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Samedi 6 novembre 6 06 /11 /Nov 21:34

Alors qu'il profitait de son massage, Sébastien remarqua que les mouvements des mains de Sabrina s'attradait sur certaines zones de son anatomie. Les ciseaux et le rasoir avaient fini leur office et Sabrina s'appliquait à enduire les parties sur lesquelles elle venait d'exercer d'une crême apaisante et rafraichissante. Ses mains descendirent plus bas, et elle s'arrêta au-dessus de la serviette qui masquait difficilement l'intimité de Sébastien.

 

"Je peux voir s'il y aurait quelque chose à faire de ce côté-là également si tu le souhaites?", lui demanda t'elle, avec un sourire gourmand et les yeux pleins d'étincelles passant alternativement des siens à la bosse sous la serviette.

 

"Heu, oui, pourquoi pas..."

 

A ces mots, elle retira la serviette, et passa la main sur le pubis de Sébastien, d'une façon très professionnelle.

 

"Bien, je pense qu'en rafraichissant un peu, en taillant quelque poils ici ou là, ce serait encore plus appétissant. Qu'en penses-tu?", lui dit-elle en appuyant son discours du geste pour illustrer son propos.

 

"Très bien, je te fais confiance", répondit Sébastien, un peu troublé.

 

Sabrian sortit alors une petite paire de ciseaux et un peigne, et commenca de travailler. A mesure qu'elle aérait cette zone de son anatomie, Sébastien s'efforcait de contrôler son érection.

 

"Tu sais, c'est très agréable de travailler sur toi. Tu es très vigoureux, ça me permet de bien voir ce que je fais... Et puis, à regarder c'est pas mal du tout. Voilà, c'est fini, tu vois, il n'y avait pas grand chose à faire."

 

Sébastien baissa les yeux et vit que son sexe se dressait maintenant fièrement au milieu d'une fine toison bien entreenue et dégagée. Effectivement, même si la différence n'était pas énorme, il sentait bien la différence au niveau des sensations.

 

"Bien, maintenant, passons aux finitions."

 

Elle s'enduit les mains d'une crême parfumée, la même que celle qu'elle avait utilisée pour son torse et son ventre, et posé les mains sur la toison de Sébastien. Ce contact lui fit l'effet d'une décharge électrique, provoquant un frisson chez Sébastien. Ses mains passérent tout autour du sexe de Sébastien, le massant, le caressant. Les effluves de cette crême montaient jusqu'aux narines de Sébastien, fragrances qui éveillaient en lui une sensation de bien-être et, étrangement, de désir.

 

Tout à coup, il sentit une différence dans les gestes de Sabrina. Il rouvrit les yeux et la vit concentrée, le regard posé sur son vit, la langue pointant entre ses lèvres gourmandes. Puis il sentit une main passer sous ses testicules, les soupesant, les pétrissant tendrement, et l'autre main vint se poser sur son membre dressé, le caressant délicatement, l'index passsant délicatement sur le bout du gland qui dépassait du prépuce, une goutte de liquide suintant de celui-ci.

 

Sébastien choisit de se laisser aller, reposant la tête en arrière sur la table de massage, ondulant doucement du bassin pour venir au contact des caresses de Sabrina.

 

Celle-ci vint appuyer sa hanche contre le bord de la table, près de la main de Sébastien. En même temps qu'elle le caressait, il vint donc poser sa main sur cette hanche, sentit cette peau douce sous ses doigts.

 

Sabrina aussi sentit le contact des doigts de Sébastien, et l'encouragea du regard à pousuivre son exploration un peu plus loin. Pendant ce temps, sa main s'activait le long du sexe de l'homme allongé sur sa table de massage. Un sexe de dimensions très correctes, ni trop gros, ni trop fin, juste comme il fallait. Appétissant également, au point qu'il ne lui fallut pas longtemps avant de s'abandonner à l'envie d'y goupter, de le prendre en bouce suavement, après l'avoir léché de la base jusqu'au gland pour préparer Sébastien à cette manoeuvre.

