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Récits

Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 12:50

 

Se plaçant derrière sa voisine, Sébastien sent son sexe se raidir à nouveau au contact de cette peau soyeuse et chaude, sensation exacerbée par la fine pellicule d'eau qui sépare leurs deux corps.

 

Sylvie se saisissant du sexe de Nicolas, celui-ci saisit la tête de la belle entre ses mains, et accompagne les mouvements de celle-ci.

 

Les doigts de Sylvie parcourent cette verge dressée fièrement, qui lui est si familier. Elle en connait les moindres détails, et sait comment le manipuler, de façon à augmenter le désir de son amant, joignant la langue et les lèvres au mouvement de sa main, alors que les mains de Sébastien parcourent ses hanches, son dos et sa poitrine, et qu'il dépose de tendres baisers dans son cou.

 

Ils restent ainsi de longues minutes, à échanger caresses manuelles et buccales, le souffle de Nicolas se fait plus court à chaque instant, puis, accompagnant le mouvement de sa compagne, il l'aie à sortir de l'eau. Elle ne tient plus, elle brûle de sentir son homme en elle, et se hisse hors de l'eau.

 

Nicolas s'allonge sur le bord de la piscine, Sylvie le chevauchant, et son sexe cherche le chemin de l'intimité de sa compagne. Sébastien, plutôt que de se contenter de rester simple spectateur, se saisit alors de ce sexe d'homme, sensation troublante que de sentir les pulsations qui le parcourent, et accompagne le mouvement de celui-ci, caressant ses lourdes bourses comme le sexe de la jeune femme.

 

Sortant à son tour de l'eau, il vient rejoindre les deux amants, qui se déplacent pour offrir à son regard le postérieur fièrement dressé de Sylvie et son sexe que pénètre en cadence celui de son homme.

 

Caressant les fesses ronds et bien dessinées de Sylvie, il recueille un peu de son lubrifiant intime et vient en oindre son anus, parvenant rapidement à y glisser un doigt.

 

Quelle sensation étrange que de sentir du bout de son doigt le sexe de Nicolas qui fouille l'intimité de la jeune femme. Les mouvements de celle-ci s'accélèrent, Sébastien se saisit de son propre sexe de son autre main, et celui-ci retrouve une belle vigueur. Les gémissement de la jeune femme se font de plus en plus sonores, et d'une main, elle cherche à se saisir de Sébastien qui, comprenant l'invitation, vient présenter son sexe gonflé de désir à l'entrée de ses fesses. Doucement, délicatement, il s'introduit en elle. Nicolas et la jeune femme ont cessé de bouger, savourant la sensation de ce second sexe d'homme qui la pénètre.

 

Il s'introduit de plus en plus profondément à chaque instant, d'une seule lente et langoureuse poussée, et Sylvie l'accueille en elle d'un long râle prolongé de plaisir. Les sexes des eux hommes sont uniquement séparés par une fine membrane, et ils sentent l'autre pulser à chaque instant.

 

Les trois corps s'immobilisent à l'unisson alors que Sébastien s'est introduit jusqu'à la garde, ses bourses entrant en contact avec le corps de sa voisine. Jouant à contracter leurs muscles intimes, ils se caressent intimement, et Sylvie se sent transporté. Elle sent les deux sexes gonfler et dégonfler de concert, et caresser ses parois les plus intimes, et un premier orgasme la saisit rapidement, lui arrachant un cri de plaisir en même temps qu'elle inonde le sexe et les bourses de son homme. Une douce chaleur, sensation de douleur et de plaisir mêlés, l'envahit. Des frissons incontrôlables la parcourent et son corps s'effondre sur celui de Nicolas, les eux hommes toujours fermement ancrés en elle continuant de pulser à l'unisson pendant de longues minutes.

 

Son plaisir augmente encore comme elle se redresse et que les deux hommes commencent à s'agiter, les deux sexes fouillant dans ses entrailles, et elle sent un second orgasme monter comme les deux hommes accélèrent la cadence, transportés par le désir qui les envahit. Elle se sent chose entre leurs doigts, objet de leur désir et de leur plaisir, et, alors que Nicolas s'immobilise alors que de longs jets de semence lui échappent de façon incontrôlable, Sébastien jouit également d'un seul et unique long jet puissant de sperme qui se répand dans ses intestins.

 

Les trois amants s'écroulent, transportés de plaisir, et les deux hommes restent en elle quelques longs instants, alors que leurs mains caressent les corps, sans chercher à savoir à qui appartiennent ces hanches, ces jambes, ces épaules et ces nuques, en attendant que, perdant de leur vigueur, les deux verges finissent par libérer les deux orifices, d'où s'écoulent des filets de semence chaude, presque brûlante.a

 

 

 

Par Korrigan Coquin - Publié dans : Récits - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 19:30

Libéré de son travail quelques heures plus tôt que prévu, Sébastien se fait une joie de rejoindre sa maîtresse et de faire une surprise à celle-ci. Ils avaient convenu qu'il la rejoindrait demain, mais lui ne peut plus attendre de la serrer dans ses bras, de caresser sa peau.

Sitôt sorti du travail, et malgré la distance et la fatigue de la journée, il range son matériel et le voici qui repart de chez lui à minuit passé, au guidon de sa moto. La route est longue, il fait nuit, mais son désir de rejoindre la belle Julie est trop prenant. Il faut qu'il la voie. Il a besoin du contact de sa peau.

Les deux heures de route se passent sans anicroche, et le voici devant la maison. Il sait qu'elle a caché une clé de chez elle, et la trouve rapidement, Déverrouille la porte, se faufile sans un bruit à l'intérieur, et referme derrière lui.

Tel un chat, il se dirige sans hésiter vers le salon, se débarrasse de son équipement en essayant de faire le moins de bruit possible, et se glisse tel une ombre dans la chambre de la belle.

Il distingue sans peine ses formes féminines sous le drap. En cette chaud nuit d'été, elle dort couverte d'un simple drap léger, qui ne masque aucunement ses formes généreuses. Il reste ainsi quelques minutes à la contempler, comme statufié, puis, se débarrassant de ses derniers vêtements, il glisse lentement, avec mille et une précaution, sous le drap, et vient presser son corps contre celui de la belle.

Sans se réveiller, celle-ci se retourne dans son lit, et se retrouve dans les bras de son amant. Son visage s'enfouit contre le torse de l'homme, et elle commence à s'agiter doucement. Le parfum des cheveux de Julie dans ses narines, la chaleur de son corps, le doux contact de sa peau... Tout cela éveille en lui un désir prégnant, mais il ne veut pas la réveiller, il profite juste de l'instant.

Son désir envahissant le fait se raidir, et son sexe dressé vient au contact de la jambe de la douce, qui sourit en dormant.

Ils restent ainsi de longue minutes. Sébastien n'ose plus bouger, de peur de briser la magie de l'instant, mais Julie finit par sentir la présence de son amant, et par s'éveiller comme si elle continuait de vivre un rêve. Elle ouvre les yeux et son regard plonge dans celui de son amant, les yeux brillants sous les effets du clair de lune qui passe par la fenêtre dont elle a laissé les volets ouverts.

