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Samedi 19 juin 6 19 /06 /Juin 18:16

Cette histoire est en cours d'écriture. Je ne sais pas encore très ben où mes personnages vont me mener, mais je vous la livrerai à mesure de son écriture. En voici le premier passage.

Les motards entre eux sont des gens très solidaires, ils partagent souvent les galères, et bien d’autres choses encore…

Ce mardi-là, en se rendant à son travail, Juliette avait été percutée par un automobiliste imprudent sur le périphérique. Celui-ci avait déboité sans clignotant, et elle n’avait rien pu faire pour éviter l’accrochage. Heureusement, à part quelques rayures sur la carrosserie, un rétroviseur cassé et quelques bleus pour Juliette, l’accident ne revêtait aucune gravité.
Néanmoins elle s’était rendue à l’hôpital pour s’assurer qu’il n’y avait rien de grave, car elle souffrait atrocement de la cheville. A chaque pas, une douleur fulgurante remontait le long de sa jambe.

Juliette travaillant dans le milieu médical, elle demandé à passer une radio pour s’assurer qu’elle n’avait pas de fracture. Elle avait tout de même une belle entorse et le médecin lui avait prescrit deux semaines de repos forcé et le port d’une attelle.

Rassurée, elle rentra donc chez elle, et essaya de s’organiser pour le quotidien. Quinze jours de repos forcé, avec une cheville douloureuse, un vrai calvaire pour cette grande jeune femme de 25 ans, qui aime danser et sortir avec ses amis motards. En plus elle vivait seule et son copain l’avait quitté deux mois plus tôt à peine.

Heureusement, elle pouvait toujours compter sur Sébastien. Il était toujours disponible pour aider les compagnons de route dans le besoin, et elle le soupçonnait d’avoir le béguin pour elle.

En plus, il lui fallait rédiger une lettre pour le constat, car elle ne l’avait pas signé. L’automobiliste n’avait pas voulu signaler l’absence de clignotant et le croquis qu’il avait réalisé pour schématiser les circonstances de l’accrochage n’avait aucun point commun avec ce qui s’était vraiment passé.

Juliette appela donc Sébastien à la rescousse. Heureusement, il était son propre patron, et pouvait donc organiser ses horaires à sa guise.

Moins d’une heure après l’appel de Juliette, Sébastien arriva à sa porte et elle l’invita à entrer. Il portait encore son costume sous sa veste de moto.

« Salut miss, désolé de ne pas être arrivé plus tôt, il a fallu que je m’organise pour pouvoir me mettre à ton service », lui lança-t-il avec un clin d’œil. Sacré Sébastien, il ne dramatisait jamais et essayait toujours de voir le bon côté de la situation. Elle lui expliqua un peu sa galère, et il s’inquiéta de sa santé. Une fois qu’il fût rassuré, ils entrèrent dans le bureau.

« Alors, qu’est-ce que je peux faire pour toi? Tu n’as qu’à demander, et j’exécuterai.
-Et bien, il ya plusieurs choses, mais en premier lieu le constat. Je voudrai ajouter une lettre, mais j’ai du mal à expliquer exactement ce que je veux dire. Alors comme tu maitrises mieux la grammaire que moi, je me demandais si tu pourrais m’aider?
- Aucun souci, explique-moi tout et je rédigerai ta lettre, mais en attendant, assied-toi, je vais nous faire un café. Explique, je t’écoute pendant ce temps. »

Juliette rit de voir un homme se diriger vers la cuisine pour elle..Mais après tout, Sébastien était un habitué des lieux.

Une fois le café terminé et la lettre rédigée, Juliette voulut se lever, mais sa cheville la faisait trop souffrir.

« Ma pauvre chérie, je peux faire quelque chose pour te soulager? », lui demanda-t-il.
-Non, pas vraiment, j’ai pris mes calmants, mais j’ai vraiment trop mal. Je ne sais pas comment je vas pouvoir me débrouiller toute seule.
-Attends, qui a dit que j’allais te laisser toute seule? Hors de question. Tu dois te reposer pour que ta cheville se remette d’aplomb. Alors laisse-toi faire, je reste pour t’aider si tu es d’accord.
-Tu es sûr? Je ne veux pas t’ennuyer.
-Si je te le propose, c’est que je peux le faire. Tu peux me faire confiance. Il faudra juste que je m’absente de temps en temps pour aller au bureau, mais je peux me connecter sur ta ligne pour avoir accès à internet, alors pas de souci. Je travaille souvent depuis chez moi. Et en ce moment, c’est plutôt calme. Je n’ai qu’un seul dossier en cours. »

Seb est interprète, alors il lui arrive très souvent de travailler hors de l’agence, tout comme ses associés.