 

Elle entendit Sébastien gémir de plaisir au moment où elle introduisait le sexe dans sa bouche, l'enveloppant de ses lèbvres, le caressant de sa langue douce et chaude. Dans le même temps, sa main gauche continuait de caresser les testiculles lourdes et gonflées de Sébastien, qui durcirent sous son contact.

 

Pendant ce temps, la main de Sébastien s'était finalement introduite, après avoir caressé les hanches et les rins, puis le dos de Sabrina, sous sa jupe, découvrant des bas noirs qui lui remontaient quasiment jusqu'en haut de cuisses fermes et fuselées, retenus par un porte-jarretelles de dentelle noire, et une culotte brésilienne assortie. Sébastien savoura le spectacle quelques instants, en même temps qu'il profitait de la fellation que lui offrait cette femme splendide.

 

Il entendait toujours les gémissement de NAthalie dans la pièce d'à côté,  et les siens s'y joignirent bientôt, sous les assauts de la langue et des mains de Sabrina.

 

Ne voulant pas paraitre égoiste, et ayant envie de rendre à Sabrina une partie de ce plaisir qu'elle lui offrait, il se mit à lui caresser la cuisse, sur le flanc pour commencer, descendant jusqu'au genou, puis remontant sur l'intérieur de celle-ci pour s'arrêter à raz de la culotte, où il pouvait déjà deviner un peu d'humidité. Ne voulant pas précipiter les choses, il redescendit la main, suivant la cadence qu'imprimait l'esthéticienne sur son sexe, caressant chaqe centimètre carré de cette cuise, et s'attardant régulièrement sur l'int"rieur du genou, endroit particuluièrement sensible semblait-il, puisque ce contact provoquait de petits gémissements chez Sabrina.

 

Celle-ci accéléra le rythme progressivement, ne voulant pas laisser à Sébastien le loisr d'imposer son propre rythme. Nathalie lui avait parlé de cet homme comme étant un amant formidable, et il lui tardait de voir si c'était bien vrai. Pour le moment, elle était ravie de voir qu'il ne restait pas passif sous ses caresees mais cherchait à participer, à lui rende un peu de ce plaisir. Et ses caresses délicates et fermes à la fois commencaint de l'emporter, mais elle ne voulait pas se laisser aller pour l'instant, même si elle sentait une chaleur qu'elle connaissait bien se développer dans le bas de son ventre, comme une onde de bien-être et de d"ésir qui se diffusait en elle en rythme avec les caresses de Sébastien.

 

Après quelques minutes de ce traitement, Sébastien choisit d'essayer de s'impliquer un peu plus dans le cours des évènements en glissant sa main sur la blouse de Sabrina, remontant vers les boutons qui retenaient sa poitrine, et l'interrogea du regard. Celle-ci retira le sexe de sa femme et lui adressa un sourire complice et ravi avant de fermer les yeux en un geste d'assentiment. Il ouvrit donc un à un les boutons de la blouse de la quadragénaire, et sa poitrine généreuse se libéra, s'offrant à la fois au rergard, mais aussi aux mains de Sébastien.

 

Elle s'était redressée, l'invitant à s'asseoir sur le bord de la table, et plongea son regard dans celui de l'homme qui se tenait là, nu comme un verre, le sexe fiérement dressé, comme s'il saluait la jeune femme. Qu'il était beau. Musclé mais pas trop, le corps bien bâti, le tore large et ferme. D'un geste, elle se libéra de la blouse qui tomba à ses pieds, dévoilant sa poitrine nue, son vente plat, et sa lingerie délicate aux yeux de son amant d'un jour.

 

Sébastien n'en croyait pas ses yeux. Sabrina était peut-être plus âgée que lui, mais elle était vraiment ravissante, et même plus que cela, elle était désirable et il avait envie d'elle, envie de la prendre tout de suite dans cette salle de soins.

