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Récits

Samedi 1 janvier 6 01 /01 /Jan 10:23

Après avoir passé la journée en groupe et sillonner les routes du département en compagnie de leurs amis, tout le groupe arriva au camping, dans lequel ils avaient réservé plusieurs bungalows. Les deux couples se mirent d'accord pour partager l'un des bungalows, les autres se répartissant dans deux autres bungalows.

 

Les bungalows étaient constitués d'un salon/salle à manger sur lequel donnait une kitchenette, d'une chambre et d'une salle de bains. Comble du luxe, il y avait même une baignoire avec un tuyau et un rideau de douche.

 

Les deux hommes partirent faire quelques courses pour le repas du soir avec deux autres de leurs compagnons de route, pendant que les femmes restaient surplace pour commencer à s'installer et se rafraichir après plusieurs heures passées sur une selle de moto.

 

Patrice et Christiane avaient installé leurs sacs dans la chambre, Juliette et Sébastien prenant le canapé convertible. Juliette se rendit en première dans la salle de bains afin de se délasser sous la douche.

 

Elle entra dans la salle de bain, se dévêtit, posant ses vêtements sur un petit tabouret à côté du lavabo. Courbaturée, elle se détaillait dans le miroir. Elle passa la main sur ses hanches, soulignant le galbe de celles-ci, puis les passa sur son ventre plat et musclé. Elle se trouvait pas mal. Pas une beauté fatale, mais intérieurement, elle se sentait bien. Peut-être à cause de Sébastien. Quand il la regardait, elle avait l'impression d'être la plus belle chose qui soit au monde, que l'univers tournait autour d'elle. Ce regard profond et amoureux l'avait longtemps troublée, jusqu'à ce qu'il se décide enfin à l'approcher et à lui faire des avances. Il y avait tant d'amour, de tendresse dans ce regard... Rien que d'y penser, elle sentait comme une vague de chaleur se diffuser en elle. Elle avait envie de lui, tout de suite, dans cette salle de bains. Mais il n'était pas là.

 

Elle entra dan sla baignoire, tirant le rideau, et ouvrit le robinet pour faire jaillir l'eau sur son corps élancé.

 

Elle pensait à lui, se caressant, les yeux mi-clos, imaginant les mains de son amant sur son corps, la texture de ses lèvres, la tendresse de ses baisers... Elle l'imaginait la prenant dans ses bras, leurs deux corps ruisselant sous l'eau chaude de cette douche. Elle imaginait ses lèvres se posant sur sa gorge, l'une de ses mains la tenant serrée contre lui. Elle imaginait ses propres bras passés autour du cou de son amant, leurs deux corps collés l'un à l'autre. Elle se sentait bien, si bien...

 

Sa main gauche remonta vers l'un de ses seins, la droite remontant le long de sa cuisse vers sa toison pubienne. Sa peau glissait sous le savon, elle sentait la caresse de l'eau sur sa peau. Son sexe s'entrouvrait sous l'effet du désir, et elle commença d'exciter son clitoris en même temps qu'elle caressait son sein, laissant échapper quelques soupirs. Christiane était allée régler un détail avec les autres et lui avait dit en avoir pour quelques minutes. Elle pensait être seule dans le cabanon.

 

Mais Christiane avait été plus rapide que prévu, et elle était revenu dans le cabanon sans faire suffisamment de bruit pour que Juliette sache qu'elle était revenue.

 

Entendant les gémissements de Juliette, elle comprit immédiatement de quoi il retournait, et céda à la tentation en entrouvrant la porte de la petite salle de bains. Elle pouvait apercevoi la silhouette de Juliette à travers le rideau d ela douche. Elle était si belle... Christiane avait toujours envié Juliette, elle la trouvat superbe et, sans se l'avouer, elle la désirait secrétement.

 

Et la voilà qui était là, se caressant sous les yeux de son amie. Christiane se sentit d'abord rougir, un peu honteuse de se comporter en voyeuse. Elle sentait le désir monter en elle alors qu'elle voyait la silhouette de son amie se caressant, entendant ses souirs et ses gémissements.

 

Elle comença de se dévêtir également, petit à petit, afin de pouvoir se caresser aussi devant ce spectacle si excitant d'une silhouette en ombre chinoise.

 

Entièrement nue, elle imitait les gestes de son amie, et se sentit emportée également sous une déferlante de plaisir pendant plusieurs minutes, puis elle prit son courage à deux mains et entra dans la salle de bains.

 

Juliette, qui ne se doutait de rien, continuait ses va et vients, ses caresses intimes. Elle appréciait ce moment de tendresse et d'intimité. Les yeux clos, la tête basculée en arrière, elle vint poser la jambe droite sur le bord de la baignoire pour que ses doigts puissent pénétrer plus profondément en elle, puis, après quelques instants, elle sentit que le rideau bougeait et que quelqu'un se glissait derrière elle.

 

Pensant qu'il s'agissait de son amant, déjà de retour et voulant profiter de la douche avec elle, elle ne réagit pas. Elle sentit des mains se poser sur ses hanches, puis l'une d'elles remonta dans son dos, l'autre descendant vers ses fesses. Mmmmh, il se montrait entreprenant, tant mieux. Elle appréciait ces caresses, et voulut se blottir contre lui, mais à la place du corps familier de son amant, elle eût la surprise de rencontrer un corps de femme, une poitrine généreuse...

 

De stupeur, elle se raidit brusquement, et se retourna pour se retrouver face à Christiane. Elle ne sût quoi dire, mais, en regardant dans les yeux de celle-ci, elle lût le même désir que dans le regard de Sébastien.

 

Sans ajouter un mot, elle se pencha vers le visage de Christiane, qui s'était figée, l'embrassa doucement, puis lui chuchota à l'oreille:

- Continue, c'est très agréable...

 

Fermant les yeux, elle prit son amie dans es bras, l'embrassa à pleine bouche, alors que leurs deux corps reposaient l'un contre l'autre. Leurs mains commencèrent d'explorer le corps de l'autre. Leurs caresse smutuelles les emportaient doucement vers des plaisirs encore inconnues pour toutes les deux. Leurs langues s'entremêlaient. Juliette sentit la main de Christiane qui passait dans ses cheveux.

 

Après quelques minutes de caresses et de baisers, Juliette se baissa doucement, embrassant les seins, puis le ventre de Christiane, pour arriver à son intimité que ses doigts venaient d'explorer.

