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Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 11:56

Le vent souffle régulièrement aujourd'hui, et Sébastien a décidé d'en profiter pour essayer cette nouvelle voile qu'il a racheté sur internet. 5,4m² de pur bonheur en perspective. Une fois gréée et proprement étarquée, elle prend le vent de manière satisfaisante. Il ne reste plus qu'à se mettre à l'eau.

 

Il n'y a pas grand monde sur cette plage aujourd'hui. Il est vrai que le jeudi, la plupart des gens sont trop occupés et fatigués par le travail pour sortr naviguer, mais pour Sébastien, c'est une passion et également une partie de son travail.

 

Le pied de mât solidement fixé à son flotteur, il transporte le tout jusqu'au bord de l'eau et se lance enfin, passant la barre pour profiter de la vitesse offerte par la nature. Une seule planche tourne dans cet endroit, et elle semble galérer un peu. Peut-être un débutant?

 

Sébastien se maintient à l'écart de cette planche au comportement et à la trajectoire erratiques, la surveillant du coin de l'oeil pendant qu'il enchaîne sauts, surfs et autres mouvements de freestyle.

 

La voile tient le coup. Pour une occasion, elle a été bien entretenue.

 

Sébastien s'amuse, mais le vent commence à forcir. Il va être temps de rentrer. Il prend donc la direction de la plage, pour s'apercevoir que l'autre planche à voile a disparu de son champ de vision.

 

Pourtant, il aurait dû la voir rentrer.

 

Un gibe et le voici longeant la plage pour s'assurer que l'autre planchiste est bien rentré. Arrivé à l'autre bout de la plage, il aperçoit de la couleur au milieu des rochers. Il s'approche avec précaution et s'aperçoit qu'il s'agit de la voile de l'autre planchiste. Son flotteur repose sur les rochers et la voile et le wishbone sont coincés. Il a dû chuter et perdre son flotteur.

 

Sébastien empanne et reprend la direction du large. Avec la marée descendante, les courants sont forts à cet endroit, et il ne lui faut que quelques minutes pour apercevoir une tête qui dépasse d el'eau, un bras levé avec peine au-dessus.

 

Il s'approche le plus possible et s'arrêt à côté du planchiste. En fait, il s'agit d'une jeune femme d'une vingtaine d'années.

 

- Hé bien, j'arrive à temps on dirait. Vous allez bien? lui lance-t'il en laissant sa voile tomber dans l'eau avant de s'agenouiller pour saisir la main tendue de la jeune femme.

- Oui, merci. J'ai pris le mât dans la tête en ratant un empannage, et je suis tombée trop loin de ma planche que les vagues ont emportée. Quel dommage, un flotteur neuf!

- Ne vous en faites pas, on ira la récupérer, mais d'abor,d je vous ramène sur la plage.

- Merci. Je m'appelle Marine au fait.

- Enchanté Marine. Moi c'est Séb.

 

Marine se hisse sur le flotteur, et s'agenouille au pied du mât alors que Sébastien redresse sa voile, puis,i pour équilibrer le flotteur, elle se redresse et se blottit contre Sébastien, entre lui et le mât.

 

- Ce sera mieux ainsi, lui dit-il. En plus, c'est très agréable, ajoute t'il avec un grand sourire.

 

Elle lui retourne son sourire, les yeux pleins de malice.

 

-Vous avez raison. On voit que vous maîtrisez bien le sujet. Ca fait longtemps que vous naviguez?

-Quelques années. Allez, maintenant, il nous reste à passer la barre pour rentrer.

 

Il se concentre sur la navigation, et un surf final les raméne sur la plage.

 

- Bien, allez, maintenant, allons récupérer votre matériel, propse t'il en roulant le haut de sa combinaison pour se mettre à l'aise, dévoilant ainsi un top en lycra qui souligne son torse musclé et ses épaules carrées.

- D'accord.

 

Marine et lui longent donc la plage en direction des rochers. La marée est suffisamment descendue, et ils retrouvent le flotteur et le gréement , dont le wishbone s'est logé entre deux rochers.