Sans dire un mot, il embrasse son front, et elle vient se blottir plus près encore, comme une chatte. Elle ronronne de plaisir de retrouver son homme, son amant occasionnel.

Malgré sa fatigue, Sébastien caresse lentement, tendrement l'objet de son désir. Elle répond à ses sollicitations, et ses soupirs le supplient de continuer.

Sa main se pose sur le visage de la jeune femme, il caresse sa joue du bout des doigts, et elle embrasse ceux-ci au passage. Son autre main parcourt le dos de Julie, et il la sent frissonner de désir.

Leur lèvres se rencontrent, et ils échangent ainsi un long baiser passionné, alors que la main de Sébastien vient se poser sur sa hanche, puis caresse son flanc, redescend sur sa cuisse et continue de la caresser.

Elle se blottit à nouveau contre ce torse légèrement velu. Il n'a pas eu le temps de se raser, mais elle aime à faire jouer ses doigts dans la fine toison. Elle pose sa main sur le torse de son homme, elle est à lui comme il est à elle pour ce moment qui promet d'être intense.

Les mains de Sébastien s'activent sur le corps de la jeune femme, qui laisse échapper de plus en plus de soupirs d'aise et de gémissements. Il sent la chaleur qui s'échappe d'elle. Elle est brûlante de désirs sous ce drap. Il l'invite à s'allonger sur le ventre, et vient se placer à califourchon au-dessus d'elle. Il veut la savoir totalement détendue, et lui procurer non seulement du plaisir, mais aussi du bien-être.

Ils n'ont toujours pas échangé un seul mot, mais elle sait ce qu'il va faire, et elle en soupire de bonheur avant même de sentir les mains de son amant qui se posent sur ses omoplates pour entamer un langoureux ballet, un doux massage qui détend tous les muscles de son dos. Ses doigts se font tantôt légers, tantôt fermes. La paume de ses mains vient masser fermement mais avec tendresse ce dos bien dessiné.

Il se régale de sentir les frémissements, les frissons de ce corps sous ses doigts. Elle commence enfin à s'abandonner, presque totalement, et ses mains s'aventurent alors plus bas, passent sur ses hanches, ses fesses... L'un d'elle se glisse entre ses cuisses, sans aller jusqu'au bout, juste au point de sentir la douce chaleur qui s'échappe de son intimité. Il vient déposer un baiser sur ses fesses, s'imprégnant les narines du parfum de désir qu'elle exhale sous l'effet de ces caresses. Ses mains massent également ses jambes, s'attardant sur les chevilles, sur la plante de ses pieds. Elle qui est pourtant chatouilleuse, est maintenant totalement détendue, et se laisse aller pleinement aux sensations qui l'envahissent. Il remonte lentement, caressant et massant tour à tour ses mollets, arrive au genou, dans le pli duquel il dépose un nouveau baiser, laissant poindre sa langue.

Le gémissement qui échappe à a jeune femme est le signal qu'il attendait. Sans un mot, il la laisse se retourner, se présentant à lui sur le dos, offerte...

Elle écarte lentement les cuisses alors que les mains et la bouche de son amant remontent le long de ses cuisses.

Il vient déposer un baiser juste au-dessus de son sexe rasé. Ses doigts arrivent au contact de ses lèvres intimes, mais il prolonge l'instant. Elle est au supplice. Elle sent la présence de ces doigts si près de son intimité. Le souffle chaud de l'homme sur son sexe la rend brûlante de désir et elle sent ses lèvres s'entrouvrir sans qu'il aie à faire un geste, venant à la rencontre de ses doigts.

Elle pose les mains sur la tête de Sébastien. Elle aime sentir ses cheveux, mais c'est avec fermeté qu'elle le guide, le poussant vers son intimité. Elle se livre à lui, et sent bientôt la bouche de celui-ci qui se pose autour de son clitoris, recouvrant son sexe. Le contact de sa langue charnue, sur son bouton, puis sur ses lèvres, la transporte. Elle n'est plus que désir, que plaisir. Une douce sensation l'envahit comme les doigts de Sébastien rejoignent sa langue. Elle en sent un, puis deux, se glisser dans son vagin... Ils s'agitent, comme sur une corde de guitare, jouant d'un arpège langoureux, puis plus rythmé. Ils parcourent les parois internes de son sexe, alors que la langue de Sébastien caresse son clitoris. Elle halète de plaisir, et de ses doigts, elle indique à Sébastien le rythme qui lui procure le plus de plaisir. Et lui se plie à ces ordres non-formulés, exprimés par le toucher plus que par la parole. Elle ne se sent plus capable d'articuler, une vague de chaleur l'envahit comme le rythme des caresses et baisers de son amant s'accélère, et elle atteint bientôt le point de non-retour. Une sensation de plaisir, de bonheur, de douleur, des frissons et une vague de chaleur la prennent, et elle explose dans un orgasme silencieux, le dos arqué, le sexe venant se presser contre les doigts et le visage de Sébastien.

En réponse à cette jouissance, qu'il a senti lorsque le vagin de Julie s'est contracté sur ses doigts et que tout son corps s'est tendu comme une corde de piano, il prolonge quelques instants ses caresses et ses baisers, mais quitte la zone devenue si sensible, remontant lentement le long du corps de son amante, la parcourant du bout des doigts, l'embrassant tendrement pour arriver auprès d'elle et la serrer dans ses bras, où elle vient se blottir, plus chatte que jamais, comme les mains de son amant continuent de parcourir son dos, son flanc et sa hanche, et qu'il vient déposer un doux baiser sur son menton, sa joue, ses yeux et son front.

Et c'est ainsi qu'ils s'endorment, deux corps satisfaits, mêlés dans un plaisir intense... Pour quelques heures de sommeil...

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 11:43

Voilà déjà plusieurs semaines que les voisins de Sébastien ont installé une piscine intérieure dans l’une des dépendances de leur propriété, et avec la chaleur de ces derniers jours, il les envie quand il entend les clapotis depuis son propre jardin, alors que leur véranda est ouverte.

 

Sylvie et Nicolas, ses deux voisins, sont des trentenaires actifs, lui étant artisan et elle secrétaire. Elle a de longues jambes fines, des hanches larges et une poitrine à damner un saint. Lui est un grand brun au torse puissant et aux épaules larges. Son métier de charpentier lui permet de se maintenir en excellente condition physique. Sébastien, lui, est également un trentenaire, mais lui est célibataire depuis que sa compagne l’a quitté pour satisfaire son besoin de carrière. Il s’est donc retrouvé seul dans sa petite maison, et s’est consacré à son métier et à profiter de la vie. Ils habitent un ancien hameau.

 

La maison du couple compte deux dépendances et la sienne en compte deux également, dans lesquelles il stocke son matériel de voile et de moto, et qu’il a transformées en atelier..

 

Lorsque Nicolas vient lui demander de bien vouloir veiller sur leur maison et leur chien pendant qu’ils s’absentent pour les vacances, il saute sur l’occasion et lui demande s’il pourra également profiter de la piscine pendant la semaine où ils comptent s’absenter et Nicolas accepte. Une semaine à profiter de la piscine, cela ne se refuse pas, et il sera lui-même en congé. Ses clients sont fermés pour la plupart pendant cette quinzaine du mois d’août, et il a bouclé la plus grande partie de ses dossiers.