 

Les deux femmes échangèrent un regard, puis Christiane proposa de retourner dans la chambre, où elles seraient plus confortablement installées.

 

Se tenant par la main, elles sortirent de la baignoire après avoir fermé les robinets, et se dirigèrent vers la porte de la chambre, et se dirigèrent vers le lit.

 

Juliette fit alors asseoir Christiane, lui caressant les jambes, embrassant ses seins fermes et généreux. Christiane l'invita du geste à venir s'installer à côté d'elle. Leurs mains reprirent leur ballet sur leurs deux corps, elles se caressaient tout en caressant l'autre, puis elles finirent par explorer de leurs doigts l'intimité de l'autre, adoptant toutes deux le même rythme. Leur souffle se faisait plus court, plus rapide. Elle sentaient leurs deux coeurs s'emballer.

 

Dieu que c'était bon... Elles se sentaient flotter, emportées par le désir, et ne remarquèrent même pas que leurs hommes étaient revenus, déposant les courses dans le salon.

 

Entendant des gémissements, ils échangèrent un regard surpris, et Patrice se rendit à la porte entrebaillée.

 

Apercevant les deux amantes, il fit signe à Sébastien de s'approcher. Devant le spectacle de leurs deux compagnes qui se masturbaient mutuellement, ils échangèrent un sourire, et retournèrent silencieusement dans le salon.

 

Là, ils retirèrent leurs lourds blousons renforçés. Ils souriaent toujours et échangèrent un regard.

 

- Tu penses à la même chose que moi?, chuchota Patrice.

- Je pense que oui, murmura Sébastien.

 

Sans ajouter un mot, ils commencèrent de se dévêtir, et retournèrent à la porte pour profiter du spectacle. Ils ne portaient plus que leurs caleçons, et leur excitation était bien visible.

 

En silence, profitant que leurs deux compagnes avaient les yeux fermés, ils pénétrèrent dans la chambre sur la pointe des pieds, chacun d'un côté du lit.

 

Après avoir échangé à nouveau un regard complice, chacun d'eux posa les mains sur le corps de sa compagne. Les deux femmes furent tout d'abord surprises, puis, découvrant leurs amants en sous-vêtement qui les caressaient, elles leurs sourirent, et s'allongèrent toutes les deux pour profiter de ces caresses. Quel spectacle pour Patrice et Sébastien que ces deux femmes se caressant mutuellement. Ils ajoutèrent leurs mains au ballet qui parcouraient les deux corps. Les deux femmes ruisselaient de désir, leurs mains trempées, quand elles perçurent le mouvement de leurs amants qui descendaient vers le pied du lit. Ils se masturbaient de chaque côté des deux amantes.

 

Juliette se pencha alors vers l'oreille de Christiane.

 

-J'ai envie de toi, envie de te goûter...

 

Sans dire un mot, Christiane embrassa tendrement Juliette et elles changèrent à nouveau de position. Christiane se trouvait à califourchon sur le corps de Juliette. Les fragrances de son sexe l'envahirent. Elle ne connaissait pas ce parfum, qui était légèrement différent du sien, mais elle aussi eût terriblement envie de goûter son amie.

 

Juliette posa sa langue sur les grandes lèvres du sexe de Christiane, puis sur les petites, n'oubliant pas de s'occuper également de son clitoris. Ses gestes tendres emportaient Christiane qui ferma les yeux, un sourire ravi sur son visage, puis entama de lui rendre la pareille. Elles adoptèrent à nouveau le même rythme, savourant leur cunnilingus et ajoutant leurs mains à la dans de leurs langues. C'était à la fois enivrant et troublant pour toutes les deux de goûter ainsi à un sexe de femme, mais c'était terriblement agréable. Jamais elles n'avaient ressenti cela, même si elles aimaient ce que leur faisaient leurs amants.

 

Ceux-ci se masturbaient devant le spectacle, caressant de leur main libre les corps des deux femmes, qui vibraient et tremblaient à l'approche de l'orgasme.

 

Celui-ci arriva rapidement pour Juliette, qui continua de délivrer ses attentions au sexe de Christiane, jusqu'à ce que jaillisse de celui-ci un liquide clair qui lui innonda le visage. Le corps de Christiane fût pris de tremblements sous la puissance de l'orgasme, puis elle s'affaissa sur le lit, continuant de caresser tendrement le corps de son amie.

 

Elles n'ajoutèrent pas un mot, et restèrent ainsi, leurs corps enchevêtrés sur le lit, les yeux clos, pendant quelque sminutes, sous les yeux de leurs compagnons qui continuaient de les caresser et de les envelopper d'un regard tendre.

 

Après quelques instants, les deux hommes vinrent s'allonger près des deux femmes, prenant chacun sa compagne dans ses bras, comme quatre cuillers posées sur le lit, et ils se reposèrent ainsi quelques minutes avant d'entendre appeler au-dehors.

 

Ils s'entre-regardèrent, échangeant des regards complices, et Sébastien cria assez fort pour être entendu pour ldire qu'ils arriveraient dnas cinq minutes.

 

Sans ajouter un mot, se contentant de rire et de sourire, les quatre amis s'habillèrent, et se préparaient à sortir du bungalow quand Sébastien se tourna vers les deux femmes pour les remercier du spectacle et de les avoir laissé participer, ajoutant qu'il n'avaient rien vu d'aussi beau depuis bien longtemps, puis il échangea un baiser vers Juliette, qui tenait toujours la main de Christiane. Leur amitié avait évolué vers quelque chose qu'ils n'auraient pas suspecté, mais qui leur promettait des expériences très sensuelles. Mais, pour le moment présent, leurs amis motards les attendaient pour préparer et partager le dîner. Qui sait ce que leur préparait l'avenir pour le dessert?

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Vendredi 24 décembre 5 24 /12 /Déc 11:00

 

Pour Sébastien, célibataire endurci, Noël avait toujours été une période difficile.

 

Vivant seul, il sacrifiait à la tradition en installant un sapin dans son salon pour le cas improbable où ses frères et soeurs viendraient lui rendre visite avec leurs enfants. Mais il habitait loin de chez eux et leurs visites se faisaient rares.