 

Il s'avanca vers elle, déposa un tendre baiser sur ses lèvres avant de la faire monter à son tour sur la table en la prenant par la taille.

 

Docilement, elle s'allongea à moitié, après avoir redressé le dossier de la table de massage, et plongea son regard dans celui de Sébastien alors que celui-ci se baissait doucement vers son intimité, caressant du regard et des mains son ventre, ses hanches... Qu'il était doux dans ses gestes... Il descendit ainsi juqu'à ses pieds, qu'il débarassa de ses hautes bottes marron, puis remontat doucement, avec des gestes lents et prècis vers son entrecuisse, s'y attardant quelques instants avant de redescendre faire de même avec son autre jambe.

 

Les gestes de Sébastien étaient si tendres, si doux, que Sabrina sentait son intimité en feu, elle se sentait mouiller abondamment et les effluves qui se dégageaient de son sexe commencaient de leur monter à la tête, parfum enivrant de femme brûlant de désir. Elle ne pouvait plus s'exprimer que par des gémissements, et elle avait l'impression que sa respiration se faisait de plus en plus courtes à chaque seconde.

 

Après quelques minutes de ce traitement, Sébastien finit enfin par s'arrêter sur l'intimité de Sabrina, l'une de ses mains continuant de s'occuper de la jambe droite de Sabrina, qui lui semblait la plus sensibl, pendant que la seconde se glissait sous les coutures de la culotte de dentelle, ouvrant le passage à sa bouche, qui venait de passer quelques minutes à lécher, caresser, titiller alternativement chacun de es tétons.

 

Sabrina sentait son corps lui échapper. Elle n'était plus que plaisir et désir sous les attentions de cet homme. Plus rien n'existait au monde queces sensations intenses, qui commencèrent de culminer à l'instant où ses doigts, muis ses lèvres, finirent par se frayer un chemin vers sa vulve gonflée de désir et son clitoris déjà gonflé jaillissant de sa cachette.

 

De sa main gauche, il parvint à faire glisser la culotte, pendant que les doigts agiles de sa main droite caressaient ses grandes lèvres, puis les petites. Sa bouche n'étant pas en reste, ses lèvres se refermant autour de son petit bouton pour l'aspirer en même temps que le dessous de sa langue venait caresser celui-ci. Elle se sentait légère comme une plume. Jamais encore elle n'avait ressenti une telle explosion de plaisir soudain. Elle ne put retenir un cri de plaisir à l'instant où elle ressentit un premier orgasme.

 

Les yeux écarquillés par la jouissance, le souffle court, elle biassa le regard sur Sébastien, qui, loin de s'arrêter là, continuait de la caresser, de la lécher, sa langue venant se glisser entre ses lèvres et s'introduire dans son vagin, provoquant une nouvelle vague de plaisir qui lui provoqua un rale accompagné d'une grimace de jouissance.

 

Elle sentait déjà deux doigts dans sa vulve, qui écartaient délicatement ses lèvres pour que la lange puisse se frayer plus aisément un chemin vers son vagin, venant s'agiter à l'entrée de celui-ci alors que ces deux doigts l'accompagnaient, venant caresser tendrement les parois internes de son vagin, douces et soyeuses.

 

Excitée au plus haut point, elle ressentait chaque mouvement des doigts et de la langue de Sébastien, son souffle chaud sur ses grandes et petites lèvres qui frémissaient. Il lui semblait qu'elle allait exploser sous une telle avalanche de plaisir. Elle eût même l'impression que son coeur allait s'arrêter à l'instant où elle ressentit deux nouveaux orgasmes, quasi-simultanés.

 

Ce n'est qu'après ces deux orgasmes simultanés que Sébastien ralentit le rythme de ses caresses, retira ses doigts de ce sexe de femme ruissellant, embrassa à quelques reprises et avec tendresse le clitoris qui entamait son repli. Il continua toutefois de caresser ses jambes, son ventre, sa poitrine et ses hanches, calant son rythme sur celui de la respiration de Sabrina, qui ne pouvait pour le moment parler, cherchant à reprendre ses esprits. Il accompagna ainsi sa redescente depuis les sommets de jouissance où il l'avait emmenée.

