites donc capitaine, seriez-vous un peu voyeur? Vous savez qu'il faudra me donner une contrepartie à ce spectacle qui semble vous intéresser au plus haut point?"

 

Elle riait de bon coeur, absolument pas génée du regard de Sébastien. Il sentit ses joues s'empourprer, et reporta son attention sur sa carte, le coeur battant la chamade, s'en voulant de s'être laissé surprendre, puis ressortit de la cabine, rejoignant Ludivine dans le cockpit.

 

"Alors capitaine, j'attends... A votre tour de me faire profiter de la vue..."

 

Elle l'observait avec attention, l'oeil malicieux rivé dans celui de Sébastien, ne le quittant que pour descendre vers la bosse que formait son sexe, emprisonné dans son bermuda de toile qui ne lui avait jamais paru si serré.

 

Un peu forcé, il entreprit de défaire sa ceinture maladroitement, mais elle se leva, après avoir bloqué la barre dans la direction voulue et relâché de l'écoute pour que le voilier conserve son cap, pour s'avancer vers lui.

 

"Non, non, pas comme ça... Si c'est ta première sortie naturiste, nous allons faire en sorte qu'elle soit sensuelle et mémorable... Et puis tu sais, le naturisme, c'est une chose, mais il y en a une autre que je pratique tout aussi bien... Que ce soit avec mon mari ou sans lui..."

 

Sébastien ne comprit pas immédiatement où elle voulait en venir, mais il sentit la main de Ludivine se poser sur son torse, et sa bouche se porter à son oreille.

 

"Laisse-moi faire... Laisse-toi aller, ça te plaira, j'en suis sûre."

 

Ses mains descendaient à présent le long de son torse. L'un de ses doigts suivit le sillon des poils de son torse pour rejoindre la boucle de son ceinturon, sous lequel il se glissa sans mal pour libérer la lanière de la boucle.Sans mot dire, elle déposa quelques baisers sur son torse, alors que dans le même temps, l'une de ses mains dégrafaient les boutons de son bermuda un à un.

 

Une fois ceux-ci défaits, Sébastien sentit son sexe se libérer de sous son bermuda, et venir effleurer l'un des doigts de Ludivine, provoquant en lui un frisson très agréable.

 

"Mais dites-moi capitaine, votre équipage semble vous faire beaucoup d'effet..."

 

Elle avait un sourire à damner un saint en prononçant ces mots. Sébastien se sentit fondre. Il avait envie d'embrasse ces lèvres charnues et pulpeuses qui se trouvaient à quelques centimètres seulement de son visage, mais son équipière ne semblait pas l'entendre ainsi.

 

"Non, non capitaine, j'ai dit que je voulais ma contrepartie d'abord..."

 

Sans ajouter un mot, elle fit descendre sa main sos le bermuda de Sébastien. Celui-ci se raidit l'espace d'un instant, qui s'abandonna aux careses expertes de la jeune femme.

 

"Donnons-lui encore un peu de vigueu, si vous le voulez bien..."

 

L'aidant à se lever, elle lui retira son bermuda, sans avoir lâché son sexe un seul instant, puis le fit se rasseoir.

 

"Occupe-toi de la barre du bateau, je prends la tienne en charge", lui déclara t'elle enfin, souriant à ce jeu de mots surprenant dans la bouche d'une femme si sage lorsqu'elle se trouvait à terre.

 

Sébastien eût dans un premier temps bien du mal à conserver un cap rectiligne. Chaque mouvement du bateau accentuait les mouvements de main de Ludivine, puis ils trouvèrent un rythme plus approprié à la conduite du bateau et aux caresses de la jeune femme.

 

Après quelques minutes, elle plongea à nouveau son regard dans celui du skipper.

 

"Je sais que tu en meurs d'envie depuis tout à l'heure... Et il te reste au moins une main de libre, non?

- Heu, oui, bien sûr...

- Alors? Qu'attends-tu pour t'occuper de ton équipière?"

 

Sébastien ne demandait pas mieux, et l'invitation fût aussitôt suivie des faits. Sa main caressa chaque centimètre carré de la peau qui lui était accessible, soulignant chaque courbe, s'attardant aux creux de ses reins, dans la raie de ses fesses, sur ses épaules et sur la courbe de son sein. Il la sentait vibrer sous ses caresses, et il se sentait fondre sous les doigts de la jeune femme, qui se servait également maintenant de sa langue et de ses lèvres pour venir titiller son gland et sa hampe qui luisaient sous sa salive.

 

"Attends, s'il te plait, j'ai une idée. Si on branchait le pilote automatique? J'aurai mes deux mains rien que pour toi... MAintenant que nous sommes suffisamment au large, pourquoi ne pas continuer?"