 

Il profitait néanmoins de cette période pour s'adonner à loisir à son passe-temps préféré, à savoir passer du temps sur l'eau. L'avantage, c'était qu'avec ce froid, le plan d'eau lui appartenait quasi-intégralement. Il n'avait pas à s'inquiéter de la présence de surfeurs ou de kite-surfeurs.

 

En cet après-midi du 24 décembre, en sortant du travail, il s'était donc rendu sur la plage avec osn matériel, avait gréé sa planche à voile et s'amusait à jouer avec les vagues et à sillonner l'Anse qui se trouvait derrière chez lui. Il se permit même d'aller jusqu'au pied de ce rocher couvert d'oiseaux, à quelques encablures de la côte, et d'observer les cormorans et goélands qui y avaient élu domicile.

 

Il faisait déjà nuit noire lorsqu'il retourna à regret à la côte, sortit de l'eau et remonta son matériel par le petit chemin qui menait à son domicile, sillonnant au milieu de terrains battis par les vents de l'Atlantique, de dunes recouvertes d'herbes folles.

 

Arrivant chez lui, il eut la surprise de voir une voiture garée dans la courette, devant la porte de sa maisonnette. Encore trempé et commençant de grelotter sous sa combinaison de néoprène, il remisa sa planche à voile et son matériel sous le petit appentis attenant à la maison, et ouvrit la porte,

 

Etrange, il n'attendait pourtant pas de visite, surtout un soir de 24 décembre...

  • Il y a quelqu'un?

 

Pas de réponse... Pourtant, il y avait un parfum dans l'air... Il fit quelques pas avant de reconnaître un parfum féminin, accompagné de la senteur de bougies... Mais que se passait-il dans sa maison?

 

Il entra dans le salon, encore dégouttant d'eau de mer, et la vision qui s'offrit à lui le réchauffa instantanément. Un feu ronflait dans la cheminée, des bougies étaient effectivement disposées ça et là, et au milieu de la pièce, vêtue d'un ensemble de lingerie rouge et d'un bonnet de père Noël, se tenait Marina, une plantureuse jeune femme qu'il connaissait depuis des années, sans qu'il ait jamais tenté de la séduire.

 

Elle lui lança un regard intense avant de lui dire:

  • Joyeux Noël très cher... J'espère que ton cadeau te plait?

 

Il sentit sa gorge se serrer. Il ne savait pas trop quoi dire, se contentant de rester planté à la porte.

  • Tu devrais fermer la porte Séb, je vais attraper la mort sinon », lui lança t'elle avec un clin d'oeil.

 

Il ferma doucement la porte derrière lui, et fit quelques pas dans sa direction.

-Attends, ce n'est pas tout...

 

Arrivé à la porte du salon, il entendit un léger froissement derrière lui. Se retournant, il se retrouva nez à nez avec Françoise, une autre de ses amies, qu'il n'avait pas plus cherché à séduire que Marina.

  • Tadaaa!

 

Françoise était vêtue du même ensemble que Marina, avec également un bonnet rouge bordé de blanc.

 

La vue de ces deux femmes légèrement vêtues dans son salon n'en finissait pas de surprendre Sébastien.

  • Heu, les filles, qu'est-ce qui se passe, au juste?

  • Ce qu'il se passe, très cher Sébastien, c'est que depuis des années, nous te voyons en compagnie de jeunes femmes toutes plus belles les unes que les autres, et nous nous sommes demandées pourquoi nous n'avions jamais eu le plaisir de passer un moment intime avec toi. Alors comme ma famille est allée au ski pour les vacances, et que les proches de Françoise sont partis pour la Martinique, nous avons décidé que pou Noël, nous allions t'offrir une surprise, et que notre cadeau commun serait de passer une nuit de tendresse avec toi...

 

Sébastien était estomaqué. Il les connaissait depuis des années, et jamais il n'aurait pensé qu'elles puissent avoir des idées aussi coquines.

 

Françoise prit la situation en main, saisissant les mains de Sébastien pour l'entrainer vers le salon.

  • Allez, viens t'en donc. Tu ne vas pas garder cette combinaison sur toi toute la soirée, ce serait dommage...

 

Il se laissa entrainer vers le salon, avec l'impression que tout ceci était un rêve.

 

Il faisait bon près de la cheminée... Une bouteille de champagne reposait dans un seau à glace, trois coupes posées à côté.

 

Alors que Marina se glissait derrière Sébastien pour saisir le cordon qui commandait la glissière de sa combinaison, la main de Sébastien effleura le fin porte jarretelle de dentelle rouge... Si c'était un rêve, il ne voulait pas qu'il s'arrête. Françoise saisit la bouteille, et la déboucha comme Marina commençait de faire descendre la glissière de la combinaison, dévoilant le top en lycra que Sébastien portait en dessous pour s'isoler un peu du froid.

 

Elle fit glisser la combinaison de ses épaules, puis le long de son torse, s'arrêtant au niveau de la taille. Françoise commençait de servir le champagne.

 

Marina fit glisser le top en lycra par-dessus la tête de Sébastien, qui se retrouva torse nu, la peau encore perlée d'eau de mer, au milieu de son salon. Françoise lui tendit une coupe, ainsi qu'à Marina.

  • A un Noël fait de plaisir et de câlins! », lança Marina, avec un clin d'oeil à destination de Françoise.

  • A mon tour de déballer le cadeau! », répondit celle-ci, après avoir trempé ses lèvres dans la coupe.

 

Sébastien goûta à son tour à la boisson, alors que Marina se glissait devant lui, laissant Françoise passer dans son dos.

 

Il sentit les lèvres de la rousse Marina venir se poser contre les siennes, alors que la blonde Françoise faisait glisser la combinaison le long de son bassin, puis de ses jambes, le laissant vêtu uniquement de son boxer de bain, qui ne masquait pas grand chose de son état d'excitation.

 

Marina continuait de l'embrasser, et il sentit les mains de Françoise se poser dans son dos.

  • Tu as le goût de la mer », plaisanta Françoise.

  • Mmmmh, c'est vrai, attends, je vais y goûter aussi...

 

Il sentit les lèvres de Françoise se poser dans son dos, entre ses omoplates.

  • Hé, mais c'est vrai... C'est très agréable comme saveur...

 

Toujours sous le coup de la surprise, il sentit les deux bouches des deux jeunes femmes se mettre à parcourir son corps, y joignant leurs mains.