 

Leurs regards se croisèrent pour ne plus se quitter jusqu'à ce qu'elle eût suffisamment repris le contrôle de son corps et de ses sens pour se redresser, attirer les lèvres de Sébastien pour échanger .avec lui un long baiser langoureux.

 

"Merci... Je n'ai jamais eu d'expérience aussi intense, c'était vraiment incroyable, tu es un amant exceptionnel; tu sais?

 

Sébastien rougit, ne sachant quoi répondre, et plongea à nouveau son regard dans celui de Sabrina avant de l'embrasser avec tendresse, le sexe toujours dressé, comme Sabrina le nota presque immédiatement.

 

"Hé bien, je crois que j'ai une petite idée sur la façon dont je pourrais te remercier...."

 

A ces mots, elle prit Sébastien par la main, l'attirant contre elle tout en se dirigeant vers une porte au fond de la salle de soins, sur laquelle était marqué "privé".

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Mercredi 3 novembre 3 03 /11 /Nov 13:14

Sébastien a rencontré Laëtitia lors d'une compétition sportive. Elle avait accompagné son fils qui concourrait et faisait partie de l'équipe d'organisation, en charge des inscriptions pour les coureurs adultes et de la pesée des concurrents.

 

C'est elle qui l'avait accueilli,  et l'avait accompagné dans la salle de pesée. Afin de gagner de la marge en terme de poids, il s'était dévêtu et présenté en caleçon pour la pesée, ne sachant pas que ce serait une femme qui s'en chargeait.

 

Il s'était alors trouvé face à cette jeune femme d'une petite quarantaine d'années, brunette aux formes généreuses et au sourire engageant, aux hanches marquées et aux jambes fuselées.

 

Il n'avait pu réprimer une forte érection alors qu'elle avait posé ses mains sur les hanches de Sébastien pour vérifier son positionnement sur la balance et ils en avaient rit tous les deux, mais il avait bien remarqué le regard gourmand qu'elle avait posé sur son entrejambe.

 

Ils en étaient restés là, et Sébastien n'y avait plus pensé, jusqu'à ce qu'il recoive son appel. Elle avait noté son numéro de téléphone, récupéré sur son formulaire d'inscription, et souhaitait l'inviter à prendre un café chez elle. Se rappelant ces instants fugaces et très agréables, surpris de l'appel, il avait répondu oui sans hésiter, et ils prirent rendez-vous pour le jour-même.

 

Sébastien sortit donc comme d'habitude de son entraînement après une bonne douche rafraichissante, pour se rendfre chez Laëtitia à quelques kilomètres de là. Il fixa son sac de sport sur la selle de sa moto, enfila son casque et ses gants, et enfourcha sa machine.

 

Il se sentait léger, et légèremenet excité à l'idée de cette rencontre. A tout hasard, il avat enfilé directement son pantalon de moto sans enfiler de sous-vêtement. Le frôlement du tissu sur son entrejambe à chaque mouvement lui provoquait des fourmillements dans le bas-ventre.

 

Il arriva enfin devant chez elle, gara sa moto et retira son casque pour aller frapper à la porte.

 

Une voix se fit entendre.

 

"Entre Séb', je suis dans le salon."

 

Il ouvrit la porte et franchit le seuil de la maison. Il s'agissait d'une petite maison bretonne traditionnelle, aux murs de pierre avec un hortensia à côté de l'entrée. Toutefois, en entrant il se rendit compte que le salon s'ouvrait sur une large baie vitrée donnant sur la Baie de Douarnenez.

