Les Histoires de Korrigan Coquin, Finistérien Libertin
Novembre 2024 | ||||||||||
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Pour Sébastien, célibataire endurci, Noël avait toujours été une période difficile.
Vivant seul, il sacrifiait à la tradition en installant un sapin dans son salon pour le cas improbable où ses frères et soeurs viendraient lui rendre visite avec leurs enfants. Mais il habitait loin de chez eux et leurs visites se faisaient rares.
Il profitait néanmoins de cette période pour s'adonner à loisir à son passe-temps préféré, à savoir passer du temps sur l'eau. L'avantage, c'était qu'avec ce froid, le plan d'eau lui appartenait quasi-intégralement. Il n'avait pas à s'inquiéter de la présence de surfeurs ou de kite-surfeurs.
En cet après-midi du 24 décembre, en sortant du travail, il s'était donc rendu sur la plage avec osn matériel, avait gréé sa planche à voile et s'amusait à jouer avec les vagues et à sillonner l'Anse qui se trouvait derrière chez lui. Il se permit même d'aller jusqu'au pied de ce rocher couvert d'oiseaux, à quelques encablures de la côte, et d'observer les cormorans et goélands qui y avaient élu domicile.
Il faisait déjà nuit noire lorsqu'il retourna à regret à la côte, sortit de l'eau et remonta son matériel par le petit chemin qui menait à son domicile, sillonnant au milieu de terrains battis par les vents de l'Atlantique, de dunes recouvertes d'herbes folles.
Arrivant chez lui, il eut la surprise de voir une voiture garée dans la courette, devant la porte de sa maisonnette. Encore trempé et commençant de grelotter sous sa combinaison de néoprène, il remisa sa planche à voile et son matériel sous le petit appentis attenant à la maison, et ouvrit la porte,
Etrange, il n'attendait pourtant pas de visite, surtout un soir de 24 décembre...
Il y a quelqu'un?
Pas de réponse... Pourtant, il y avait un parfum dans l'air... Il fit quelques pas avant de reconnaître un parfum féminin, accompagné de la senteur de bougies... Mais que se passait-il dans sa maison?
Il entra dans le salon, encore dégouttant d'eau de mer, et la vision qui s'offrit à lui le réchauffa instantanément. Un feu ronflait dans la cheminée, des bougies étaient effectivement disposées ça et là, et au milieu de la pièce, vêtue d'un ensemble de lingerie rouge et d'un bonnet de père Noël, se tenait Marina, une plantureuse jeune femme qu'il connaissait depuis des années, sans qu'il ait jamais tenté de la séduire.
Elle lui lança un regard intense avant de lui dire:
Joyeux Noël très cher... J'espère que ton cadeau te plait?
Il sentit sa gorge se serrer. Il ne savait pas trop quoi dire, se contentant de rester planté à la porte.
Tu devrais fermer la porte Séb, je vais attraper la mort sinon », lui lança t'elle avec un clin d'oeil.
Il ferma doucement la porte derrière lui, et fit quelques pas dans sa direction.
-Attends, ce n'est pas tout...
Arrivé à la porte du salon, il entendit un léger froissement derrière lui. Se retournant, il se retrouva nez à nez avec Françoise, une autre de ses amies, qu'il n'avait pas plus cherché à séduire que Marina.
Tadaaa!
Françoise était vêtue du même ensemble que Marina, avec également un bonnet rouge bordé de blanc.
La vue de ces deux femmes légèrement vêtues dans son salon n'en finissait pas de surprendre Sébastien.
Heu, les filles, qu'est-ce qui se passe, au juste?
Ce qu'il se passe, très cher Sébastien, c'est que depuis des années, nous te voyons en compagnie de jeunes femmes toutes plus belles les unes que les autres, et nous nous sommes demandées pourquoi nous n'avions jamais eu le plaisir de passer un moment intime avec toi. Alors comme ma famille est allée au ski pour les vacances, et que les proches de Françoise sont partis pour la Martinique, nous avons décidé que pou Noël, nous allions t'offrir une surprise, et que notre cadeau commun serait de passer une nuit de tendresse avec toi...