 

Ces caresses n'en finissaient pas, et il se sentait à l'étroit dans son boxer de bain, quand il sentit une main se glisser dans celui-ci.

  • Hé, on dirait bien que notre cadeau est prêt à être déballé...

 

Françoise rit de la réflexion de Marina, et il sentit deux mains glisser sur ses hanches, et venir saisir l'étoffe de chaque côté de celles-ci pour faire glisser le boxer le long de ses jambes.

  • En effet, on dirait bien que notre cadeau n'attend plus que nous.

 

Un doigt parcourut son sexe sur toute sa longueur, et il sentit qu'on le poussait vers la cheminée, et les deux jeunes femmes l'invitèrent à s'allonger sur le tapis, s'asseyant chacune d'un côté de l'homme qui se trouvait à leur merci.

  • Alors, tu ne dis toujours rien? », lui demanda Marina.

  • Si, si... Je me demandais juste si tout ça n'était qu'un rêve. Et dans ce cas, j'avais peur que si je me mettais à parler, je finisse par me réveiller...

  • Aaaah, alors on va tout faire pour prolonger ce rêve, si tu veux bien...

 

A ces mots, elle vint se placer plus près de son visage, et déposa un nouveau baiser langoureux sur ses lèvres, un baiser au goût de lèvres, qu'elle semblait savourer avec bonheur. Pendant ce temps, il sentit la main de Françoise venir saisir la hampe de son sexe, et ses lèvres se posèrent contre son gland, le bout de sa langue venant le caresser.

 

Que c'était bon! Il se laissait aller, embrassant avec tendresse sa rousse amie, pendant que Françoise s'affairait sur son sexe. La brunette profitait avec plaisir de cet instant. Elle goûtait au sexe de son amant, le prenant en bouche goulument, le caressant, jouant avec, jusqu'à voir perler une goutte de liquide préséminal translucide, dont elle se servit pour lubrifier ses doigts pour commencer de le masturber en un lent mouvement de va-et-vient, en cadence avec sa bouche. Elle sentait le membre gonfler entre ses doigts, dans sa bouche. Il pulsait, les veines ressortant sous l'effet du désir. Elle savait qu'il était entièrement à sa merci, et elle savourait l'instant. Le sexe de son amant lui appartenait entièrement, elle prenait plaisir à jouer avec, à sentir sa texture sur sa langue et jusqu'au fond de sa gorge. Quel délice que de sentir ce sexe d'homme dans sa bouche...

  • Hé, laisse m'en un peu! », s'exclama Marina en rejoignant son amie.

 

Les deux jeunes femmes se croisèrent à mi-chemin, et échangèrent un baiser complice, et Françoise vint s'installer près du visage de Sébastien, embrassant son front, ses oreilles, puis enfin ses lèvres, alors que Marina prenait en main son sexe. Le baiser de Françoise avait le goût du sel, mais également du sexe de Sébastien. Il eut l'étrange sensation d'embrasser son propre sexe.

 

Marina, pendant ce temps, avait le sexe de Sébastien rien que pour elle, et elle comptait bien en profiter jusqu'au bout. Elle pointa le bout de sa langue entre ses lèvres, et pourlécha la verge de son amant sur toute sa longueur, accompagnant le mouvement de ses doigts fins. Elle apprécia la saveur, légèrement salée, de ce sexe d'homme fièrement dressé, comme s'il cherchait à la provoquer. Elle reprit le mouvement de masturbation là où Françoise s'était arrêtée, et observa les réactions de ce pénis gonflé, scrutant chaque veine qui pulsait à la surface de celui-ci. Sébastien laissa échapper un râle de plaisir à l'instant où ses lèvres vinrent se poser sur son gland.

 

Marina s'arrêta quelques instants sur celui-ci, l'explorant de sa langue, appréciant la douceur de cette peau si fine qui la séparait des terminaisons nerveuses de ce sexe, puis entama un lent va-et-vient de sa bouche, avant d'accélérer le mouvement.

 

Elle sentait le sexe de Sébastien dans sa bouche, le léchait, l'aspirait, et Sébastien commença à fondre de plaisir. Elle sentit son sexe emplir sa bouche, le goût de celui-ci, douceâtre, salé et amer à la fois, enivrait ses sens, et tout à coup, elle sentit jaillir la semence de son amant, qu'elle reccueillit précieusement dans sa bouche à mesure qu'elle jaillissait. Quelle saveur!

 

Le goût de cette semence, mêlé au sel laissé sur sa peau par l'eau de mer, et à celui de sa peau, était entêtant, enivrant, et elle se laissa emporter quelques instants, conservant dans sa bouche à la fois le sexe et le sperme de son amant, puis elle abandonna le membre tant désiré pour remonter vers son visage, et elle partageant sa semence avec Françoise dans un long et tendre baiser sous les yeux ébahis de leur amant commun.

 

Elle vinrent ensuite embrasser tout à tour le jeune homme, lui faisant partager le goût de sa propre semence et celui de leurs baisers.

 

C'était le début d'un réveillon pas comme les autres, fait de sensualité et de tendresse, où les corps et les sens se mélangèrent à loisir dans un tourbillon de plaisir et de désir.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Jeudi 16 décembre 4 16 /12 /Déc 08:54

Quelques semaines après avoir rencontré Floriane et Bertrand sur le port de Douarnenez, Sébastien avait reçu un appel. Ils l'invitaient à les rejoindre pour partager un verre sur leport de Tréboul.

 

Ravi à l'idée de pouvoir se changer les idées à cause d'une masse de travail incroyable à cette période de l'année, il accepta leur invitation avec joie, et ils décidèrent de se retrouver au Bogan's, un pub non loin du port.

 

A l'heure dite, il pénétra dans l'établissement, et s'installa dans une alcôve reculée au fond du pub pour les attendre, un whisky posé dvant lui. Ils ne furent pas longs à arriver, mais ils n'étaient pas seuls. Une femme d'une cinquantaine d'années, légèrement rond mais très féminine, les accompagnait.

 

Elle se présenta comme étant Christiane, une amie du couple, et ils commencèrent à bavarder comme de vieux amis. Le courant passait très bien entre les quatre.

 

Christiane et Floriane dégageaient une grande féminité et beaucoup de sensualité, et elles paraissaient très complices, presque comme deux soeur.