 

- Hé ben dites, vous avez du bol. S'il ne s'était pas coincé ici, le reflux l'aurait embarquée au large.

- Oui, mais regardez, la voile est percée et mon flotteur est abimé.

- Oh, allez, deux petits impacts comme ça, avec un coup de résine, ça ne se verra plus. Et pour la voile, une petite réparation suffira. En tout cas, c'est du bon matos que vous avez là. Si vous voulez, je peux vous le réparer. J'habite un peu plus haut, après les dunes.

- Heu, oui, pourquoi pas. C'est sympa de le proposer.

- Pas de souci. Vous avez l'air secouée. Je vous offre un verre ou quelque chose de chaud pour vous remonter.

- Merci, c'est super gentil.

 

Ils ramassent donc leur matériel, et c'est chargé de deux flotteurs sur lesquels ils ont fixé les mâts démontés que Sébastien ouvre la route, Marine le suivant avec les deux wishbones auxquels ils ont fixé les voiles.

 

- Vous pourrez récupérer la voiture facilement, la route passe devant la maison avant de redescendre vers la plage.

- Merci encore, c'est super sympa de me reccueillir ainsi, plaisnte Marine.

 

Arrivés au niveau des dunes, elle marque une pause.

- C'est pas super lourd, maisqu'est-ce que c'est encombrant. Je me mets à l'aise et je vous rejoins, ne m'attendez pas.

 

Elle retire alors le haut de sa combinaison, comme Sébastien l'a fait plus tôt, et le roule sur son ventre, dévoilant elle aussi un top en lycra qui met en valeur une poitrine généreuse et un ventre plat. Sébastien, mine de rien, a ralenti et profite du coin de l'oeil du spectacle.

 

Elle le rejoint rapidement, et c'est en silence, échangeant des regards complices qu'ils progressent dans les dunes, pour arriver enfin chez Sébastien.

 

- C'est super joli chez vous! s'exclame la jeune femme en découvrant la petite maison de pierre et ses dépendances.

- Merci, c'est un petit pen-ty, une maison de pêcheur à l'origine. Je l'ai rachetée et aménagée au fiil du temps. Allez, on dépose le matos dans l'atelier et je vous offre un chocolat pour commencer, histoire de se réchauffer. Et si vous voulez, je vous prêterai des vêtements secs pour vous changer. Ce sera plus confortable que la combi.

- Merci. Heu, dites, je ne voudrais pas habuser, mais... Est-ce que je peux prendre une douche également?

- Oui, bien sûr. Je vous montre où c'est.

 

Passant devant Jersey et Guernesey, les deux chiennes labrador de Sébastien qui leur font la fête avant de retourner se coucher dans leur dépendance, ils déposent les flotteurs et le reste du matériel dans la dépendance que Sébastien a transformée en atelier. Sur un établi, un flotteur attend une réparation, les voiles sont pendus au plafond, et le reste du matériel est entreposé sur des étagères. Quelques voiles, mâts, deux flotteurs de kite-surf et trois ailes. Une vieille caravelle, un dériveur de sport et leur accastillage reposent au fond de la dépendance, sur leurs remorques de mise à l'eau. Des combinaisons sont pendues au plafond pour sécher, à côté de trois gilets de sauvetage et de deux ceintures de trapèzes.

 

- Hé bien, vous êtes plutôt bien équipé dites-moi?

- Oui, je travaille dans le nautisme. De temps en temps, je récupère pas mal de matériel abimé ou en fin de vie, et je le répare pour pouvoir l'utiliser. Mais dans l'ensemble, ce sont plutôt de outils de travail.

 

  Une fois le matériel rangé, les voici donc entrant dans l'antre de Sébastien. Marine est tout d'abord impressionnée par la façon dont il a aménagé cette bâtisse. Il faut dire qu'il n'a pas ménagé ses efforts et que le résultat est magnifique, tout comme la vue depuis la large baie vitrée qui donne sur les dunes et la plage.

 

Dehors le vent redouble, une tempête s'annonce.