« OK alors, si ça ne te pose pas de problème, ça marche.
-Allez, repose-toi un peu, je m’occupe de tout. Juste le temps de récupérer mon ordinateur portable et je reviens. »

Une heure plus tard, Juliette fût réveillée par une odeur très agréable. Seb était de retour et en train de faire la cuisine. Elle pouvait le voir depuis son lit. Elle n’avait pas remarqué qu’il était revenu.

En voulant se relever, elle se rappela qu’elle était quasiment nue, vêtue d’une simple culotte en coton. Sébastien, s’étant tourné vers elle en l’entendant se lever, s’en aperçut également et lui sourit simplement.
« La belle au Bois Dormant est enfin réveillée? », lui lança-t-il avec un clin d’œil, comme si la situation était naturelle, lui dans sa cuisine, elle en culotte dans la pièce d’à côté…

« Oui, oui. Mais, je ne t’a pas entendu rentrer.
-Tu avais oublié de verrouiller ta porte. D’ailleurs, ce n’est pas très prudent. Une belle jeune femme comme toi, tu devrais faire attention. »
Il avait repris un air sérieux, mi-paternel, mi-fraternel, et elle se sentit troublé par la remarque.

« Oui, je sais bien, mais j’étais épuisée.
-Avec ce qui t’est arrivé, n’importe qui serait épuisé. Mets-toi à l‘aise, je t’apporte le déjeuner. »

Troublée par la remarque de Sébastien et par la situation, Juliette se rendit à la salle de bain avec ses béquilles pour se rafraichir. Elle se sentait vraiment fatiguée, mais la présence de son ami la rassurait.

Elle s’installa devant le lavabo, se passa un gant de toilette mouillé sur le visage pour finir de se réveiller, et voulut se diriger vers la douche.

« Aie! »

Elle s’était fait mal en voulant entrer dans la baignoire. Sébastien, entendant son cri, se précipita pour venir voir.

Nue comme un ver, à moitié hors de la baignoire, ses béquilles à la main, Juliette se mit à rougir sous le regard de Sébastien, qui lui aussi ne pût cette fois cacher un trouble certain.

« Hem, heu, tu… tu… Je peux t’aider?
-Heu… Et bien… En fait, je… Je voulais prendre une douche, mais ça risque d’être un peu difficile.
-Attends, je vais t’aider. Enfin, si tu veux bien, bien sûr. »

Juliette ne savais quoi répondre… Elle ne s’était jamais retrouvée dans une situation si embarrassante. Elle n’eût pas le temps de répondre que Sébastien avait déjà enlevé ses chaussures et l’avait rejointe, lui prenant délicatement les bras pour la soutenir.

Ce contact inattendu les troublait tout les deux. Il l’aida à entrer dans la baignoire avec mille précautions.

« Tu es sûre que tu ne préfères pas prendre un bain, lui suggéra-t-il, un peu penaud.
-Oui, ce sera plus facile.
-OK, je te laisse, appelle-moi quand tu auras fini, je t’aiderai à sortir de l’eau. »

Alors que la baignoire se remplissait, Juliette se prit à penser à ce qui venait d’arriver. Le pauvre Sébastien, lui d’ordinaire si sûr de lui, s’était trouvé si embarrassé que cela la faisait sourire. Elle aussi d’ailleurs.

Le sourire au lèvre, elle prit le temps de savourer la sensation de l’eau chaude sur sa peau. Quel bonheur de pouvoir prendre soin de soi comme ça. Quelle chance d’avoir un ami comme Sébastien.

Elle somnolait à moitié lorsque Sébastien revint la voir.

« Le déjeuner de mademoiselle est prêt, si mademoiselle veut bien sortir de l’eau et me rejoindre. », lança-t-il avec un sourire amusé.

Finalement, la situation ne semblait pas le déranger tant que ça. Il semblait même s’en amuser.

« Attends un peu mon gaillard, tu vas me payer ça », songea-t-elle.

« Tu peux m’aider s’il te plait?
-Bien sûr miss, à ton service. »

Il s’empara d’une serviette, la lui tendit, et l’aida à se mettre debout, ruisselante.