 

Il plonge donc avec délice dans cette eau agréable, et il lui faut peu de temps pour en profiter pleinement, ne portant plus de maillot. La sensation de l’eau sur sa peau libre est si agréable… Le dernier jour, le couple a prévu d’arriver dans la soirée. Sébastien s’installe donc au bord de la piscine pour l’après-midi, et, après avoir nourri le chien, il s’allonge au soleil sur un transat dans un coin du petit bâtiment, dans le plus simple appareil. La caresse du soleil le berce et il ne tarde pas à s’assoupir.

 

Au bout d’un moment, une étrange sensation l’amène à se réveiller, et il se retrouve nez-à-nez avec Sylvie, vêtue d’un maillot deux pièces qui souligne à merveille sa silhouette féminine. Ne sachant comment réagir, il reste interdit un moment, leurs regards fixés l’un sur l’autre. Bredouillant quelques mots d’excuse, il commence à se redresser quand il entend la voix de Nicolas.

 

" Hé bien, on dirait que notre prince charmant se réveille. Dis-moi, tu nous avais caché que tu étais naturiste...

- Heu, c'est-à-dire que…

- Non, ne t’excuse pas. Nous aussi on aime bien profiter des sensations du soleil et de l’air sur notre peau nue. C’est juste qu’on ne s’attendait pas à te trouver ainsi.

- En même temps, ce n’est pas une mauvaise surprise…" Ajoute Sylvie avec un sourire mutin. Ne sachant quoi répondre, Sébastien se relève et attrape sa serviette, qu’il noue autour de sa taille. 

 

"Oh, allons, c’est un peu tard pour ça, non ? ", souligne Sylvie, dont le visage affiche une moue boudeuse.

" Allez, on se joint à toi. "

 

Sur ces mots, Nicolas se débarrasse de son maillot, et plonge tête la première dans l’eau. Sylvie, de son côté, retire le haut de son maillot, dévoilant son opulente poitrine, puis se retourne pour retirer le bas. De sa place, Sébastien a ainsi une vue exceptionnelle sur son postérieur bien dessiné, sur ses formes voluptueuses, et sa serviette ne cache aucunement son érection naissante.

 

Il décide donc de s’en débarrasser, et de suivre Nicolas dans l’eau, espérant que la fraîcheur relative de celle-ci calmera quelque peu ses envies. Il s’accroche donc au bord de la piscine, le ventre plaqué contre le bord pour essayer de cacher l’effet qu’a Sylvie sur lui. Mais de là où il est, il ne peut échapper à la vision de la belle nymphe étendue sur sa serviette. Ses jambes au galbe délicat, la fine toison délicatement taillée qui surplombe son sexe. Ses seins rebondis, son visage délicat et sa gorge.

 

Nicolas le rejoint et chuchote à son oreille : " Elle est belle, non ?

- Heu, oui…

- Allez, ne sois pas timide. Avoue qu’elle te fait de l’effet. D’ailleurs, tu aurais du mal à prétendre le contraire à ce que je vois… "

 

A ces mots, il se retourne vers Nicolas, et celui-ci se rapproche lentement de son voisin. Leurs regards se croisent, et il sent une main qui vient se poser sur ses bourses, l’autre venant se poser sur son bras. 

 

"Hé, dis donc, tu es plutôt pas mal monté… "

 

Interloqué, ne sachant comment réagir, Sébastien se raidit, mais la caresse de Nicolas, loin de se faire insistante, se poursuit doucement, presque tendrement. Sous l’effet de la surprise, son regard descend vers son sexe, et il voit la main de son voisin qui caresse sa hampe, lentement, et le sexe dressé de celui-ci.

 

Leurs regards se croisent, et l’autre main de Nicolas se saisit de celle de Sébastien, la guidant vers son propre sexe dressé, dont le gland est déjà libéré de sa prison de chair. Se laissant faire, Sébastien ferme les yeux, et de ses doigts, il sent le contact de ce nouveau sexe inconnu. Son index dessine la forme du gland, et il entend le soupir de Nicolas, alors qu’il sent les doigts de celui-ci se refermer sur son propre sexe. Ils entament ainsi de lents mouvements de va-et-vient, alternant avec des caresses, jusqu’à ce qu’ils entendent la voix de Sylvie.

 

" Et bien les garçons ? On dirait que vous ne vous ennuyez pas tous les deux ? Et moi alors ?

- Viens donc nous rejoindre chérie. Je suis sûr que Sébastien serait ravi de prendre soin de toi… "

 

A ces mots, Sylvie se lève de son transat et vient s’installer au bord de la piscine, les jambes de chaque côté de la tête de Sébastien, offrant à son regard son sexe trempé de désir.

 

Alors que Nicolas continue de le caresser, il saisit de ses bras les cuisses de la compagne de celui qu’il faut bien appeler son amant, et approche son bassin de son visage. Les mains de Sylvie caressent son sexe sous le nez de Sébastien, écartant ses lèvres, agitant son bouton de plaisir, et des gémissements lui échappent comme la bouche de celui-ci vient se refermer sur son clitoris en un doux baiser.

 

Le parfum exhalé par cette vulve l’emporte, balayant ses dernières réticences, et il entreprend alors un long et lent cunnilingus, accompagnant les mouvements de main de Sylvie, alors que Nicolas continue de le masturber allègrement, et lorsque sa maîtresse jouit sous ses coups de langue et de lèvres, il ne peut contenir sa propre jouissance, et un filet de sperme jaillit dans l’eau entre les doigts de son voisin. 

 

" Mmmh, c’était très agréable. Tu es un maître ne la matière dis-moi, lui lance alors Sylvie

- Mais quel gâchis… Tu sais, Sylvie adore goûter son amant. Attends, reprends des forces, pendant ce temps, je vais m’occuper de ma chérie. C’est que je n’ai pas eu le droit de jouir pour le moment moi, se plaint Nicolas.

- Mon pauvre chéri. Ne t’en fais pas, je vais rattraper ça. "

 

Et comme Nicolas sort de l’eau pour rejoindre sa compagne, celle-ci se glisse à son tour dans la piscine. Son compagnon vient se poser sur le bord de l’eau, et Sébastien, comprenant instinctivement ce qu’on attend de lui, vient se placer derrière elle, ses mains parcourant le corps de la belle.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 19:51

 

En ce mois d'août ensoleillé, Sébastien a enfin l'occasion de tenir sa promesse, faite à Ariane, de l'emmener faire une promenade à moto. Depuis des mois, ils essaient de trouver un créneau où ils soient tous deux disponibles, mais, avec leurs emplois du temps surchargés, ça n'a pas encore été possible. D'autant que la météo de juin et juillet n'a pas été franchement coopérative.

 

Ils se sont donnés rendez-vous à la terrasse du café, sur la place de la mairie. Enfin, sur la place de l'église également. Leur village n'était qu'un bourg à l'origine, et comme tous les bourgs de Bretagne, ce sont le café et l'église qui ont été les premiers bâtiments à vocation sociale à être construits.