 

Et dans ce salon, une silhouette féminine se dressait en conte-jour. De là où il se tenait, Sébastien pouvait voir ces belles jambes qu'il avait pu deviner sous la jupe de Laëtitia lors de la compétition, enveloppées dans une paire de bas soyeux retenus par un porte-jarretelle. Fermant la porte pour s'approcher d'elle, il s'aperçut qu'elle portait également un bustier qui poussait vers le haut sa poitrine généreuse, mettant en valeur sa gorge.

 

Sébastien s'avança vers elle, ouvrant d'une main son blouson de moto, pendant que de l'autre main il posait son casque sur la commode de l'entrée.

 

Elle s'avança vers lui et il put plonger son regard dans ses yeux d'émeraude. Des yeux d'où émanait une pulsion de luxure dans laquelle il s'apprêtait à sombrer.

 

Ses mains se posèrent sur le blouson de Sébastien, retenant son geste de se déshabiller. Elle se mordit la lèvre inférieure en plongeant son regard dans celui de son amant à venir et s'accroupit devant lui.

 

Posant ses mains sur le pantalon de Sébastien, elle ouvrit sa braguette et son sexe jaillit, déjà fort et fièrement dressé devant elle. Elle se passa la langue sur les lèvres en plongeant son regard dans celui de Sébasiten, et sa main caressa délicatement la hampe dressée. Ses mains commencaient de courir sur ce sexe, et sa langue vint poindre entre ses lèvres.

 

Puis elle avança la langue vers son gland, et la posa sur le bout de celui-ci. Un toucher de velours, la chaleur de son souffle... Tout cela provoqua en lui un doux frisson, puis elle engloutit ce gland, le caressant du dessous de sa langue, alors qu'il posait ses mains sur la tête de cettte créature si douce et délicate pour accompagner les mouvements de sa bouche sur son vit.

 

Quel délice. Sébastien est transporté de plaisir, sentant chaque cetimètre de sa verge s'enfilant dans cette bouche si chaude, si douce. Laëtitia entame des allers et vient, alternant avec des passages de sa langue sur cette verge gonflée de sève, elle en sent chaque pulsation sur ses papilles. Sébastien accompagne de ses mains les mouvements de sa tête, ses mains vont et vienne,t massant ses testicules, un doigt s'égarant parfois autour de son anus.

 

Elle sent le cors de Sébastien se raidir sous ses caresses, frisssonner de plaisir. Et ce goût... Elle goûte sa verge comme une glace en cornet, passant sa langue autour de son gland, l'aspirant comme un bâtonnet glacé, jusqu'à sentir son fessier se raffermir d'un coup ses jambes se mettre à trembler. Elle plaque alors ses mains sur les fesses de son amant, pour conserver son sexe en bouche alors que sa semence commence de jaillir, venant frapper son palais, sa gorge, coulant dans sa trachée en spasmes brûlants. Elle savoure chaque goutte de son amant jusqu'à ce que la source soit tarie pour l'instant, et nettoie le sexe encore dur de chaque goutte restante avant de redresser son regard et de croiser le sourire satisfait et tendre de son amant.

 

"Merci, c'était si inattendu, et si agréable...

- Mais, pour moi aussi tu sais. Tu es très bon, j'aime le goût de ton sexe, et tu n'es pas brutal, tu m'as procuré beaucoup de plaisir aussi, mais c'est à ton tour maintenant," ajoute t'elle avec un clin d'oeil appuyé, prenant la main de son amant pour le guider jusqu'au canapé où  elle vient s'asseoir, l'invitant à venir auprès d'elle avec un sourire gourmand su rle visage.

 

Sébastien saisit l'invitation et pose alors ses mains sur les jambes de son amante, caressant chaque centimètre de celles-ci en remontant progressivement vers ses cuisses et cette fine toison qu'il devine sous une culotte de dentelle échancrée, portant déjà des traces d'humidité.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Samedi 30 octobre 6 30 /10 /Oct 19:34

Invité comme témoin à un mariage, Sébastien n'avait pas beaucoup d'autre choix que de passer par la case coiffeur, et surtout cabinet d'esthéticienne. Pour la coiffure, ce serait vite vu. Avec son début de calvitie, il portait le cheveu ras depuis de nombreuses années. Juste un petit rafraichssement devrait suffire. Pour l'esthéticienne, il ne savait pas. Il n'était jamais allé dans un cabinet auparavant.