« Attends, je vais t’aider à te sécher si tu veux. Tu n’y arriveras pas seule. »

Il la laissa prendre appui sur le lavabo pendant qu’il prenait la serviette et commençait délicatement à passer la serviette sur son corps mouillé. Mouillé, c’était bien le mot. La situation, un peu gênante au début, semblait réveiller chez elle une sensualité bienvenue après le stress de la matinée. Peut-être le contrecoup de la montée d’adrénaline de ce matin?

En tout cas, l’érotisme de la situation, les caresse du tissu en éponge sur sa peau, la présence d’un homme à ses côtés, alors qu’elle était nue et vulnérable, tout cela commençait à provoquer chez elle une certaine excitation.

Après être passé sur son dos et ses épaules, la serviette passa sur son ventre et sa poitrine. Sébastien se tenait debout, face à elle, et elle frissonnait sous le contact de ces caresses originales. Il passa sur ses seins, sa gorge, s’attardant sous chacun de ses seins pour en souligner le contour avec la serviette. Bon sang, il fallait qu’elle se contrôle…

Il se mit à descendre vers ses hanches, l’attirant de ce fait plus près de lui. Elle se sentait partir, les effluves de son désir lui envahissaient les narines. Il lui semblait impossible qu’il ne s’aperçoive pas de son état.

Tout à coup, elle le vit s’agenouiller et la serviette descendit le long de ses jambes. Elles sentaient celles-ci flageoler et il s’en aperçut.

« Attends, assied-toi sur le bord de la baignoire, tu seras plus à l’aise. Ce n’est pas le moment de perdre l’équilibre. »

Elle s’assit, et il reprit sa besogne. Il n’avait pas l’air troublé et semblait se concentrer sur sa tâche.

« Dieu que c’est bon… Qu’est-ce que c’est agréable », pensa-t-elle, les yeux mi-clos sous le flot de bien-être qui l’envahissait.

Les mains de Sébastien remontaient le long de ses mollets, prenant attention à ne pas la brusquer, effleurant à peine sa cheville blessée, puis remontèrent le long de ses cuisses. Elle sentit son plaisir couler entre celles-ci.

« Mon Dieu, il va s’en apercevoir, ce n’est pas possible! », songea-t-elle alors.

Effectivement, arrivé en haut de ses cuisses, il avait marqué un temps d’arrêt.
« Heu, tu permets que je finisse ou tu préfères t’en occuper? Je ne voudrais pas… »

Cette fois, il avait vraiment l’air embarrassé. Elle ne l’avait jamais vu rougir à ce point.

« Oui, vas-y, continue s’il te plait. », répondit elle, un sourire tendre sur le visage.

Il reprit alors ses mouvements, caressant ses cuisses, son corps, la serviette passant délicatement sur chaque partie de son corps, sur son intimité. Elle sentit le plaisir monter en elle. Elle allait jouir sous ces caresses impromptues. Elle essaya de se retenir, de se maitriser, mais elle ne pût résister plus longtemps et se contracta sous l’effet d’un plaisir fulgurant, puis laissa échapper un soupir, et le regarda tendrement, droit dans les yeux, un léger sourire reconnaissant sur le visage.

« Merci Séb. Merci infiniment. Tu es vraiment doué de tes mains tu sais.
-Heu, oui… J’ai vu ça. Je suis désolé, mais en même temps, je suis ravi que ça t’aie plu. Je t’a    voue que je ne m’y attendais pas. »

Ca, c’était du Séb tout craché! Le mec hyper serviable, disponible, mais qui n’attendait jamais rien en retour. Comment un mec comme ça pouvait(il être toujours célibataire, elle ne l’avait jamais compris, mais en même temps, elle réalisa que jusqu’à ce moment, elle l’avait toujours considéré comme un véritable ami, un peu comme un grand-frère. Et on ne s’intéresse pas à un grand-frère comme amant potentiel.

Elle se pencha en avant et déposa un baiser sur sa joue, très près de ses lèvres. Elle était hésitante, troublée. Elle ne savait pas comment réagir. Et lui non plus vraisemblablement.

« Séb, ta chemise est trempée… Tu devrais l’enlever.
-Ah, ça c’est quand j’ai commencé à te sécher, tes cheveux ont dégouliné dessus. »

Sans ajouter un mot, elle avancé les mains et les posa sur le torse de son ami.

« Laisse-moi faire, on va la mettre à sécher. »

Ses mains se posèrent sur le premier bouton, son regard planté dans celui de son ami, qui rougit encore plus, ce n’est n’aurait pas cru possible.