 

Elle est déjà là lorsqu'il arrive. S'il y a une qualité qu'il apprécie chez Ariane, outre sa grâce et sa délicatesse, c'est sa ponctualité et sa bonne humeur quasi-permanente et communicative.

 

  • Salut miss, comment vas-tu? Prête pour ta première chevauchée?

  • Bien sûr, ça fait un moment que je n'attends que de pouvoir enfourcher ta machine. C'et bien comme ça qu'on dit?, ajoute t'elle en le voyant s'empourprer légèrement, un sourire en coin se dessinant sur son visage.

  • Si, si, c'est juste que ça me fait bizarre d'entendre ces mots dans ta bouche...

 

Ils échangent à nouveau un grand sourire, devant le comique de ce discours à double sens, puis se mettent à parler un peu de tout et de rien. Ca fait trois semaines qu'ils ne se sont pas vus et ils n'admettront pas qu'ils se sont manqués, mais cela s'entend en second plan derrière les paroles, comme cela se devine derrière leurs regards et leurs gestes affectueux.

 

Cela fait des années qu'il se connaissent. Ils ont partagés leurs joies et leurs peines, leurs amours déçues, et une grande complicité s'est installée entre eux, qui a survécu au départ d'Ariane pour un autre département, lorsqu'elle y a trouvé du travail.

 

Mais entre eux, tout a toujours été platonique, malgré la tension palpable qui s'est souvent installée. Ils ont même partagé la même couche à plusieurs reprises, et se sont endormis et réveillés tout simplement dans les bras l'un de l'autre.

 

Intérieurement, Sébastien est tiraillé. Il est très attiré par cette jeune femme qui a cinq ans de moins que lui, mais il ne parvient pas à savoir si ces sentiments plus profonds que de la simple affection sont ou non partagés, à cause justement de cette complicité.

 

Ariane tient une place importante dans sa vie. Et son départ a été un véritable déchirement pour le jeune homme.

 

Mais pour le moment, l'humeur est au beau fixe. Le soleil est de la partie, il n'y a pas énormément de circulation à cette heure; tout le monde est déjà à la plage ou réfugié à l'ombre pour se protéger de la chaleur.

 

Leur verre fini, une limonade pour lui, et un café allongé pour elle, les voici enfin devant la moto de Sébastien. Il équipe son amie, lui explique les réglages de la dorsale, du blouson, du casque. Vérifie qu'elle s'est bien équipée de bottes sous son jean, et l'aide à enfiler tout le harnachement, vérifiant et revérifiant le serrage de chaque pièce d'équipement sans remarquer que les yeux de la jeune femme cherchent les siens en permanence.

 

Lorsqu'enfin il se redresse pour vérifier le serrage de on casque, quelque chose dans ce regard le trouble et lui fait perdre un instant ses moyens.

 

  • Quelques conseils avant de prendre la route si tu veux bien. Première chose, ne te sers pas des poignées de maintien dans un premier temps. Vu que c'est ta première balade à moto, il vaut mieux que tu t'accroches à ma taille, pour mieux suivre les mouvements de la moto. On a naturellement tendance à se mettre au « rappel », lorsque la moto penche parce que ce n'est pas un mouvement naturel et qu'on a la sensation de chuter. Mais au contraire, il faut arriver à faire « corps » avec la moto, à suivre ses mouvements pour éviter de la déséquilibrer. Sinon, elle se redresse, elle ne tourne plus aussi bien dans le virage, et il y a un risque de chute. Mais ne t'en fais pas, aux vitesses auxquelles on va rouler, il n'y a pas beaucoup de risques. D'acccord?

  • D'accord. Je m'accroche à toi alors. Je peux m'appuyer sur le coffre à l'arrière?

  • Oui, bien sûr, mais essaie tout de même de bien t'accrocher à moi dans un premier temps. Et si ça va trop vite pour toi, tu me tapes sur l'épaule. Avec le bruit du moteur, on ne pourra pas se parler. Il y a des systèmes radios ou intercoms, mais mes casques ne sont pas équipés. Si tu veux qu'on s'arrête, tu me donnes un petit coup sur la hanche, et si tu veux qu'on tourne à une intersection, tu poses ta main sur ma cuisse du côté où tu souhaites aller. Ca marche?

  • Oui, oui, pas de problème.

  • OK, alors, je vais monter en premier, démarrer, sortir la moto de sa place de stationnement, et ensuite, tu montes derrière moi en te servant du cale-pied gauche. Ne pose pas les pieds sur les valises, tu risques de glisser.

  • Ca roule.

  • Bien, on n'a plus qu'à y aller alors.

 

Sébastien monte en selle, retire la béquille, démarre le moteur, et le voici rapidement prêt à sortir de sa place de stationnement. Ariane grimpe derrière lui, et il sent ses bras menus enserrer sa taille, et malgré sa dorsale, il perçoit le contact de sa poitrine qui vient s'appuyer contre son dos. A ce contact, une boule se forme dans sa gorge. Heureusement qu'elle est derrière lui et qu'elle ne peut pas le voir rougir sous son casque...

 

Ariane, quant à elle, se sent rapidement à l'aise passées les premiers croisements, et elle se concentre sur les mouvements du corps de Sébastien, dont elle perçoit les muscles qui se contractent sous son blouson léger. Jamais encore elle n'avait réalisé à quel point il était musclé. Il n'en a pas vraiment l'air, même s'il a effectivement les épaules larges et puissantes. Ses muscles fins et bien dessinés sont tellement bien équilibrés qu'ils ne sont ni saillant, ni flasques. Elle se remémore malgré elle l'image de ce jeune homme sortant de la douche, une simple serviette nouée autour de la taille lorsqu'ils se logeaient mutuellement, le contact de sa peau tannée par le soleil lorsqu'elle s'endormait dans la chaleur soyeuse de ses bras, la douceur avec laquelle il la prenait parfois par la taille pour appuyer ses bises ou pour la prendre dans ses bras à l'occasion.

 

Sébastien... Pourquoi ne l'a t'elle jamais perçu de cette façon depuis toutes ces années? Non pas qu'elle aie enchainé les conquêtes sentimentales, mais il l'a vue sortir avec l'un de ses amis, qu'il lui avait présenté, sans rien dire. Il l'avait vue souffrir après sa rupture d'avec un autre homme, l'avait réconfortée, soutenue et aidée à remonter le pente, sans faire le forcing ou se mettre en avant comme l'homme qu'elle recherche et avec qui elle pourrait partager sa vie. Elle hésite parfois à faire le premier pas, elle ne sait pas s'il partage ou non ces sentiments... D'ailleurs, est-ce que ce sont des sentiments, ou juste des pulsions qui l'attirent elle, le pousse dans les bras de ce beau jeune homme?

 

Les kilomètres défilent, Ariane se sent de plus en plus à l'aise. Comme il l'a promis, Sébastien conduit prudemment, sans à-coups. Elle se laisse emporter par les trépidations du moteur, s'enivrent des parfums de la nature qui les entoure. Elle comprend mieux maintenant ce qui attire Sébastien dans la moto, cette proximité avec son environnement immédiat, la sensation du vent sur la toile de son blouson, les fragrances des plantes en bord de route, de l'herbe et des champs fraîchement coupés, de la marée qui se retire... C'est si enivrant...