 

Floriane, menue, avait un visage angélique, des traits fins, et un regard qui savait attirer et captiver le votre si vous n'y preniez pas garde. Vêtue d'un jean serré qui mettait ses jambes en valeur, elle portait un chemisier très léger, qui soulignait sa poitrine parfaitement proportionnée au reste des on corps. La quadragénaire dégageait une grande assurance et était d'une humeur fort agréable.

 

Chritiane était un peu plus enveloppé, légèrement plus grande, et portait une jupe et un t-shirt échancré qui soulignait ses courbes. Elle avait un visage avenant, au dessin sensuel, et des lèvres pulpeuses, comme une invitation au baiser. Elle semblait très sensuelle, et son décolleté laissait apparaitre le début d'un tatouage sur son sein gauche lorsqu'elle se penchait. Un peu plus timide que Floriane, il émanait pourtant de cette jeune quinquagénaire une sensation agréable de ne pas être jugé lorsqu'elle s'adressait à vous, et beaucoup de volonté.

 

Bertrand était un quinquagénaire bien bâti, aux épaules large et au torse puissant, mis en valeur par sa chemise ample. Ses mains étaient larges, marquées par le travail manuel. Il était technicien pour l'office national des Forêts, et Sébastien le croisait souvent lorsque ses compagnons et lui dégageait les chemins et petites routes pour pouvoir se promener à moto. Cet homme des bois était toujours de bonne humeur, ayant toujours un bon mot, et un côté rêveur et idéaliste qui lui donnait un optimisme quasiment à toute épreuve.

 

Ils restèrent à bavarder pendant un long moment, et, finalement, alors qu'ils quittaient le pub qui venait de fermerr, Floriane et Bertrand proposèrent à Christiane et Sébastien de passer chez eux prendre un dernier verre.

 

Ravis de pouvoir prolonger la soirée, tous deux acceptèrent bien volontiers, et ils montèrent en voiture, Sébastien prenant sa moto pour les suivre.

 

La maison du couple se trouvait non loin d'une plage, au bout d'un petit chemin de terre qui serpentait entre les arbres. Il s'agissait d'une petite maison typique, de plain-pied, avec un toit en ardoise et une grande véranda.

 

Une fois arrivés, ils entrèrent et leurs hôtes les invitèrent à rejoindre le salon, une grande pièce avec deux canapés, de grandes étagère couvertes de livres, et un poële à bois d'où se dégageait une odeur de feu fort agréable.

 

Ils prirent donc place sur les deux canapés. Floriane s'assit à côté de Sébastien et Bertrand à côté de Christiane. Ils reprirent leur conversation, entre rire et sourires, et l'atmosphère se chargea progressivement de sensualité. Un flot de musique classique accompgnait leur conversation. Les allusions se faisaient de plus en plus précises, et, la chaleur du poële à bois aidant, les vêtements se faisaient plus légers. Les deux hommes se retrouvérent en T-shirt, Floriane avait ouvert quelques boutons de son chemisier, et la robe de Christiane semblait contenir de plus en plus difficilement sa poitrine, qui semblait vouloir jaillir de son décolleté à chaque inspiration.

 

Ce furent les deux femmes qui franchirent le premier pas, alors que les hommes étaient passés dans la cuisine pour chercher les cafés. Ils retrouvérent les deux femme en train de s'embrasser tendrement, le chemisier de Floriane totalement ouvert cette fois, qui laissait apparaitre un soutien-gorge léger de dentelle blanche.

 

Les deux hommes s'assirent sans mot dire, posant deux tasses sur la table et conservant la leur pour le moment. Ils profitaient du sepctacle, échangeant des clins d'oeil complices. Les deux femmes se laissaient admirer et poursuivirent leurs ébats. Le t-shirt de Christiane fût bientôt disparu, dévoilant ses formes, et le tatouage sur son sein gauche, un dragon entouré de flammes, se dévoiler au grand jour, comme si son souffle donnait vie à la créature mythique.

 

Floriane caressait la poitrine de Christiane, leurs lèvres et leurs langues s'entrempelaient et elles échangeaient des regards chargés de désir. Les mains de Christiane disparaissaient sous le chemisier de Floriane.

 

Elles secaressèrent ainsi un moment, puis Christiane invita Floriane à s'allonger dans le canapé, lui retirant son jean par la même occasion. Sous le pantalon, elle ne portait qu'une culotte de dentelle blanche, coordonnée à son soutien-gorge. Pendant qu'elle caressait les jambes de Floriane, s'approchant progressviement de cette culotte, les deux hommes s'approchèrent. Sébastien s'assit sur le canapé, près du visage de Floriane, et déposa un long baiser sur ses lèvres soyeuses. Bertrand de son côté s'approcha de Christiane, lui caressant les fessses et les jambes sous sa jupe. Il découvrit qu'elle portait un string de satin avec ses bas, et le spectacle le ravit.

 

Relevant la jupe, il déposa un baiser sur la fesse droite de Christiane, qui laissa échapper un léger soupir en lui jetant un regard gourmand, alors qu'elle faisait glisser la culotte de Floriane le long de ses jambes. De son côté, Sébastien caressait la poitrine, le visage et les cheveux de Floriane. Les deux femmes invitèrent les hommes à retirer retirer leurs vêtements, et ils se retrouvèrent tous deux nus à côté des deux coquines, qui continuaient de se caresser mutuellement, Floriane guidant de ses mains la tête et les mouvements de Christiane qui venait d'entamer un tendre cunninlingus. Bertrand reprit place derrière Christiane, ses mains caressant ses jambes et découvrant un puits ruisselant entre ses cuisses. Sébastien de son côté, se retrouva rapidement avec le sexe entre les doigts de Floriane, qui lui lançait des regards de plus en plus gourmands entre deux gémissements provoqués par les caresses et les attentions de Christiane.