Elle défit les boutons un à un, révélant un torse ferme, velu mais pas trop, juste ce qu’il fallait pour souligner la virilité de l’homme. Puis elle ouvrit la chemise, fit glisser les manches pour la lui retirer, et ce faisant, sa poitrine se retrouva presque à toucher le ventre de Sébastien, son visage à quelques centimètres de sa peau d’homme. Elle vit distinctement celui-ci déglutir et laissa l’instant se prolonger. Il était là, debout devant elle, la chemise baissée sur les poignets, immobile, et la regardait fixement, un regard à la fois tendre et un peu effrayé.

Sans ajouter un mot, elle ferma les yeux et déposa un baiser sur ce ventre musclé. Il n’était pas une force de la nature, mais son ventre était bien plat, parfaitement dessiné, avec des poignées d’amour appétissantes. Les mains de Sébastien se posèrent sur ses épaules pour lui redresser le visage et ses yeux plongèrent dans les siens.

« Juliette, tu es sûre de savoir ce que tu fais? », lui demanda t’il, L’air un peu inquiet, mais en même temps elle sentait qu’il en avait terriblement envie lui aussi.

« Oui, laisse-moi faire. », répondit-elle, sans rien ajouter de plus.

Ses mains se posèrent alors de chaque côté de cette poitrine, passèrent sur ses pectoraux, sur ses hanches, et vinrent se poser sur sa ceinture. Elle sentit son ami se raidir, encore incertain, puis elle ouvrit la boucle de sa ceinture. Elle percevait déjà une belle bosse se formant sous son jean, et elle entreprit d’ouvrir celui-ci, révélant effectivement une érection de taille plus que respectable sous un boxer bleu.

Descendant son pantalon jusqu’aux chevilles, elle en profita pour caresser de sa langue les cuisses et les mollets de Sébastien, et aperçut une grande cicatrice courant le long d’un de ses mollets.

Elle n’avait jamais vu Sébastien porter un short ou un bermuda, et lui demanda alors ce qui lui était arrivé.

« Moi aussi, j’ai eu un accident de moto il y a quelques années. J’ai dû être opéré plusieurs fois pour pouvoir conserver ma jambe et marcher à nouveau normalement. »

Elle n’en avait jamais rien su, mais la cicatrice était très longue, courant du genou à la cheville. L’accident avait dû être d’une violence rare. Elle passa ses doigts sur cette balafre, continuant à caresser les jambes de son ami, mai l’excitation du moment commençait à retomber après cette courte interruption.

Sébastien semblait gêné, le pantalon sur les chevilles. Son envie avait disparu avec l’évocation de son accident.

« Ca a vraiment dû être terrible pour lui », pensa-t-elle.

« Ecoute, il vaut peut-être mieux qu’on arrête là, avant de faire une bêtise. Je veux dire, je ne te rends pas service pour obtenir une faveur quelconque, je ne voudrais pas profiter de la situation. Et puis, le déjeuner va refroidir, »lui dit-il, l’air penaud.

Elle lui sourit, l’air un peu déçu, et accepta son aide pour se lever et s’habiller.

 

A SUIVRE

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Samedi 19 juin 6 19 /06 /Juin 17:54

 

Une nouvelle première fois

 

Pourquoi nouvelle ? Parce que si je ne suis pas un débutant absolu dans les plaisirs de la chair, c’est la première fois que je prends contact  sur le net pour trouver une partenaire d’une nuit.

 

Séparé depuis plusieurs mois de celle que j’aimais, j’ai décidé que ce serait l’occasion de profiter un peu de la vie, de découvrir de nouvelles choses, des sensations jusqu’alors inconnues.

 

Et voilà, le profil créé, il ne reste plus qu’à prendre contact ou attendre qu’une femme prenne contact avec mon profil, en toute discrétion.

 

Quelques jours plus tard, je reçois un premier message sérieux après quelques premières prises de contact sans résultat. Nous dialoguons quelques minutes, les esprits s’échauffent, et le verbe s’enflamme. J’ai l’impression que tu es dans la pièce à côté de moi, de sentir tes mains courir sur mon corps, ta bouche affamée parcourir mon torse et venir s’attarder en compagnie de l’une de tes mains sur mon sexe qui connait sa plus belle érection depuis bien longtemps. Ton autre main s’affaire autour de ton intimité, bientôt rejointe par la mienne que tes doigts experts guident pour te donner le plus de plaisir.