 

Ils roulent ainsi pendant une demi-heure avant de faire une première pause en haut d'une falaise, à un endroit où seule une moto peut se garer tant l'accotement est étroit. La vue est à couper le souffle. Elle entend le fracas des vagues qui s'écrasent au pied de la falaise une fois son casque retiré, observe le vol des oiseaux de mer un peu plus bas. Elle s'approche du bord et sent bientôt la présence du corps de Sébastien tout près du sien. L'accotement est effectivement très étroit, et elle prend appui contre le corps du jeune motard, posant sa tête contre la clavicule de celui-ci. En silence, ils savourent tous deux le moment.

 

  • Ca te dit d'aller voir un peu plus bas? Il y a une petite route qui descend un peu plus loin et une petite grève vraiment sympa, surtout à cette heure de la journée. Tu verras, la lumière y est magnifique.

  • D'accord, allons-y.

 

Ils remontent en selle, reprennent la route, et Sébastien s'engage au ralenti sur une voie carrossable étroite et à peine entretenue, qui descend au milieu des arbres, ponctuée d'épingles qu'il négocie avec prudence, et après quelques minutes, les arbres laissent la place à une petite grève de galets déserte qui s'ouvre sur la baie.

 

Effectivement, à cette heure de la journée, la grève est baignée de soleil, et les reflets du soleil sur la mer l'éblouissent malgré l'écran solaire intégré à son casque.

 

Sébastien gare la moto à l'entrée du chemin, descend de moto, et vient la rejoindre après avoir récupéré un sac dans son top-case.

 

  • Alors, qu'est-ce que tu en dis?

  • C'est incroyable que je n'aie encore jamais vu cette grève. J'habite ici depuis toujours, et pourtant je ne connaissais pas du tout cet endroit. Comment tu en as entendu parler?

  • J'y suis venu en planche à voile un jour où j'avais besoin de faire une pause pour réparer mon pied de mât, et j'ai passé quelques jours à chercher l'entrée de ce chemin avant de trouver il y a deux semaines environs. Tu es la première personne à qui je le fais découvrir.

  • Mmmh, merci, et qu'est-ce qui me vaut cet honneur?

  • Et bien, ton initiation en tant que passagère à moto bien sûr, ajoute t'il avec un grand sourire, ouvrant le sac pour en sortir une bouteille de cidre enveloppée dans un torchon et deux tasses en terre cuites emmitouflées dans une serviette qu'il étend sur l'herbe folle en haut de la grève. Ca se fête, non?

  • Tu as vraiment plein de surprises Séb', merci.

  • De rien, tu le mérites, conclut-il en appuyant sa remarque d'un clin d'œil.

 

Sous le soleil, et maintenant qu'ils sont arrêtés, ils retirent tous deux les couches de protection, mais Ariane s'empêtre entre le blouson et la dorsale. Elle ne parvient même pas à dégrafer son casque.

 

  • Attends, je vais t'aider.

 

Sébastien se retrouve face à elle, en t-shirt et pantalon, et elle sent ses mains se glisser sous la mentonnière, dégrafer le casque et le lui retirer, leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre pendant un instant. Inconsciemment, elle ne peut à ce moment empêcher son regard de descendre vers les lèvres du jeune homme. Elle est dévorée par l'envie de l'embrasser, de le goûter... Mais l'instant passe aussi vite qu'il est venu, et Sébastien s'attaque à la fermeture du blouson.

 

L'instant n'a pas échappé non plus au jeune homme, qui sent le corps de la jeune femme qui tend à se rapprocher de lui alors qu'il fait glisser ses mains le long de son corps pour le libérer de son carcan de fine toile cordura. Il fait glisser le blouson de ses épaules, et leurs visages s'effleurent à nouveau, et c'est à son tour d'être désarçonné par le parfum de la jeune femme, alors qu'il sent les mains de celle-ci qui viennent se poser sur la ceinture de la dorsale qu'il n'a pas encore retirée.

 

Ils restent ainsi un long moment, leurs corps tendus proches l'un de l'autre, les mains d'Ariane posées sur la ceinture de la dorsale du jeune homme, alors que ses mains à lui suivent le dessin des bretelles de sa dorsale de protection à elle...

 

Toutes ces années de silence, de non-dits, de moments complices, trouvent leur paroxysme dans cet instant, se cristallisent dans les pensées qui les traversent tous deux alors que leurs corps se rapprochent, que leurs visages s'effleurent et que leurs souffles se mélent enfin dans un baiser tendre, doux et langoureux. Leur yeux se ferment et ils se laissent tous deux emporter dans le délicieux tourment qui les brûle depuis longtemps. Ils sont tous deux fixés, un tel baiser ne peut qu'être sincère. Leurs lèvres se frôlent, se caressent, leurs langues se rencontrent et s'enlacent en une douce valse chaude et soyeuse, alors que les mains de Sébastien font glisser les bretelles de la dorsale d'Ariane, dont les doigts fins écartent les pans de velcro de la ceinture de celle du jeune motard.

 

Leurs visages s'écartent, leurs regards se croisent et leurs yeux brillent alors qu'ils se tendent l'un vers l'autre pour un nouveau baiser passionné, arrachant presque les dernières attaches de leurs dorsales, et ils se retrouvent bientôt en sous-vêtement, allongés l'un près de l'autre, caressant le corps de leur complice...

 

  • Ariane, je...

  • Chuuut, ne dis rien Séb', moi aussi...

  • Tu es sûre? Ca fait si longtemps qu'on se connait...

  • Oui, justement...

  • Ariane, ce que je veux te dire, c'est que ce n'est pas l'histoire d'un instant partagé ou volé. J'ai tellement envie de partager plus avec toi...

  • Je sais. Je crois que je l'ai toujours su, mais que je ne l'avais pas compris. Et de mon côté aussi. J'aime les moments qu'on partage, j'aime ta présence, ta personnalité...

  • Moi aussi, et je suis vraiment heureux qu'on partage encore un peu plus.

  • Tais-toi et embrasse-moi, idiot, ajoute t'elle avec une sourire mutin.

 

Il s'exécute, et ses mains s'égarent sur le corps de son amie, qui en frissonne de plaisir alors qu'elle s'abandonne à la caresse de ces mains fermes et adroites, et à celle des rayons du soleil sous sa peau qui se dévoile de plus en plus alors que les quelques pièces de tissu qui la couvrent encore finissent à côté de la pile de vêtement qui s'entasse parmi les brins d'herbe. Qu'il embrasse bien, et que ce moment est excitant. Elle ne s'est jamais laissée aller ainsi, se livrant en toute confiance, et en pleine nature qui plus est!

 

Elle se sent mouiller, ruisseler de désir alors que les doigts de Sébastien parcourent sa poitrine, son ventre, ses hanches et ses cuisses... Un fort parfum se dégage d'elle, un parfum de lucre, d'envie... Et le visage de Sébastien est presque attiré vers l'entrejambe de la jeune femme, sa langue parcourant sa peau jusqu'à se retrouver à l'orée de cette zone si sensible, elle ne peut retenir son bassin qui vient s'offrir au jeune homme.