 

- Ecoutez, la salle de bain est par ici, propose Sébastien. Et voilà des vêtements secs, ajoute t'il en lui tendant un paquet avec un jean et un t-shirt. Allez donc prendre une douche. J'irai récupérer votre voiture pendant ce temps si vous me dites où vous avez rangé la clé. En attendant, vous pouvez vous installer confortablement. Je vis seul ici, vous ne serez pas dérangée.

- Oh, c'est super. La clé est dans l'aile avant droite.

- Génial, je prends vite fait une serviette pour ne pas abîmer votre siège avec ma combi et je reviens. Je me changerai après, la pluie ne va pas tarder de toute façon.

- D'accord, à tout à l'heure alors.

- A tout à l'heure.

 

Sébastien repart donc vers la plage, longeant la route. Cette Marine, une femme vraiment sympa. Et superbe en plus. C'est tout guilleret malgré les grosses gouttes de pluie qui commencent de tremper la chaussée qu'il arrive sur le parking. Une seule voiture y est stationnée, celle de Marine. Il grimpe derrière le volant après avoir récupéré la clé, et le voici rapidement garé à vôté de son propre fourgon sous l'appentis qu'il a fabriqué pour le protéger de la pluie.

 

De retour chez lui, il se séche rapidement, et installe une serviette sur son veux siège pliant en toile, maintes fois rapiécé mais dont il apprécie toujours autant le confort.

 

Marine ne tarde pas à sortir de la salle de bains, portant le jean et le t-shirt que Sébastien lui a prêtés.

 

- Heu, dites, vous auriez une ceinture ou quelque chose? Le jean est un poil trop large pour moi?

 

En effet, il doit faire une voire deux tailles de trop pour la jeune femme, qui a glissé le t'shirt derrière la ceinture du jean.

 

- Heu, oui, bien sûr, répond Sébastien, troublé par la présence de la jeune femme.

 

Il se lève donc et récupére sa ceinture sur son propre jean posé sur un meuble du salon.

 

- Voilà. J'espére qu'elle vous ira. Attendez, je vais vois aider.

 

Ce disant, il se retrouve au côté de la jeune femme. Elle sent bon le gel douche et le shampoing et son corps dégage une douce chaleur. Ses longs cheveux lâchés et encore humides cascadent sur ses épaules. Il se rapproche et commence de glisser la ceinture dans les passants du pantalon.

 

- Je n'ai pas vraiment l'habitude d'habiller une charmante demoiselle. Si les copains me voyaient faire, ils seraient hilares.

- C'est drôle... Enfin, je veux dire, merci de m'accueillir ainsi, de m'avoir sortie de l'eau.et pour tout ce que vous faites. Mais je n'ai pas l'habitude d'être soignée ainsi. Surtout par un homme tel que vous?

- Tel que moi? C'est à dire? lui demande t'il avec un sourire et le regard mi-sérieux, mi-amusé.

- Ne le prenez pas mal surtout, lui répond-elle en rougissant. Je veux dire, un homme si prévenant et qui utilise des mots compliqués comme "hilares" par exemple. Et puis si doux aussi.

- Mais c'est un plaisir, je vous assure, termine un Sébastien un peu surpris et désarçonné par la réponse de la jeune femme, troublé toujours par ce corps si proche du sien, tellement qu'il ne s'aperçoit pas qu'il a fini de passer la ceinture sur le jean et qu'il en tient toujours sles deux extrêmités entre ses mains, tenant ainsi le bassin de la jeune femme proche de lui, les yeux plongés dans ceux de Marine, dont il savoure la teinte grise, ponctué de petits éclats verts qui accrochent le peu de lumière restant avec le ciel de plomb de la tempête qui commence de se déchaîner dehors.

 

Ils restent ainsi quelques minutes, leurs corps quasiment collés, alors que le vent souffle dans le petit jardin, et que la pluie vient s'écraser sur la baie vitrée. Le feu dans la cheminée, que Sébastien avat allumé avant de sortir naviguer crépite et les enveloppe d'une douce chaleur. Ses reflets dans les cheveux châtains de la jeune femme finissent de troubler Sébastien, qui voudrait voir cet instantse prolonger autant que possible quand il sent la main de Marine se poser sur son torse, et sn buste qui s'approche, venant  se coller au sien.