Sébastien était estomaqué. Il les connaissait depuis des années, et jamais il n'aurait pensé qu'elles puissent avoir des idées aussi coquines.
Françoise prit la situation en main, saisissant les mains de Sébastien pour l'entrainer vers le salon.
Allez, viens t'en donc. Tu ne vas pas garder cette combinaison sur toi toute la soirée, ce serait dommage...
Il se laissa entrainer vers le salon, avec l'impression que tout ceci était un rêve.
Il faisait bon près de la cheminée... Une bouteille de champagne reposait dans un seau à glace, trois coupes posées à côté.
Alors que Marina se glissait derrière Sébastien pour saisir le cordon qui commandait la glissière de sa combinaison, la main de Sébastien effleura le fin porte jarretelle de dentelle rouge... Si c'était un rêve, il ne voulait pas qu'il s'arrête. Françoise saisit la bouteille, et la déboucha comme Marina commençait de faire descendre la glissière de la combinaison, dévoilant le top en lycra que Sébastien portait en dessous pour s'isoler un peu du froid.
Elle fit glisser la combinaison de ses épaules, puis le long de son torse, s'arrêtant au niveau de la taille. Françoise commençait de servir le champagne.
Marina fit glisser le top en lycra par-dessus la tête de Sébastien, qui se retrouva torse nu, la peau encore perlée d'eau de mer, au milieu de son salon. Françoise lui tendit une coupe, ainsi qu'à Marina.
A un Noël fait de plaisir et de câlins! », lança Marina, avec un clin d'oeil à destination de Françoise.
A mon tour de déballer le cadeau! », répondit celle-ci, après avoir trempé ses lèvres dans la coupe.
Sébastien goûta à son tour à la boisson, alors que Marina se glissait devant lui, laissant Françoise passer dans son dos.
Il sentit les lèvres de la rousse Marina venir se poser contre les siennes, alors que la blonde Françoise faisait glisser la combinaison le long de son bassin, puis de ses jambes, le laissant vêtu uniquement de son boxer de bain, qui ne masquait pas grand chose de son état d'excitation.
Marina continuait de l'embrasser, et il sentit les mains de Françoise se poser dans son dos.
Tu as le goût de la mer », plaisanta Françoise.
Mmmmh, c'est vrai, attends, je vais y goûter aussi...
Il sentit les lèvres de Françoise se poser dans son dos, entre ses omoplates.
Hé, mais c'est vrai... C'est très agréable comme saveur...
Toujours sous le coup de la surprise, il sentit les deux bouches des deux jeunes femmes se mettre à parcourir son corps, y joignant leurs mains.
Ces caresses n'en finissaient pas, et il se sentait à l'étroit dans son boxer de bain, quand il sentit une main se glisser dans celui-ci.
Hé, on dirait bien que notre cadeau est prêt à être déballé...
Françoise rit de la réflexion de Marina, et il sentit deux mains glisser sur ses hanches, et venir saisir l'étoffe de chaque côté de celles-ci pour faire glisser le boxer le long de ses jambes.
En effet, on dirait bien que notre cadeau n'attend plus que nous.
Un doigt parcourut son sexe sur toute sa longueur, et il sentit qu'on le poussait vers la cheminée, et les deux jeunes femmes l'invitèrent à s'allonger sur le tapis, s'asseyant chacune d'un côté de l'homme qui se trouvait à leur merci.
Alors, tu ne dis toujours rien? », lui demanda Marina.
Si, si... Je me demandais juste si tout ça n'était qu'un rêve. Et dans ce cas, j'avais peur que si je me mettais à parler, je finisse par me réveiller...
Aaaah, alors on va tout faire pour prolonger ce rêve, si tu veux bien...