 

Leurs regards se croisent à nouveau, et elle devient dans le plissement des yeux du jeune homme le désir qui brûle en lui également, juste avant de sentir le contact d'un doigt qui caresse ses grandes lèvres. Elle mord sa lèvre inférieure alors qu'elle sent une vague de plaisir l'envahir sous ce contact léger, puis une cascade de bonheur et une jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu finit de l'emporter et elle perd pied sous le contact de ces doigts qui caressent son intimité, la fouillent, sous la caresse soyeuse de la langue qui l'envahit, des lèvres qui excitent son clitoris, une douce sensation de chaleur brûlante prend possession de son intellect pendant de longues minutes, jusqu'à ce qu'elle soit finalement emportée par un long orgasme presque douloureux, qui la laisse languissante et gémissante alors que Sébastien reprend les caresses de son corps tout entier, l'accompagnant dans son orgasme qui semble ne devoir jamais finir.

 

Sans échanger un mot, les deux amants se retrouvent lovés dans les bras l'un de l'autre, échangeant un autre long baiser sous le regard complice des cormorans et goélands étonnés qui n'ont pas perdu une miette du spectacle, se caressant langoureusement alors qu'Ariane reprend progressivement le contrôle de ses sens, sous le regard brûlant d'un Sébastien qui lui aussi se laisse aller à savourer l'instant.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits - Communauté : Récits Erotiques X
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Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 11:56

Le vent souffle régulièrement aujourd'hui, et Sébastien a décidé d'en profiter pour essayer cette nouvelle voile qu'il a racheté sur internet. 5,4m² de pur bonheur en perspective. Une fois gréée et proprement étarquée, elle prend le vent de manière satisfaisante. Il ne reste plus qu'à se mettre à l'eau.

 

Il n'y a pas grand monde sur cette plage aujourd'hui. Il est vrai que le jeudi, la plupart des gens sont trop occupés et fatigués par le travail pour sortr naviguer, mais pour Sébastien, c'est une passion et également une partie de son travail.

 

Le pied de mât solidement fixé à son flotteur, il transporte le tout jusqu'au bord de l'eau et se lance enfin, passant la barre pour profiter de la vitesse offerte par la nature. Une seule planche tourne dans cet endroit, et elle semble galérer un peu. Peut-être un débutant?

 

Sébastien se maintient à l'écart de cette planche au comportement et à la trajectoire erratiques, la surveillant du coin de l'oeil pendant qu'il enchaîne sauts, surfs et autres mouvements de freestyle.

 

La voile tient le coup. Pour une occasion, elle a été bien entretenue.

 

Sébastien s'amuse, mais le vent commence à forcir. Il va être temps de rentrer. Il prend donc la direction de la plage, pour s'apercevoir que l'autre planche à voile a disparu de son champ de vision.

 

Pourtant, il aurait dû la voir rentrer.

 

Un gibe et le voici longeant la plage pour s'assurer que l'autre planchiste est bien rentré. Arrivé à l'autre bout de la plage, il aperçoit de la couleur au milieu des rochers. Il s'approche avec précaution et s'aperçoit qu'il s'agit de la voile de l'autre planchiste. Son flotteur repose sur les rochers et la voile et le wishbone sont coincés. Il a dû chuter et perdre son flotteur.

 

Sébastien empanne et reprend la direction du large. Avec la marée descendante, les courants sont forts à cet endroit, et il ne lui faut que quelques minutes pour apercevoir une tête qui dépasse d el'eau, un bras levé avec peine au-dessus.

 

Il s'approche le plus possible et s'arrêt à côté du planchiste. En fait, il s'agit d'une jeune femme d'une vingtaine d'années.

 

- Hé bien, j'arrive à temps on dirait. Vous allez bien? lui lance-t'il en laissant sa voile tomber dans l'eau avant de s'agenouiller pour saisir la main tendue de la jeune femme.

- Oui, merci. J'ai pris le mât dans la tête en ratant un empannage, et je suis tombée trop loin de ma planche que les vagues ont emportée. Quel dommage, un flotteur neuf!

- Ne vous en faites pas, on ira la récupérer, mais d'abor,d je vous ramène sur la plage.

- Merci. Je m'appelle Marine au fait.

- Enchanté Marine. Moi c'est Séb.

 

Marine se hisse sur le flotteur, et s'agenouille au pied du mât alors que Sébastien redresse sa voile, puis,i pour équilibrer le flotteur, elle se redresse et se blottit contre Sébastien, entre lui et le mât.

 

- Ce sera mieux ainsi, lui dit-il. En plus, c'est très agréable, ajoute t'il avec un grand sourire.

 

Elle lui retourne son sourire, les yeux pleins de malice.

 

-Vous avez raison. On voit que vous maîtrisez bien le sujet. Ca fait longtemps que vous naviguez?

-Quelques années. Allez, maintenant, il nous reste à passer la barre pour rentrer.

 

Il se concentre sur la navigation, et un surf final les raméne sur la plage.

 

- Bien, allez, maintenant, allons récupérer votre matériel, propse t'il en roulant le haut de sa combinaison pour se mettre à l'aise, dévoilant ainsi un top en lycra qui souligne son torse musclé et ses épaules carrées.

- D'accord.

 

Marine et lui longent donc la plage en direction des rochers. La marée est suffisamment descendue, et ils retrouvent le flotteur et le gréement , dont le wishbone s'est logé entre deux rochers.

 

- Hé ben dites, vous avez du bol. S'il ne s'était pas coincé ici, le reflux l'aurait embarquée au large.

- Oui, mais regardez, la voile est percée et mon flotteur est abimé.

- Oh, allez, deux petits impacts comme ça, avec un coup de résine, ça ne se verra plus. Et pour la voile, une petite réparation suffira. En tout cas, c'est du bon matos que vous avez là. Si vous voulez, je peux vous le réparer. J'habite un peu plus haut, après les dunes.

- Heu, oui, pourquoi pas. C'est sympa de le proposer.

- Pas de souci. Vous avez l'air secouée. Je vous offre un verre ou quelque chose de chaud pour vous remonter.

- Merci, c'est super gentil.

 

Ils ramassent donc leur matériel, et c'est chargé de deux flotteurs sur lesquels ils ont fixé les mâts démontés que Sébastien ouvre la route, Marine le suivant avec les deux wishbones auxquels ils ont fixé les voiles.

 

- Vous pourrez récupérer la voiture facilement, la route passe devant la maison avant de redescendre vers la plage.

- Merci encore, c'est super sympa de me reccueillir ainsi, plaisnte Marine.

 

Arrivés au niveau des dunes, elle marque une pause.

- C'est pas super lourd, maisqu'est-ce que c'est encombrant. Je me mets à l'aise et je vous rejoins, ne m'attendez pas.

 

Elle retire alors le haut de sa combinaison, comme Sébastien l'a fait plus tôt, et le roule sur son ventre, dévoilant elle aussi un top en lycra qui met en valeur une poitrine généreuse et un ventre plat. Sébastien, mine de rien, a ralenti et profite du coin de l'oeil du spectacle.