 

- Heu, je suis encore trempé...

- Chuuuut, ne dites rien, lui lance Marine, en glissant une main sous le top en lycra pour le soulever par-dessus la tête du jeune homme.

- Marine, vous êtes sûre que...?

- Oui, laissez-moi faire. J'espère que ça ne vous gêne pas?

- Non, bien sûr, mais...

- Alors il n'y a pas de mais! finit-elle d'une voix qui ne tolére aucun appel de la part du jeune homme, sur le torse duquel ses doigts entament une dansse délicate, jouant avec boucles de son torse et  courant sur ses épaules.

 

Les lèvres de la jeune femme s'approchent de celle de Sébastien, et ils échangent un long baiser langoureux avant que Marine ne prenne de nouveau l'initiative en guidant Sébastien vers le vieux siège de toile où elle le fait asseoir, s'installant sur ses genoux pour échanger un nouveau baiser. Glissant ses mains sous la combinaison de Sébastien elle la fait glisser le long de ses hanches et de ses jambe, dévoilant le caleçon de bain qui masque de plus en plus difficilement une vive érection.

 

Sans mot dire, un sourire satisfait sur les lèvres, elle vient s'installe rà califourchon sur le jeune homme, et prend on visage entre ses mains, caresse sa barbe de trois jours, plongeant son regard brûlant de désir dans celui du jeune homme.

 

Sébastien ne reste pas inactif non plus. Ses mains se glissent sous le coton du t-shirt, caressant la peau à nu de la jeune femme, se shanches, son dos et son ventre, jusqu'à ce qu'il sente le corps de celle-ci bouger comme pour l'inviter à s'aventurer plus haut. Il rejoint alors sa poitrine, généreuse, ferme, et caresse ses seins délicats sous le t-shirt, quand Marine laisse sa tête partir en arrière, emportée par les caresses.

 

Après quelques minutes de caresses, elle saisit les bras de Sébastien, plante de nouveau son regard dans le sien, et avec un sourire gourmand, elle retire elle-même le t-shirt qu'elle projette sur le canapé, dévoilant sa poitrine au regard du jeune homme ébahi.

 

Sa poitrine est effectivement aussi généreuse qu'il s'y attendait. La peau douce et ferme de ses seins lourds est soulignée par des aréoles de taille moyenne, dessinés précisément, et il ne peut s'empêcher de venir embrasser l'un de ses têtons, prenant l'autre sein dans une main pour le caresser et souligner le dessin de l'autre têton du bout de l'index. Le corps de Marine répond tout de suite. Sa tête s'incline sur le côté, les yeux mi-clos, emportée par le plaisir de ces caresses, et Sébastien se fait alors plus insistant, laissant libre cours à ses mains pour explorer le corps de la jeune femme alors qu'il contihue d'embrasser, lêcher et caresser de sa langue le têton durci de la jeune femme dont le dos s'arque sous le plaisir, et qui laisse échapper quelques petits gémissements.

 

- Viens, finit-elle par l'interrompre en lui prenant les mains pour le faire se lever.

 

Les deux jeunes gens se retrouvent donc debout face à face, lui tenant la jeune feme par les hanches, et échangent un long baiser alors que leurs mains enchainent les caresses. Marine le prend alors par la main, et l'entraine vers la douche, devant laquelle elle s'arrête pour glisser ses doigts sous l'élastique du caleçon de bain, le faisant glisser jusqu'aux cheviille du jeune voileux. Ce faisant, elle se retrouve le visage au niveau du sexe en érection de Sébastien, et ils échangent un long regard troublé pendant quelques instants, interrompu par la main de la jeune femme qui vient se poser sur le gland qui se lasse deviner sous la peau qui le recouvre, une goutte de liquide perlant à son exptrémité. Elle commence de le caresser, le décalottant délicatement. Ses longs doigts fins parcourent toute sa longueur.