 

Nos esprits s’échauffant, nous envisageons de passer à la vitesse supérieure : une rencontre en vrai, dès le premier soir. Nous en parlons, voyons si cela est possible, ce que nous recherchons tous les deux, et tu finis par me faire une proposition à laquelle je ne m’attendais pas : un plan à trois avec ton compagnon qui nous regarde ou qui participe à nos ébats. D’abord un peu hésitant je l’avoue, je finis par accepter : c’est un fantasme que j’ai toujours eu, comme beaucoup d’hommes, et cette opportunité me tente énormément. Mais nous nous accordons sur une rencontre rien que tous les deux dans un premier temps. Ce sera l’occasion de nous découvrir mutuellement, et posera les bases pour une expérience à trois plus réussie.

 

Ne pouvant pas me rendre chez toi, je te propose de venir me rejoindre sur mon bateau cette même nuit. D’abord partante, ton compagnon te rejoignant nous décidons de reporter au lendemain. Avec l’excitation d’une journée d’attente, le plaisir n’en sera que plus grand. D’ailleurs, tu m’envoies une photo pour me faire patienter, photo plus qu’alléchante et qui me fait beaucoup d’effet.

 

Pour le lendemain, nous nous mettons d’accord : tu viendras en jupe et portant bas et porte-jarretelles uniquement, un sage chemisier sans rien en-dessous. Quant à moi, je t’attendrai sans le moindre sous-vêtement, vêtu de mon pantalon et de ma chemise.

 

Toute la journée, chacun de son côté, nous pensons à ce que sera cette nuit. Nous avons envie de sexe tous les deux, et l’excitation de l’inconnu me rend la concentration difficile au travail.

 

Enfin, la journée se finit. Il est 22h30, l’heure de notre rendez-vous lorsque j’arrive sur le bateau. Tu n’es pas encore arrivée, alors j’en profite pour finir d’installer notre nid pour la nuit : couvertures, serviettes puisque tu m’as prévenu que tu mouillais abondamment, préservatifs… Tout est prêt lorsque tu te présente en haut de la rampe d’accès au ponton.

 

Depuis le bateau, je te regarde descendre cette rampe, le vent plaquant ta jupe sur tes cuisses à chacun de tes pas, soulignant le galbe de tes jambes. Déjà, je sens le désir monter ne moi, et bien que libéré de toute autre entrave, mon sexe commence à se sentir bien à l’étroit sous l’étoffe de mon pantalon.

 

Sans un mot, je t’invite à monter à bord, et je te prends dans mes bras dès que nous sommes entrés dans la cabine. Mes mains sentent la chaleur de ta peau à travers le tissu de ton chemisier, ma main s’égare vers la cambrure de tes reins, et sous mes doigts je sens la promesse tenue, celle du porte-jarretelle, mais point de culotte semble t’il.

 

De ton côté, tes doigts défont un à un les boutons de ma chemise, découvrant progressivement mon torse. Ta langue pointe entre tes lèvres, comme la promesse d’une gourmandise insatiable.

 

Ta main descend le long de mon torse et dégrafe un à un les boutons de mon jean. Je sens mon  membre prêt à jaillir à la rencontre de ces doigts, mais tu ne lui en laisse pas l’occasion, préférant le palper à travers le tissu sur toute sa longueur, lentement, en profitant de chaque instant. Ton sourire trahit ton envie et à l’invitation de mon regard, tes mains se glissent dans mon pantalon et saisissent mon vit dont une première goutte de lubrifiant s’échappe déjà.

 

Ta main me caresse lentement, et pendant ce temps, je prends les devants aussi de mon côté, palpant un à un tes seins par-dessus ton chemisier, puis défaisant les boutons de celui-ci pour dévoiler une poitrine ferme et aux tétons déjà durcis par le désir.

 

L’une de mes mains te caresse le sein gauche, pendant que l’autre vient se placer sur ta hanche, se glissant le long de ta jupe pour se glisser en-dessous, remontant le long de ta cuisse en un long et suave effleurement. Ma  main atteint ton entrecuisse et je sens à l’humidité palpable que ton désir est aussi intense que le mien. Je te caresse l’entrejambe, doucement, puis mes doigts se mettent à pianoter plus frénétiquement, provoquant chez toi un délicieux frisson. Ton regard s’illumine et ton sourire s’élargit comme le plaisir t’envahit.

 

Tu ne tiens plus, et moi non plus. Impossible de retenir cette envie bestiale, cette faim de sexe et de volupté.