 

Elle le rejoint rapidement, et c'est en silence, échangeant des regards complices qu'ils progressent dans les dunes, pour arriver enfin chez Sébastien.

 

- C'est super joli chez vous! s'exclame la jeune femme en découvrant la petite maison de pierre et ses dépendances.

- Merci, c'est un petit pen-ty, une maison de pêcheur à l'origine. Je l'ai rachetée et aménagée au fiil du temps. Allez, on dépose le matos dans l'atelier et je vous offre un chocolat pour commencer, histoire de se réchauffer. Et si vous voulez, je vous prêterai des vêtements secs pour vous changer. Ce sera plus confortable que la combi.

- Merci. Heu, dites, je ne voudrais pas habuser, mais... Est-ce que je peux prendre une douche également?

- Oui, bien sûr. Je vous montre où c'est.

 

Passant devant Jersey et Guernesey, les deux chiennes labrador de Sébastien qui leur font la fête avant de retourner se coucher dans leur dépendance, ils déposent les flotteurs et le reste du matériel dans la dépendance que Sébastien a transformée en atelier. Sur un établi, un flotteur attend une réparation, les voiles sont pendus au plafond, et le reste du matériel est entreposé sur des étagères. Quelques voiles, mâts, deux flotteurs de kite-surf et trois ailes. Une vieille caravelle, un dériveur de sport et leur accastillage reposent au fond de la dépendance, sur leurs remorques de mise à l'eau. Des combinaisons sont pendues au plafond pour sécher, à côté de trois gilets de sauvetage et de deux ceintures de trapèzes.

 

- Hé bien, vous êtes plutôt bien équipé dites-moi?

- Oui, je travaille dans le nautisme. De temps en temps, je récupère pas mal de matériel abimé ou en fin de vie, et je le répare pour pouvoir l'utiliser. Mais dans l'ensemble, ce sont plutôt de outils de travail.

 

  Une fois le matériel rangé, les voici donc entrant dans l'antre de Sébastien. Marine est tout d'abord impressionnée par la façon dont il a aménagé cette bâtisse. Il faut dire qu'il n'a pas ménagé ses efforts et que le résultat est magnifique, tout comme la vue depuis la large baie vitrée qui donne sur les dunes et la plage.

 

Dehors le vent redouble, une tempête s'annonce.

 

- Ecoutez, la salle de bain est par ici, propose Sébastien. Et voilà des vêtements secs, ajoute t'il en lui tendant un paquet avec un jean et un t-shirt. Allez donc prendre une douche. J'irai récupérer votre voiture pendant ce temps si vous me dites où vous avez rangé la clé. En attendant, vous pouvez vous installer confortablement. Je vis seul ici, vous ne serez pas dérangée.

- Oh, c'est super. La clé est dans l'aile avant droite.

- Génial, je prends vite fait une serviette pour ne pas abîmer votre siège avec ma combi et je reviens. Je me changerai après, la pluie ne va pas tarder de toute façon.

- D'accord, à tout à l'heure alors.

- A tout à l'heure.

 

Sébastien repart donc vers la plage, longeant la route. Cette Marine, une femme vraiment sympa. Et superbe en plus. C'est tout guilleret malgré les grosses gouttes de pluie qui commencent de tremper la chaussée qu'il arrive sur le parking. Une seule voiture y est stationnée, celle de Marine. Il grimpe derrière le volant après avoir récupéré la clé, et le voici rapidement garé à vôté de son propre fourgon sous l'appentis qu'il a fabriqué pour le protéger de la pluie.

 

De retour chez lui, il se séche rapidement, et installe une serviette sur son veux siège pliant en toile, maintes fois rapiécé mais dont il apprécie toujours autant le confort.

 

Marine ne tarde pas à sortir de la salle de bains, portant le jean et le t-shirt que Sébastien lui a prêtés.

 

- Heu, dites, vous auriez une ceinture ou quelque chose? Le jean est un poil trop large pour moi?

 

En effet, il doit faire une voire deux tailles de trop pour la jeune femme, qui a glissé le t'shirt derrière la ceinture du jean.

 

- Heu, oui, bien sûr, répond Sébastien, troublé par la présence de la jeune femme.

 

Il se lève donc et récupére sa ceinture sur son propre jean posé sur un meuble du salon.

 

- Voilà. J'espére qu'elle vous ira. Attendez, je vais vois aider.

 

Ce disant, il se retrouve au côté de la jeune femme. Elle sent bon le gel douche et le shampoing et son corps dégage une douce chaleur. Ses longs cheveux lâchés et encore humides cascadent sur ses épaules. Il se rapproche et commence de glisser la ceinture dans les passants du pantalon.

 

- Je n'ai pas vraiment l'habitude d'habiller une charmante demoiselle. Si les copains me voyaient faire, ils seraient hilares.

- C'est drôle... Enfin, je veux dire, merci de m'accueillir ainsi, de m'avoir sortie de l'eau.et pour tout ce que vous faites. Mais je n'ai pas l'habitude d'être soignée ainsi. Surtout par un homme tel que vous?

- Tel que moi? C'est à dire? lui demande t'il avec un sourire et le regard mi-sérieux, mi-amusé.

- Ne le prenez pas mal surtout, lui répond-elle en rougissant. Je veux dire, un homme si prévenant et qui utilise des mots compliqués comme "hilares" par exemple. Et puis si doux aussi.

- Mais c'est un plaisir, je vous assure, termine un Sébastien un peu surpris et désarçonné par la réponse de la jeune femme, troublé toujours par ce corps si proche du sien, tellement qu'il ne s'aperçoit pas qu'il a fini de passer la ceinture sur le jean et qu'il en tient toujours sles deux extrêmités entre ses mains, tenant ainsi le bassin de la jeune femme proche de lui, les yeux plongés dans ceux de Marine, dont il savoure la teinte grise, ponctué de petits éclats verts qui accrochent le peu de lumière restant avec le ciel de plomb de la tempête qui commence de se déchaîner dehors.

 

Ils restent ainsi quelques minutes, leurs corps quasiment collés, alors que le vent souffle dans le petit jardin, et que la pluie vient s'écraser sur la baie vitrée. Le feu dans la cheminée, que Sébastien avat allumé avant de sortir naviguer crépite et les enveloppe d'une douce chaleur. Ses reflets dans les cheveux châtains de la jeune femme finissent de troubler Sébastien, qui voudrait voir cet instantse prolonger autant que possible quand il sent la main de Marine se poser sur son torse, et sn buste qui s'approche, venant  se coller au sien.

 

- Heu, je suis encore trempé...

- Chuuuut, ne dites rien, lui lance Marine, en glissant une main sous le top en lycra pour le soulever par-dessus la tête du jeune homme.

- Marine, vous êtes sûre que...?

- Oui, laissez-moi faire. J'espère que ça ne vous gêne pas?

- Non, bien sûr, mais...

- Alors il n'y a pas de mais! finit-elle d'une voix qui ne tolére aucun appel de la part du jeune homme, sur le torse duquel ses doigts entament une dansse délicate, jouant avec boucles de son torse et  courant sur ses épaules.