 

Ludivine le regarda, les yeux brilllants.

 

"Très bien Skipper, mais tu n'as que deux minutes, après, ce sera trop tard..."

 

Sébastien lui sourit, déposa un baiser sur son épaule et redescendit dans la cabine, actionna l'interrupteur du pilote automatique, puis ressortit en plein soleil pour retrouver Ludivine allongée sur le roof, jambes écartées, son intimité offerte à la hauteur du visage du jeune homme.

 

Sans dire un mot, il posa une main sur l'une de ses chevilles, l'autre sur son mollet sur l'autre bord, et s'installa en équilibre dans la descente, ses mains et son visage avançant sous la fine étoffe du paréo, jusqu'à ce que son visage fût enfin juste devant ce sexe féminin à la pilosité entretenue, qui luisait déjà de désir. Il continua de lui caresser les jambes, l'intérieur des cuisses, assurant sa position de son bras gauche. Sa main droite effleurait la peau diaphane, et Ludivine pouvait sentir son souffle brûlant sur son sexe.

 

"Oooooh, oui, Sébastien, goûte-moi, je t'en prie..."

 

Une fois de plus, le jeune homme ne se fit pas prier. Pendant que sa main droite continuait de caresser la jambe de la jeune femme, remontant toujours plus haut sur l'intérieur de sa cuisse pour rejoindre son intimité, sa langue vint caresser les grandes lèvres de Ludivine, dont il sentit le corps s'arquer sur le roof au moment du contact. Le goût du sexe de la jeune femme était légèrement salé, très parfumé et agréable. La texture de ses lèvres, chaudes et soyeuses, ainsi que la fragrance qui se dégageait de son sexe, enviraient ses sens, lui faisant tourner la tête.

 

Il embrassa à pleine bouche ce sexe offert, sentit le clitoris se dégager de sa gangue de chair et pointer à l'orée de son intimité, et il referma ses lèvres sur lui, le caressant du bout de sa langue puis du dessous de celle-ci, plus soyeux que le dessus. Dans le même mouvement, deux de ses doigts s'étaient insinués en elle, et son annulaire titillait la zone entre son sexe et son anus, effleurant la peau, la caressant. Ses deux doigts caressèrent l'intérieur de son sexe, elle les sentit bouger en elle, accompagnant de son bassin chacun de leurs mouvements, son souffle s'accélérant brutalement. Il sentait son plaisir ruisseler, le goûtait, savourait son clitoris, sa moiteur... Tout en elle n'était plus que désir et volupté, elle se mit à gémir doucement, puis de plus en plus fort à mesure que montait son plaisir.

 

Sébastien prit plaisir à faire durer le moment, afin de décupler chaque sensation qu'il lui offrait, jusqu'à ce qu'elle n'y tienne plus et l'invite à venir en elle. Elle se recula sur le roof, jusqu'au pied du mât, et se redressa, tournant le dos à Sébastien.

 

Celui-ci se hissa à son tour sur le roof et vint la rejoindre. Elle s'appuya sur le mât, les reins cambrés, son sexe offert à Sébastien qui vint une fois de plus se plier aux attentes de la jeune femme.

 

Elle sentit le sexe de son amant se glisser en elle sans aucune difficulté, lubrifiée qu'elle était par le plaisir qu'il venait de lui donner, et ils entamèrent des mouvements lascifs et amples de va-et-vient au gré des mouvements du voilier, accompgnant chaque vague d'un coup de rein, chaque mouvement de houle ou variation de gîte d'un autre, pendant de longues minutes.

 

Puis il sentit une main venir se poser sur sa hanche et entendit son amante l'inviter à aller plus vite, à accélérer le rythme, alors qu'elle même se mettait à onduler des hanches en un rythme plus soutenu, gémissant à chaque coup de rein comme s'il s'agissait de coups de butoir, d'un bélier dont elle cherchait à lui faire ouvrir la porte vers un orgasme qui les prit quasi simultanément, elle d'abord, puis lui quelques dizaines de secondes plus tard, alors qu'il avait ralenti le rythme pour accompagner la diffusion de l'orgasme de son équipière dans chaque cellule de son corps.

 

Repus, satisfaits, ils s'étreignirent à nouveau, et c'est enlacés qu'ils rejoignirent le cockpit, où Sébastien vint reccueillir avec sa langue le fruit défendu de leur plaisir, avant de remonter embrasser ses lèvres couleurs rubis et d'enlacer la jeune femme dans ses bras pour reprendre cette navigation qui leur promettait encore bien des surprises pour la journée, présageant d'autres journées de navigation plus que satisfaisantes à tous points de vue.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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