 

C'est donc Nathalie, la soeur de la mariée, qui avait pris rendez-vous pour lui, en même temps que pour elle, dans le cabinet d'une amie.

 

Le jour prévu, il se présenta donc devant la cabinet de l'esthéticienne, n'osant pas entrer, et attendit l'arrivée de Nat'. Elle ne fût pas trop longue à attendre.

 

Nathalie était un petit bout de femme énergique et adorable. Avec son mètre cinquante cinq, elle avait deux fois plus d'énergie que sa soeur, à qui elle rendait néanmoins dix à quinze bons centimètres. Cette énergie, combinée à une silhouette généreuse, toute en formes et en rondeurs aux bons endroits, faisaient de Nathalie une vraie croqueuse d'hommes.

 

Le cabinet d'esthéticienne était sité en centre ville, dans les ruelles moyenâgeuses de la cité. Ils y entrèrent ensemble, et furent accueillis par la propriétaire des lieux, une amie de Nathalie. Sabrina était à l'opposé de Nathalie. Grande, blonde, ses cheveux cascadaient depuis ses épaules jusqu'au niveau de ses reins et ondoyaient sous la lumière artificille des locaux. Sa poitrine généreuse semblait prête à jaillir de son corsage à chaque respiration. Sa gorge invitait à de douces caresses et ses mains fines promettait un toucher très sensuel. Elle portait quelques rides d'expression très agréables à regarder, qui trahissait sa cinquantaine, mais qu'elle arborait avec fierté.

 

"Bienvenue à tous deux. Je suis enchanté de vous recevoir et je vous remercie pour votre confiance. Alors, qu'est-ce que je peux faire pour vous?

- Hé bien, répondit Nathalie, je pense que Sébastien et moi avons besoin d'une formule totale. Enfin, si c'est possible. Nous voudrions être resplendissants le jour du mariage. Qu'est-ce que tu peux nous proposer?

-Alors, pour toi, je propose une séance de massage californien, puisune manucure, une pédicure, une épilation bien sûr, y compris les sourcils, histoire de rafraichir un peu ton doux visage, et pour finir un massage relaxant aux huiles essentielles. Je vais te laisser aux mains expertes d'Isabelle pour cette fois si tu n'y vois pas d'inconvénient, et je m'occuperai de ce beau jeune hommme en attendant. Nous te retrouvreons pour le massage si tu veux bien," ajouta t'elle avec un clin d'oeil complice.

"Ce sera parfait. Je vous retrouve tout à l'heure alors. Séb, je te laisse entre de bonnes mains. A tout à l'heure."

 

Sur ces mots, Nathalie suivit Isabelle pour pénétrer dans un vestiaire. Sébastien se retrouvait seul en compagnie de Sabrina.

 

"Bien, à nous deux jeune homme. Je peux vous appeler par votre prénom? Sébastien, c'est bien ça?

-Heu, oui, c'est ça.

-Alors suivez-moi, je vais vous indiquer une cabine pour vous changer et adopter une tenue plus adéquate."

 

Sébastien lui emboita le pas, suivant avec délice sa démarche chaloupée. Ses hanches ondulaient à chaque pas et Sébastien se dit que cette femme était vraiment splendide à cinquante ans.

 

Une fois dans la cabine, Sébastien retira ses vêtements un à un et les plia sur le petit banc de la cabine. Puis il enfila le peignoir pendu à la patère et prit la serviette pour quitter la cabine. Le peignoir était fait dans un tissu très léger à porter, bblanc et doux au toucher, il caressait sa peau à chaque pas. Décidément, ce cabinet semblait vraiment insister sur le ressenti. Tout y était fait pour le confort et le plaisir des clients.