 

Sébastien n'est pas spécialement bien monté, mais il se trouve dans la bonne moyenne. Au contact de ces doigts délicats, il lui semble pourtant que son sexe est plus gros que d'habitude. Les caresses de MArine font monter en lui une nouvelle vague de désir, alors qu'elle le pousse délicatement à entrer dans la douche, retirant de sa main libre le jean trop grand, qui glisse de lui-même jusqu'au sol.

 

Elle dévoile ainsi une fine toison de poils bouclés, d'un beau châtain cuivré, et Sébastien dirige mine de rien sa main vers cet endroit désiré quand elle l'interrompt en lui saisissant le poignet.

 

- Non, non. Pas tout de suite.

 

Son regard le cloue sur place alors qu'ils entrent dans la douche suffisamment grande pour deux personnes. La main de Marine parcourt à nouveau le torse du planchiste désarçonné, entiérement à sa merci désormais, et son visage se dirige à nouveau vers son bassin. Au contact de sa langue, qui vient lécher avec délicatesse son gland turgescent, il llaisse échapper un petit râle de plaisir, auquel succédent de profonds soupirs lorsqu'elle vient parcourir toute la longueur de son vit avec sa langue avant de l'engloutir complêtement.

 

Il se sent transporté par le plaisir qui monte en lui alors qu'elle alterne les coups de langues, caresses manuelles et buccales, sur son sexe et sur son corps, les mains de la jeune femme arrivant toujours à un endroit où il ne s'y attend pas. Il se laisse transporter, emporter, et son la jouissance monter encore et encore, plus fort que ce qu'il a pu éprouver par le passé.

 

Comme si elle devinait cette montée de plaisir, elle accélère encore ses caresses et baisers, insistant de plus en plus sur les caresses buccales sur le sexe livré à son bon plaisir, jusqu'à ce que les halétements de Sébastien la préviennent de l'imminence de sa jouissance.

 

- Laisse-toi aller, laisse-toi faire, viens dans ma bouche, j'aime beaucoup le goût de ton sexe, et j'aimerai te goûter...

 

Ces mots, ainsi que le contact de sa main qui parcourt la fine peau qui sépare ses bourses de son anus, achèvent de faire monter le plaisir de Sébastien, et à peine Marine le repend-elle en bouche que sa semence jaillit en un long jet puissant qui vient s'acrser dans la gorge de la jeune femme, qui avale chaque goutte qui jaillit encore de ce vit ferme et encore tendu, n'en laissant échapper qu'un tout petit peu, qui vient se poser sur sa joue, avant de nettoyer de sa langue les dernières gouttes de plaisir qui maculent encore le sexe de Sébastien, qui reste malgré tout tendu et vif sous ses caresses.Elle se redresse, et Sébstien vient lécher les quelques gouttes de semence qui restent sur sa joue, avant de l'embrasser tendrement en remerciement, la caressant de nouveau.

 

Repus, ils s'enlacent à nouveau dans cette douche, et les mains de Marine trouvent les mitigeur, faisant couler une eau tiède sur leurs peaux ruisselantes de sueur, et ils restent ainsi de longue mintues dans les bras l'un de l'autre, avant de se savonner mutuellement et d'enfiler à nouveau des vêtements secs, un jean pour lui, une chemise bien trop grande pour elle, sans pour autant mettre de sous-vêtements.

 

- La soirée ne fait que commencer... lance alors Marine avec un sourire gourmand, des étincelles dans les yeux, alors qu'elle entraine son amant vers le salon, pour se blottir dans ses bras sur le canapé, devant le feu qui ronfle dans la cheminée, les deux chiennes, qu'ils ont fait rentrer viennent se coucher devant le foyer, profitant de la chaleur et s'assoupissant rapidement.

 

Quel bonheur que de se retrouver ainsi enlacés dans un cocon de confirt et de chaleur, alors que la tempête continue de s'acharner sur la dune.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits - Communauté : Récits Erotiques X
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