 

Tu t’empares de moi, me procure des sensations inconnues. Ta langue moelleuse vient s’enrouler autour de ma verge, la parcoure de haut en bas, ta bouche avide l’engloutit presqu’entièrement en même temps que ta main le caresse de plus en plus fort, variant la pression sur mon membre fièrement dressé… Ton autre main caresse mes bourses durcies par le plaisir, glissent sur mon périnée et titillent mon petit trou. Je ne connaissais pas cette sensation liée à la caresse entre mon sexe et mon anus, et je me régale, je savoure ces instants et je sens ma sève monter, mon sexe se met à vibrer comme je tente de retenir ma jouissance pour faire durer ce plaisir. Je te fais comprendre d’un geste que je suis sur le point de venir, ton regard croise le mien et tu hoches doucement la tête en plissant les yeux, comme pour m’inviter à venir dans cette bouche vorace. Ma semence jaillit en quelques saccades de bonheur intense, je râle de plaisir et je t’entends faire un « Mmmmmh » de plaisir comme mon sperme envahit ta bouche. Tu me regards, te redresse vers moi et ma bouche vient à la rencontre de la tienne, pour partager le goût de ma semence. Je ne connais pas le goût que cela peut avoir. Légèrement salé et amer, un peu pâteux, mais pas désagréable.

 

Pendant ce temps,  mes doigts s’affairent en toi et je sens ta main qui excite ton bouton. Tu ruisselles de désir, je sens ton plaisir couler sur mes doigts et je me pourlèche entre deux caresses intimes. C’est à mon tour de te faire plaisir, le temps que mon sexe reprenne de la vigueur, ce qui ne saurait tarder puisque ta langue est en train de le nettoyer, et ta main de lui redonner de l’énergie.

 

Ma bouche descend vers ton sexe. Je sens l’odeur de la femme brûlante de désir envahir mes narines. J’adore ce parfum. Mes doigts effleurent tes grandes lèvres, mes index entrouvrent celle-ci alors que ma langue se pose délicatement sur ton clitoris, et commence à décrire des spirales sur celui-ci et son contour. Tu te cambres vers l’avant, ton bassin vient à ma rencontre et tu gémis de plaisir. Tu savoures à ton tour cet instant d’abandon, de pur bonheur. Ma langue continue son manège, venant de temps à autre à descendre jusqu’à l’entrée de ton sexe, mais sans y pénétrer, du moins, pour l’instant.

 

Mes doigts frétillent en toi. Un d’abord, puis deux, et enfin un troisième. Je caresse l’intérieur de ta vulve. Délicatement, tendrement,  puis mes doigts accélèrent la cadence, accompagnés de ma langue qui cette fois vient s’introduire à l’entrée de ton sexe. Ma main glisse hors de toi, mes doigts trempés de ton plaisir. Je caresse de ceux-ci la zone qui se trouve entre tes deux orifices, et mon index vient s’appuyer doucement sur ta rondelle, décrivant de petits cercles pendant que mon pouce fait de même sur ton périnée et que mon autre main vient caresser la zone autour de ton bouton et le presser de temps à autres, entre deux passages de ma langue sur celui-ci, avant qu’elle ne replonge entre tes lèvres. Tes reins se mettent à trembler, tes cuisses également, tes gémissement se font plus rauques, plus intenses, et je sens ton orgasme au moment où celui-ci survient. Dégoulinante de plaisir, tu t’affaisses sur la couchette, te laissant totalement aller.

 

Je remonte doucement le long de ton corps, caressant chaque centimètre carré de cette peau qui m’est offerte, léchant les parties les plus sensibles, tes hanches, tes seins, ton ventre, ta gorge, tes aisselles… Tes mains ne sont pas en reste et s’affairent également sur mon corps, m’électrisant et faisant monter en moi une nouvelle bouffée de désir.

 

Nos regards se croisent, tes gémissements et les miens, nos souffles courts nous font comprendre que le moment est venu. Je m’empare d’un préservatif, le déballe et tu me le prends des mains pour le dérouler le long de mon sexe en érection. Celui-ci pulse de désir comme jamais il ne l’a fait…

 

La capote en place, tu me souffles un seul mot à l’oreille : « viens… », et tu t’allonges lascivement …

 

Mes mains se placent de chaque côté de toi, mon visage à quelques centimètres du tien. Mon sexe en érection se place à l’entrée de ton intimité, mais sans la pénétrer. Mon gland se pose sur tes grandes lèvres, et je fais bouger mon sexe afin de les caresser. Tu ronronnes de plaisir sous cette caresse inattendue, et ta main vient se placer sur ton bouton pour accompagner mes mouvements.