 

Floriane entama une longue et sensuelle fellation de Sébastien, son corps entier frémissant sous le plaisir que lui procurait sa complice. Bertrand, pendant ce temps, se masturbait tout en léchant le sexe de Christiane, dont le clitoris gonflé de plaisir faisait son apparition. Après quelques minutes, alors que Sébastien caressait sa compagne et que Christiane prolongeait son cunnilinugs et utilisait ses doigts pour exciter les deux orifices de Floriane qui n'en finissait pas de gémir, il sentit que la main de Christiane l'invitait de façon pressante. Il comprit immédiatement le message et présenta son sexe devant le vagin ruisselant. Il se sentit bientôt comme aspiré entre ces lèvres turgescentes, son pénis disparaissant entièrement dans ce sexe chaud et accueillant, provoquant un râle de plaisir de la femme dont le visage disparaissait entre les cuisses de sa compagne. Excités par le spectacle de ces corps emmêlés, tous les quatre se laissérent emporter par la sensualité et la volupté du moment. Leurs corps mouillés de sueur se caressaient, se goûtaient, se pénétraient, et ils ne fûrent pas longs à jouir de concert, les femmes d'abord, ce qui provoqua l'orgasme des deux hommes, l'un emplissant une bouche et l'autre un sexe de femme.

 

Brûlants de désir, ils se retrouvèrent bientôt dans les bras les uns des autres, continuant d'échanger des caresses et baisers, en attendant d'avoir retrouvé suffisamment de forces pour porlonger l'instant.

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Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 15:03

 

Une fois franchie la porte, Sébastien se retrouva seul avec Sabrina dans une pièce qui devait servir de salle de repos au personnel du cabinet. Elle le guida jusqu'à un sofa disposé au fond de la pièce, lui lança un regard mutin avant de lui chuchoter à l'oreille:
- Ne bouge pas, reste là et fais-moi confiance, je reviens avec une surprise...

 

Elle abandonné le jeune homme seul dans cette pièce et il put détailler les lieux. Un meuble de cuisine avec un petit réfrigérateur, un four à micro-ondes et une petite plaque de cuisson. Un petit évier, une table basse avec quelques magazines féminins posé dessus. Il finissait de faire le tour de la pièce quand la porte se rouvrit et qu'il vit revenir Sabrina, en compagnie de Nathalie et de la jeune Isabelle. Nathalie était vêtue d'un simple peignoir attaché au niveau de la poitrine, et Isabelle d'une blouse blanche d'où dépassait une paire de bas. Toutes deux semblait un peu essoufflées et avaient le teint un peu rose.

 

Apercevant Sébastien posé dans le sofa, entièrement nu, elle ne parurent pas le moins du monde surprises ou gênées. Au contraire, elle fixait tour à tour son visage et son pénis, avec un regard gourmand.

 

Isabelle se passa la langue sur les lèvres alors que Sabrina la guidait vers le sofa, gardant une main posée au creux des reins de Nathalie, qu'elle embrassait maintenant à pleine bouche.

 

La jeune esthéticienne ne se fit pas prier pour venir s'agenouiller devant Sébastien. Sa blouse ouverte laissait apparaître une poitrine généreuse. Il sentit son érection se faire plus pressante encore, et un nouveau frisson le parcourut quand elle posa une main sur son sexe, le regard fixé sur cette verge tendue et gonflée de désir. Elle ne perdit pas de temps en bavardage, elle ne se concentrait que sur ce sexe qu'elle empoignait et pourléchait, l'engloutissant, tout cela tour à tour.

 

En même temps qu'il recevait ces attentions, il pouvait voir que Sabrina s'était agenouillée derrière Isabelle, et relevait sa blouse pour caresser de ses mains les jambes, les fesses et le minou de la jeune esthéticienne, lui accordant quelques attentions buccales sans perdre une miette de ce qui était en train de se produire juste au-dessus d'elle.

 

Nathalie venait de se débarrasser de la serviette et de grimper à son tour sur le canapé, intégralement nue. Sébastien avait une vue plongeante sur le sexe de celle-ci, qui venait tout juste de profiter des soins d'Isabelle, qui avait taillé la toison de la jeune femme en un simple triangle duveteux, à peine perceptible. Le spectacle était délicieux, et le jeune homme ne se fit guère prier avant de saisir les jambes de la jeune femme et de plonger sa langue entre ces lèvres déjà légèrement ouvertes par le désir.

 

Les jeunes femmes gémissaient, Sébastien râlait de plaisir. Leurs corps trempés de sueur et du fruit de leur plaisir s'agitaient de façon quasi spasmodique. Les quatre protagonistes échangeaient leurs positions, les jeunes femmes bénéficiant tour à tour des attentions des autres. Le bruit de leurs jouissances, leurs cris lors des orgasmes devaient retentir dans tout le salon, mais heureusement Sébastien et Nathalie étaient les seuls clients à cette heure de la journée.

 

Finalement, Sébastien se retrouva à terre, chevauché par Isabelle, alors que Sabrina se retrouvait accroupie au-dessus de lui et que Nathalie, qui avait découvert un double-gode Dieu sait où se l'était introduit dans le vagin et avait introduit l'autre extrémité dans l'anus d'Isabelle. Sébastien pouvait sentir la présence de cet objet qui lui paraissait immense dans les entrailles de la jeune femme à travers la mince paroi qui les séparaient, et cette sensation accéléra et décupla encore son plaisir.

 

Nathalie fût la première à jouir, emportée qu'elle était par la sensation qu'elle était pénétrée et pénétrait également Isabelle. Elle s'effondra à moitié, conservant encore en elle le gode qui, en ressortant du ventre d'Isabelle, caressa encore la verge de Sébastien, qui eut la sensation d'exploser au moment où il sentit un liquide chaud ruisseler du vagin de la jeune femme, presque au point de l'expulser de son sexe. Il éjacula de longs traits de semence dans le ventre de la jeune esthéticienne, sentant son sexe pulser en elle, dans cette caverne moite et douce, si tendre et moelleuse. Isabelle râlait et son corps frissonnait, comme saisi de spasmes incontrôlables. Excitée par le spectacle, Sabrina ne fût pas longue à les rejoindre, un flot de cyprine brûlante s'échappant également de son ventre pour inonder le visage de Sébastien à l'instant où elle s'effondrait sur lui, ne prenant appui que sur ses bras pour amortir sa chute.

 

Les quatre amants continuèrent à se prodiguer baisers et caresses pendant de longues minutes. Ils semblaient vouloir prolonger cet instant le plus longtemps possible, savourer ces moments de pur plaisir dans le silence absolu. Puis ils finirent par se lever, et se rendirent tous ensemble dans une grande cabine de douche, se masturbant mutuellement jusqu'à satiété , puis se savonnant et continuant de se caresser mutuellement avec forces plaisanteries.