A ces mots, elle vint se placer plus près de son visage, et déposa un nouveau baiser langoureux sur ses lèvres, un baiser au goût de lèvres, qu'elle semblait savourer avec bonheur. Pendant ce temps, il sentit la main de Françoise venir saisir la hampe de son sexe, et ses lèvres se posèrent contre son gland, le bout de sa langue venant le caresser.
Que c'était bon! Il se laissait aller, embrassant avec tendresse sa rousse amie, pendant que Françoise s'affairait sur son sexe. La brunette profitait avec plaisir de cet instant. Elle goûtait au sexe de son amant, le prenant en bouche goulument, le caressant, jouant avec, jusqu'à voir perler une goutte de liquide préséminal translucide, dont elle se servit pour lubrifier ses doigts pour commencer de le masturber en un lent mouvement de va-et-vient, en cadence avec sa bouche. Elle sentait le membre gonfler entre ses doigts, dans sa bouche. Il pulsait, les veines ressortant sous l'effet du désir. Elle savait qu'il était entièrement à sa merci, et elle savourait l'instant. Le sexe de son amant lui appartenait entièrement, elle prenait plaisir à jouer avec, à sentir sa texture sur sa langue et jusqu'au fond de sa gorge. Quel délice que de sentir ce sexe d'homme dans sa bouche...
Hé, laisse m'en un peu! », s'exclama Marina en rejoignant son amie.
Les deux jeunes femmes se croisèrent à mi-chemin, et échangèrent un baiser complice, et Françoise vint s'installer près du visage de Sébastien, embrassant son front, ses oreilles, puis enfin ses lèvres, alors que Marina prenait en main son sexe. Le baiser de Françoise avait le goût du sel, mais également du sexe de Sébastien. Il eut l'étrange sensation d'embrasser son propre sexe.
Marina, pendant ce temps, avait le sexe de Sébastien rien que pour elle, et elle comptait bien en profiter jusqu'au bout. Elle pointa le bout de sa langue entre ses lèvres, et pourlécha la verge de son amant sur toute sa longueur, accompagnant le mouvement de ses doigts fins. Elle apprécia la saveur, légèrement salée, de ce sexe d'homme fièrement dressé, comme s'il cherchait à la provoquer. Elle reprit le mouvement de masturbation là où Françoise s'était arrêtée, et observa les réactions de ce pénis gonflé, scrutant chaque veine qui pulsait à la surface de celui-ci. Sébastien laissa échapper un râle de plaisir à l'instant où ses lèvres vinrent se poser sur son gland.
Marina s'arrêta quelques instants sur celui-ci, l'explorant de sa langue, appréciant la douceur de cette peau si fine qui la séparait des terminaisons nerveuses de ce sexe, puis entama un lent va-et-vient de sa bouche, avant d'accélérer le mouvement.
Elle sentait le sexe de Sébastien dans sa bouche, le léchait, l'aspirait, et Sébastien commença à fondre de plaisir. Elle sentit son sexe emplir sa bouche, le goût de celui-ci, douceâtre, salé et amer à la fois, enivrait ses sens, et tout à coup, elle sentit jaillir la semence de son amant, qu'elle reccueillit précieusement dans sa bouche à mesure qu'elle jaillissait. Quelle saveur!
Le goût de cette semence, mêlé au sel laissé sur sa peau par l'eau de mer, et à celui de sa peau, était entêtant, enivrant, et elle se laissa emporter quelques instants, conservant dans sa bouche à la fois le sexe et le sperme de son amant, puis elle abandonna le membre tant désiré pour remonter vers son visage, et elle partageant sa semence avec Françoise dans un long et tendre baiser sous les yeux ébahis de leur amant commun.
Elle vinrent ensuite embrasser tout à tour le jeune homme, lui faisant partager le goût de sa propre semence et celui de leurs baisers.
C'était le début d'un réveillon pas comme les autres, fait de sensualité et de tendresse, où les corps et les sens se mélangèrent à loisir dans un tourbillon de plaisir et de désir.
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