 

En contractant et détendant les muscles de mon sexe, je fais pénétrer et ressortir mon gland à l’entrée de ta grotte, puis, alors que tu gémis de plaisir, un coup de rein de ma part me fait pénétrer entièrement en toi, mon sexe est comme aspiré par ce sexe moelleux, si bien lubrifié qu’il coulisse sans heurt jusqu’au fond de toi. Mes bourses viennent heurter ton périnée et tu ne peux réprimer un hoquet de surprise devant ce corps étranger qui ne le sera bientôt plus.

 

Malgré le préservatif, nous ressentons tous les deux des sensations incroyables. Je me suis immobilisé au-dessus de toi, et seul mon sexe bouge encore en toi. Jouant de ces muscles, je caresse et masse l’intérieur de ton intimité. C’est ma spécialité, que j’ai fait découvrir à chacune de mes conquêtes et que toutes ont apprécié, comme tu le fais à présent.

 

J’entame un va et vient, calant mon rythme sur celui de tes halètements. D’abord doux et langoureux, le mouvement devient plus rapide, plus intense, et je te voix te mordre la lèvre pour ne pas crier.

 

Tes mains viennent se poser sur mon torse légèrement velu, tes ongles frottent ma peau, sans pour autant la griffer, et elles finissent par venir se poser sur mes hanches, m’imprimant le rythme que tu désires.

 

Plusieurs minutes s’écoulent ainsi, je coulisse en toi sans problème car tu continues de mouiller abondamment, puis tu me fais basculer sur le dos et mon sexe ressort de toi. Tu me retires le préservatif et caresse mon gland, m’embrassant à pleine bouche avant de redescendre prendre mon sexe en bouche pendant quelques instants, tout trempé de ta mouille. Je sors un nouveau préservaitf et cette fois, tu viens me l’enfiler toi-même, utilisant pour ce faire ta bouche. Cette nouveauté me régale, je suis vraiment gâté aujourd’hui. Je n’ai jamais connu de femme aussi douée pour faire plaisir à son compagnon, et je savoure chaque seconde.

 

 Tu viens alors grimper sur moi, t’accroupissant pour venir t’empaler sur mon membre dressé. Cette sensation est divine. J’adore cette position dans la quelle je peux savourer la vision de ton corps s’agitant au-dessus de moi, de nos deux sexes se mélangeant. Mes mains ne restent pas inactives, elles caressent tes seins, tes hanches, tes reins et ton clitoris, pour faire grimper ton plaisir.

 

L’orgasme te prend et te surprend, tu ne peux réprimer des tremblements de tes jambes, comme sur le point de défaillir. Et tu t’effondres sur moi, mon sexe toujours en toi. Nous restons ainsi immobiles, toi couché sur moi, et moi toujours à l’intérieur de toi. Je reprends mon jeu de contractions et décontractions de mon sexe à l’intérieur de ton vagin, entretenant ainsi ton plaisir, tout en te laissant le temps de retrouver tes esprits.

 

Ton corps tout entier vibre de plaisir, un sourire de contentement sur ton visage, les yeux plissés par le bonheur.

 

Après ces quelques minutes, tu as retrouvé tes moyens, et tu décides de changer quelque peu de position. Et mettant à quatre pattes, tu m’invites à venir te prendre en levrette. Je n’ai jamais essayé cette position, mais je ne demande qu’à découvrir. Mes mains viennent saisir tes fesses rebondies et fermes, et mon sexe vient se positionner à l’entrée de ton intimité. Tes mains viennent saisir mes hanches, et tu m’attires en toi d’un violent coup de reins. Je pénètre à nouveau en toi sans aucun problème, et je découvre une vue que je ne connaissais pas. Je vois mon sexe pénétrer en toi, vêtu de son manteau de latex, puis ressortir et rentrer à nouveau. Mon membre pilonne ton vagin jusqu’au fond, et j’entends tes gémissement qui se transforment petit à petit en cris de plaisir.

 

Après quelques minutes à un rythme effréné, nous atteignons tous deux l’orgasme, toi d’abord, puis moi, entrainé par la vision de ce corps qui succombe au plaisir sous mes assauts, et nous nous effondrons tous les deux sur la banquette, nos mains viennent s’entremêler, nos langues aussi, ton visage tourné vers le mien. Nos mains entament alors un ballet de caresses pour accompagner ce plaisir, le temps de récupérer de nos ébats.