 

Une fois rhabillés, les quatre libertins prirent un petit café dans la salle de repos, échangeant à nouveau quelques baisers bien sages après les instants torrides qu'ils venaient de partager, et Nathalie et Sébastien réglèrent leurs soins, sans oublier de reprendre rendez-vous à nouveau ensemble deux semaines plus tard, et prenant bien soin de ranger précieusement la carte de visite du cabinet dans leurs portefeuilles.

 

Décidément, ce mariage commençait sous les meilleurs auspices pour Sébastien, bien qu'il ne fût que témoin.

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Mardi 7 décembre 2 07 /12 /Déc 13:31

Sébastien travaillait en Irlande depuis déjà plus de six mois. Il avait eu la chance de faire la connaisance de Ingrid et Natasha, deux jeunes femmes qui travaillaient dans la même ville que lui.

 

Ingrid était sa collègue de travail. Lui enseignait l'Anglais, et elle, d'origine Tchèque, enseignait l'Allemand. Natasha, jeune Allemande, exerçait dans un autre établissement, et elle était la colocataire d'Ingrid.

 

Toutes les deux étaient bien différentes. Grande, brune, la belle Natasha faisait tourner les têtes avec ses longues jambes fuselées et sa silhouette de danseuse, alors qu'Ingrid, fluette et délicate, arborait une crinière rousse, qui encadraient un visage délicat et deux yeux d'un vert intense.

 

IIls avaient l'habitude de partir se promener ensemble le week-end, Sébastien ayant emmené sa voiture lorsqu'il avait fait la traverrsée depuis Roscoff. Les deux jeunes femmes étaient ses passagères préférées. Il appréciait les moments où, entrant dans un pub, tous les visages se retournaient vers les deux jeunes femmes, et qu'ensuite les autres hommes le regardaient avec envie et jalousie. Cela flattait son ego.

 

Tous trois étaient devenus très liés au fil des mois. Ils mangaient ensemble, prenaient la route tous les samedis matins ou presque, pour ne revenir que le dimanche soir, et Sébastien finit par quitter l'apartement qu'il partageait avec trois étudiants Irlandais pour occuper la dernière chambre de la maison que partageaient les deux jeunes femmes.

 

Le jour de son emménagement, ils décidèrent de fêter cela en comité restreint, invitant quelques amis Irlandais pour un repas "continental".

 

A la fin de la soirée, alors qu'ils finissaient de ranger et de faire le ménage, Sébastien se désigna volontaire pour faire la vaisselle. Il s'installa donc, entendant les deux jeunes femmes discuter en Allemand dans le séjour attenant à la cuisine.

 

Ne parlant pas la languede Goethe, il en appréciait néanmoins la sonorité. Portée par les voix mélodieuses de ses colocataires, elle prenait des accents chantants, une rythmique envoûtante.

 

Ingrid vint le rejoindre pour lui donner un coup de main, pendant que Natasha se rendait dans la salle de bains pour profiter de la douche la première.

 

Sébastien lavait la vaisselle, puis passait les ustensiles, verres et assiettes à Ingrid pour qu'elle les essuie. Ils chantonnaient tous deux en rythme avec la musique que diffusait la radio. Des ballades irlandaises... Les paroles les transportaient tous les deux, ils partageaient un moment très agréables, se déhanchant en mesure tout en faisant la vaisselle.

 

Ingrid ne cessait de lui sourire, plongeant ses beax yeux dans ceux du Français dès que possible, collant sa hanche à celle de Sébastien, effleurant ses mains à chaqe fois qu'il lui passait un plat pour qu'elle l'essuie.

 

Une fois la vaisselle terminée, Sébastien retira la bonde de l'évier, et sentit la main d'Ingrid se poser sur son bras.

 

La radio diffusait une mélodie romantique, une de ces chansons dont les irlandais ont le secret, de celles qui vous transportent l'âme et font vibrer votre corps.

 

Il prit Ingrid par la taille, l'attirant contre lui, et elle vint se blottir dans ses bras, posant son doux visage dans le creux de son épaule.

 

Ils dansaient ainsi, tendrement enlacés. Il sentait ses doux cheveux en appuyant sa joue contre la tête de la jeune femme. Elle sentait si bon...

 

L'instant se prolongea longtemps, de longues minutes. Les mains de Sébastien enserraient la taille de la jeune Tchèque, dont les bras entouraient son cou, posé sur ses épaules.

 

Elle était vêtue d'une robe légère, ne portant pas de chaussures. Lui portait un jean et un simple t-shirt, à travers lequel elle pouvait sentir les muscles de son torse.

 

A la fin de la chanson, ils restèrent ainsi, immobiles, dans les bras l'un de l'autre, et finalement elle releva la tête, plongeant à nouveau son regard dans les yeux du jeune Breton, puis sur ses lèvres. Comprenant l'invitation, il vint déposer un baiser délicat sur les lèvres soyeuses qui s'offraient à lui, sur cette bouche légèrement entrouverte qui attendait de goûter à ses lèvres.

 

Leur baiser langoureux s'éternisa longtemps, très longtemps, comme s'ils voulaient rattrapper le temps perdu.. Elle se recula finalement, pour relever le t-shirt de Sébastien qui vola par-dessus sa tête pour finir sur un meuble de la cuisine. Ses doigts fins et délicats parcoururent son torse, jouant avec les poils qui le couvraient en partie.

 

Le poussant à s'asseoir, elle recula ensuite de deux ou trois pas, et entama une danse langoureuse, en rythme avec la chanson qui se déversait dans la pièce voisine. Sébastien profitait du spectacle, parcourant du regard la silhouette féminine et délicate de la rousse Tchèque, qui entamait un effeuillage très sensuel rien que pour lui.

 

Elle eût tôt fait de se retrouver en sous-vêtement. Un léger bustier de satin noir et un tanga assorti, avec une paire de bas noirs également. Pour Sébastien, grand amateur de lingerie, le spectacle était plus qu'agréable, et il commençait de se sentir à l'étroit dans son jean, quand il entendit la voix de Natasha depuis la porte menant au salon.

 

"Gutt, je vois que tu ne perds pas de temps ma chère... Mais n'oublie pas que dans cette colocation, on partage tout..."