 

Les lèvres de la jeune femme s'approchent de celle de Sébastien, et ils échangent un long baiser langoureux avant que Marine ne prenne de nouveau l'initiative en guidant Sébastien vers le vieux siège de toile où elle le fait asseoir, s'installant sur ses genoux pour échanger un nouveau baiser. Glissant ses mains sous la combinaison de Sébastien elle la fait glisser le long de ses hanches et de ses jambe, dévoilant le caleçon de bain qui masque de plus en plus difficilement une vive érection.

 

Sans mot dire, un sourire satisfait sur les lèvres, elle vient s'installe rà califourchon sur le jeune homme, et prend on visage entre ses mains, caresse sa barbe de trois jours, plongeant son regard brûlant de désir dans celui du jeune homme.

 

Sébastien ne reste pas inactif non plus. Ses mains se glissent sous le coton du t-shirt, caressant la peau à nu de la jeune femme, se shanches, son dos et son ventre, jusqu'à ce qu'il sente le corps de celle-ci bouger comme pour l'inviter à s'aventurer plus haut. Il rejoint alors sa poitrine, généreuse, ferme, et caresse ses seins délicats sous le t-shirt, quand Marine laisse sa tête partir en arrière, emportée par les caresses.

 

Après quelques minutes de caresses, elle saisit les bras de Sébastien, plante de nouveau son regard dans le sien, et avec un sourire gourmand, elle retire elle-même le t-shirt qu'elle projette sur le canapé, dévoilant sa poitrine au regard du jeune homme ébahi.

 

Sa poitrine est effectivement aussi généreuse qu'il s'y attendait. La peau douce et ferme de ses seins lourds est soulignée par des aréoles de taille moyenne, dessinés précisément, et il ne peut s'empêcher de venir embrasser l'un de ses têtons, prenant l'autre sein dans une main pour le caresser et souligner le dessin de l'autre têton du bout de l'index. Le corps de Marine répond tout de suite. Sa tête s'incline sur le côté, les yeux mi-clos, emportée par le plaisir de ces caresses, et Sébastien se fait alors plus insistant, laissant libre cours à ses mains pour explorer le corps de la jeune femme alors qu'il contihue d'embrasser, lêcher et caresser de sa langue le têton durci de la jeune femme dont le dos s'arque sous le plaisir, et qui laisse échapper quelques petits gémissements.

 

- Viens, finit-elle par l'interrompre en lui prenant les mains pour le faire se lever.

 

Les deux jeunes gens se retrouvent donc debout face à face, lui tenant la jeune feme par les hanches, et échangent un long baiser alors que leurs mains enchainent les caresses. Marine le prend alors par la main, et l'entraine vers la douche, devant laquelle elle s'arrête pour glisser ses doigts sous l'élastique du caleçon de bain, le faisant glisser jusqu'aux cheviille du jeune voileux. Ce faisant, elle se retrouve le visage au niveau du sexe en érection de Sébastien, et ils échangent un long regard troublé pendant quelques instants, interrompu par la main de la jeune femme qui vient se poser sur le gland qui se lasse deviner sous la peau qui le recouvre, une goutte de liquide perlant à son exptrémité. Elle commence de le caresser, le décalottant délicatement. Ses longs doigts fins parcourent toute sa longueur.

 

Sébastien n'est pas spécialement bien monté, mais il se trouve dans la bonne moyenne. Au contact de ces doigts délicats, il lui semble pourtant que son sexe est plus gros que d'habitude. Les caresses de MArine font monter en lui une nouvelle vague de désir, alors qu'elle le pousse délicatement à entrer dans la douche, retirant de sa main libre le jean trop grand, qui glisse de lui-même jusqu'au sol.

 

Elle dévoile ainsi une fine toison de poils bouclés, d'un beau châtain cuivré, et Sébastien dirige mine de rien sa main vers cet endroit désiré quand elle l'interrompt en lui saisissant le poignet.

 

- Non, non. Pas tout de suite.

 

Son regard le cloue sur place alors qu'ils entrent dans la douche suffisamment grande pour deux personnes. La main de Marine parcourt à nouveau le torse du planchiste désarçonné, entiérement à sa merci désormais, et son visage se dirige à nouveau vers son bassin. Au contact de sa langue, qui vient lécher avec délicatesse son gland turgescent, il llaisse échapper un petit râle de plaisir, auquel succédent de profonds soupirs lorsqu'elle vient parcourir toute la longueur de son vit avec sa langue avant de l'engloutir complêtement.

 

Il se sent transporté par le plaisir qui monte en lui alors qu'elle alterne les coups de langues, caresses manuelles et buccales, sur son sexe et sur son corps, les mains de la jeune femme arrivant toujours à un endroit où il ne s'y attend pas. Il se laisse transporter, emporter, et son la jouissance monter encore et encore, plus fort que ce qu'il a pu éprouver par le passé.

 

Comme si elle devinait cette montée de plaisir, elle accélère encore ses caresses et baisers, insistant de plus en plus sur les caresses buccales sur le sexe livré à son bon plaisir, jusqu'à ce que les halétements de Sébastien la préviennent de l'imminence de sa jouissance.

 

- Laisse-toi aller, laisse-toi faire, viens dans ma bouche, j'aime beaucoup le goût de ton sexe, et j'aimerai te goûter...

 

Ces mots, ainsi que le contact de sa main qui parcourt la fine peau qui sépare ses bourses de son anus, achèvent de faire monter le plaisir de Sébastien, et à peine Marine le repend-elle en bouche que sa semence jaillit en un long jet puissant qui vient s'acrser dans la gorge de la jeune femme, qui avale chaque goutte qui jaillit encore de ce vit ferme et encore tendu, n'en laissant échapper qu'un tout petit peu, qui vient se poser sur sa joue, avant de nettoyer de sa langue les dernières gouttes de plaisir qui maculent encore le sexe de Sébastien, qui reste malgré tout tendu et vif sous ses caresses.Elle se redresse, et Sébstien vient lécher les quelques gouttes de semence qui restent sur sa joue, avant de l'embrasser tendrement en remerciement, la caressant de nouveau.

 

Repus, ils s'enlacent à nouveau dans cette douche, et les mains de Marine trouvent les mitigeur, faisant couler une eau tiède sur leurs peaux ruisselantes de sueur, et ils restent ainsi de longue mintues dans les bras l'un de l'autre, avant de se savonner mutuellement et d'enfiler à nouveau des vêtements secs, un jean pour lui, une chemise bien trop grande pour elle, sans pour autant mettre de sous-vêtements.

 

- La soirée ne fait que commencer... lance alors Marine avec un sourire gourmand, des étincelles dans les yeux, alors qu'elle entraine son amant vers le salon, pour se blottir dans ses bras sur le canapé, devant le feu qui ronfle dans la cheminée, les deux chiennes, qu'ils ont fait rentrer viennent se coucher devant le foyer, profitant de la chaleur et s'assoupissant rapidement.

 

Quel bonheur que de se retrouver ainsi enlacés dans un cocon de confirt et de chaleur, alors que la tempête continue de s'acharner sur la dune.

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