 

La nuit est loin d’être finie… Et au cours de celle-ci nous serons peut-être rejoints par ton compagnon pour un plan à trois, nous larguerons peut-être les amarres pour aller jeter l’ancre dans un endroit tranquille, pour savourer le plaisir de faire l’amour à deux ou à trois sur le pont du bateau, nos corps caressés par les rayons du soleil ou par la fraicheur de la nuit…

 

A SUIVRE

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Samedi 19 juin 6 19 /06 /Juin 17:17

Hé oui, la moindre des choses, c'est de se présenter à ses visiteurs.

 

Mais il est souvent difficile de parler de soi. Alors pour simplifier, je vais reprendre mon annonce sur le site sexenbretagne.com

 

Ce blog n'est pas que le mien, il sera aussi celui des visiteurs, qui, par leurs commentaires, le feront évoluer pour répondre à leurs attentes.

 

J'ai en effet l'intention de publier des billets à contenu érotique, des textes écrits par moi-même ou des contributions de visiteurs s'ils le souhaitent.

 

En revanche, vous ny trouverez pas de photos pornos, il y a des tonnes d'autres sites pour cela. Ici, vous trouverez de la sensualité, de l'érotisme, des récits chauds qui seront là pour éveiller vos sens et exciter votre intellect, vous conduisant à imaginer vous-même la situation, à visualiser à la fois les participants et le décor, ainsi que tous les évènements de l'histoire.

 

J'espère en tout cas que cela vous plaira et vous donnera envie d'y revenir.

 

"Je suis un homme de 34 ans, célibataire depuis plusieurs mois, et j'ai envie de redécouvrir les plaisirs de la chair en bonne compagnie (femme, couple H/F, couple 2F), dans le respect de chacun et la bonne humeur.

Je suis ouvert à toute proposition ou pratique, tant qu'elles ne sont pas dégradante pour l'un ou l'autre.

Plutôt cérébral, je ne cherche pas le sexe à tout prix, mais un véritable échange. Un simple verre ensemble, une conversation à bâtons rompus, une séance de bronzage intégral ou une séance photo sensuelle me conviendraient très bien, tout comme un simple échange de caresses ou de massages ou une séance de jeux coquins (jeux de cartes déshabilleurs ou autre jeu de gages).

J'aime pratiquer les massages de façon sensuelle et appliquée, les caresses, et me concentrer sur les sensations de ma partenaire. Et mon péché mignon est le cunnilingus après un massage tendre et sensuel. J'aime beaucoup recevoir une fellation en même temps que je pratique un cunnilingus.

Je suis très branché "préliminaires", peut-être plus que sur l'acte sexuel en lui-même, même si j'apprécie également ces instants troublants où les corps se mélangent et s'unissent jusqu'à la jouissance mutuelle.

Je ne suis pas bisexuel pour le moment, mais je ne suis pas opposé à essayer dans le cadre d'un trio. Cette pratique m'attire sans que j'ai pour le moment eu l'occasion de franchir le pas. En revanche, je ne suis pas chaud pour une relation avec un autre homme uniquement.

Je préfère le réel au virtuel, mais suis ouvert à essayer si l'occasion se présente.

Mon fantasme serait de rencontrer un couple sympa et ouvert, que le courant passe bien et que nous puissions larguer les amarres ensemble sur mon voilier pour une journée de plaisir en Baie de Douarnenez."

 

Voilà, il me reste à ajouter une petite photo pour compléter, et ensuite passer aux choses sérieuses, la raison d'être de ce blog!

 

Photos-perso---Bateau---Serie-2-bis---42-.JPG

 

Ah oui, je voulais aussi insérer un lien vers un blog qui me plait beaucoup, et que je visite frréqemment. Il s'agit de celui de bonnieandclyde, où vous trouverez des photos d'une grande sensualité, avec un modèle splendide aux formes généreuses et à la silhouette séduisante, et des mise en scène originales et très bien réalisées. Je vous invite à leur rendre une petite visite, vous ne le regretterez pas!

 

Amis, famille et connaissances, si vous êtes arrivés sur ce blog, ce n'est sans doute pas par hasard, et nous avons peut-être une chose de plus en commun.

 

Vous le savez désormais, j'aime l'érotisme, les histoires et expériences coquines, et en parler. J'aime partager, échanger et pourquoi pas montrer cet aspect de ma personnalité.

 

Alors je vous invite à en parler, sans jouer les moralisateurs, et à échanger sur ce sujet si cela vous tente.

 

Et en attendant, je vous souhaite beaucoup de plaisir à la lecture de mes écrits. Salutations coquines ;-)

Par KorriganCoquin - Publié dans : Actus, commentaires et liens - Communauté : Histoire, video, photo
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