 

Elle appuya sa déclaration d'un clin d'oeil en entrant dans la pièce à son tour. Elle portait pour tout vêtement une serviette enroulée autour de sa poitrine, dévoilant ces longues jambes qui devaient faire fantasmer la plus grande partie de leur entourage masculin.

 

Adoptant le même rythme que sa colocataire, elle vint la rejoindre sous les yeux ébahis de Sébastien, et elles entamèrent une danse plus que coquine, leurs corps se frôlant, se frottant... La serviette glissa sur le corps de l'Allemande, et Sébastien pût admirer son corps de rêve alors qu'elles se caressaient mutuellement.

 

Leurs mains expertes parcouraient chaque cenitmètre de la peau de l'autre, et Sébastien ne pût s'empêcher de se mettre debout et de faire un pas dans leur direction.

 

"Nein mein liebe. Non mon cher, laisse-nous mener la danse, tu ne le regretteras pas..."

 

Ingrid venait de se détacher de sa partenaire pour venir le rejoindre, alors que Natasha continuait de la caresser. La rousse se tenait debout devant lui et glissa ses mains sur les hanches du Français pour venir le débarrasser de sa ceinture et de son pantalon.

 

Il se retrouva alors vêtu de son seul caleçon devant les deux jeunes femmes, son érection bien visible sous le tissu. Apercevant la bosse, les deux jeunes femmes passèrent au même instant leur langue sur leurs lèvres, et échangèrent un regard gourmand.

 

Elle entamèrent alors une exploration à quatre mains du corps de Sébastien, qui se sentait transporté dans un rêve. Il frissonnait, ne parvenant pas à croire ce qui lui arrivait. Deux créatures de rêve qui le caressaient, massaient ses épaules, passaient la main dans ses cheveux, sur sa nuque, sur ses fesses et ses jambes...

 

Il ne resta pas longtemps inactif, ses mains parcourant alternativement les deux corps devant lui. Le bustier et la culotte d'Ingrid disparurent sans qu'il se soit rendu compte qu'elle les avait enlevé. Ou était-ce Natasha qui les lui avait ôtés? Il aurait été bien en peine de répondre à cette question, et son esprit était occupé à tout autre chose, à profiter de l'instant et à essayer de rendre aux deux jeunes femmes le plaisir qu'elles lui procuraient.

 

Après une dizaine de minutes, ils décidèrent de regagner le salon, où caresses et baisers se succédèrent pendant encore un long, très long moment. Sébastien finit par se voir repoussé dans un fauteuil, les deux jeunes femmes s'installant devant lui. Il se sentait si bien. Ingrid échangea un nouveau regard avec Natasha, et retira le caleçon au jeune homme, dévoilant un sexe dressé fièrement vers le ciel. Natasha le caressa doucement, tendrement, alors que Sébastien caressait leurs seins à toutes les deux.

 

Ingrid joignit bientôt sa bouche à la main de Natasha, prenant le gland de Sébatien entre ses lèvres, sa langue le parcourant alors que la main de son amie caressait ses bourses.

 

Il n'avait jamais ressenti un moment si agréable par le passé, et sa tête partit en arrière, un râle d eplaisir s'échappant de sa gorge. Ingrid le butinait, le léchait, le cressant, tantôt tendrement, tantôt plus fort, tantôt lentement, tantôt plus vite. Natasha n'était pas en reste. Elle caressait le corps de son amie, tournant le dos à Sébastien qui de son côté lui caressait les cuisses, remontant progressivement vers l'intérieur de celles-ci pour venir caresser son sexe déjà humide et ruisselant de plaisir. Ses doigts trouvèrent le chemin vers l'intérieur de son intimité sans aucune difficulté, et elle ondulait du bassin pour accompagner ces mouvements en elle alors qu'elle caressait les cheveux, les épaules et les seins de sa compagne.  Se reculant encore, elle sentit bientôt la langue de Sébastien venir se poser sur son petit trou et sur l'espace de peau entre son sexe et son anus. Cela provoqua en elle un long frisson savoureux qui lui parcourut tout le corps et elle laissa échapper un petit cri de surprise.

 

De son côté, Ingrid profitait des caresses de son amie tout en dégustant et savourant le sexe de leur nouveau colocataire. Un sexe dur et savoureux, d'où s'échappaient déjà quelques gouttes d'un liquide légèrement aigre et salé. Elle le dégustait comme s'il s'agissait d'une friandise.

 

Sous les assauts de Sébastien, ses coups de langue et le mouvement de ses mains sur son corps, Natasha eut bientôt un premier orgasme, qui se prolongea pendant un long instant de pure volupté, puis elle échangea de place avec Ingrid, maintenant de force Sébastien dans ce fauteuil. Le sexe d'Ingrd, masqué sous un fin duvet roux, avait un goût différent de celui de son amie, légèremen tmoins amer, et dégageait une fragrance entêtante. Sébastien se régalait, dégustant le fruit du plaisir de la jeune Tchèque alors qu'il sentait son sexe pris dans la bouche de l'Allemande, dans cette bouche chaude et soyeuse. Natasha de son côté savourait à son tour le sexe de leur amant, le caressant, glissant un doigt sous ses testicules gonflées de semence. Un de ses  doigts s'égara à l'entrée de l'anus du jeune homme, l'attendrissant jusqu'à ce que sa rondelle soit suffisamment assouplie pour qu'il puisse s'y frayer un chemin, bientôt suivi par un autre doigt.

 

C'était une autre première pour Sébastien, et entre le parfum entêtant du sexe d'Ingrid et les assauts experts de Natasha, il ne tarda pas à exploser dans la bouche de la jeune Allemande, qui conserva chaque goutte de la semence du Français dans sa bouche, sentant les jets de sperme venir frapper son palais et le fond de sa gorge, puis elle redressa la tête alors que son amant redoublait d'efforts dans et autour du sexe de leur colocataire qu'elle vint embrasser à pleine bouche, partageant avec elle la semence de Sébastien alors que la rousse Tchèque avait elle aussi son premier orgasme de la soirée.

 

Epuisé, repus, les trois colocataires se retrouvèrent avachis, leurs corps mélés baignant de sueur, un sourire satisfait sur leurs visages, les yeux pétillants de la promesse de moments encore plus intenses à partager dans un avenir proche, voire très proche. Finalement; ils n'auraient peut-être pas besoin de trois chambres dans la maison...

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