 

Sébastien sortit du vesitaire et rejoignit Sabrina dans la cabine de soins.

 

"Alors, qu'est-ce que nous allons pouvoir faire? Faisons d'abord un état des lieux si tu veux bien? Es-tu déjà venu dans ce type d'établissement auparavant?

-Non, c'est la première fois que je viens voir une esthéticienne.

-Bien, alors voyons ce que je peux faire pour toi. Retire ton peignoir, si tu veux bien?"

 

Elle avait prononcé ces mots avec un air de semi-gourmandise sur le visage. Sébastien retira son peignoir, en prenant soin de cacher son sexe de ses deux mains.

 

"Mmmmh, Hé bien, voilà un homme bien bâti, les épaules larges, musclé... Un fessier bien ferme semble t'il..."

 

A mesure qu'elle le détaillait, elle tournait autour de lui et ses mains effleuraient par intermittence certains endroits de son corps. Ses épaules, son dos, son torse et ses fesses. Ces contacts commencaient à lui faire de l'effet et il se demanda s'il parviendrat à contrôler ou masquer de ses mains une éventuelle érection, mais elle arrêta le contact au moment où il commencait à sentir poindre celle-ci.

 

"Bien, nous allons commencer par un gommage du corps, puis nous verrons ce que nous pouvons faire pour ces mains et entretenir un peu cette pilosité. Cela vous convient?"

 

Elle avait repris un ton très professionnel.

 

"Oui, oui, tout à fait. Alors, qu'est-ce que je dois faire?

- Rien en fait. Vous allez vous allonger sur le ventre et me laisser faire, puis nous travaillerons le côté face."

 

Docilement, Sébastien rejoignit la table de massage et s'allongea sur le ventre. Les soins commencèrent. Les mains expertes de Sabrina parcouraient son dos, usant de produits aux parfums étranges.  Sébastien commencait à se laisser aller, acceptant le contact et s'abandonnant aux soins de la professionnelle.

 

Une demi-heure plus tard, Sabrina lui demanda de se retourner. Sébastien s'allongea donc sur le dos, prenant soin de se servir de la serviette pour couvrir son intimité.

 

Dans cette position, il pouvait voir le visage de Sabrina, et sa poitrine qui s'agitait sous sa blouse. Une gorge qui semblait si soyeuse, promesse de douceur... Sébastien dût se forcer à penser à autre chose. Il se concentra donc sur les sensations que lui procuraient les mains de l'esthéticienne et les produits qu'elle utilisait. Il se sentit à nouveau partir. Il se délassait, se laissait aller et ferma les yeux pour profiter au maximum de ces instants.

 

" Bien, nous allons maintenant nous occuper de cette pilosité. Vous êtes un beau jeune homme, et votre système pileux est assez fourni, mais si vous le voulez bien, je vous propose d'entretenir un peu votre toison, de la rafraichir, un peu comme un coiffeur.

- Heu, oui, d'accord, je vous laisse carte blanche.

- Très bien, allons-y alors. Détendez-vous et laissez moi faire."

 

Elle se saisit alors d'une tondeuse et commenca de tailler les poils qui formaient une étoile sur son torse et descendaient en un chemin vers son bas-ventre.

 

A ce moment, il entendt un bruit étrange, comme un gémissement qui provenait de la cabine d'à-côté. Le bruit commença à former un fond sonore très sensuel, et Sébastien reconnut après quelques minutes la voix de Nathalie.

 

"Mmmh, comme c'est bon. C'est si agréable, tu as vraiment des doigts de fée. Continue, je t'en prie, ne t'arrête pas!", disait la voix de Nathalie.

 

Sabrina esquissa un sourire.

 

"Bien, il semble que ton amie profite pleine ment de sa séance. Fais donc de même, laisse-toi aller", lui sussura Sabrina, tendant la main vers un lecteur CD posé àproximité de la table pour couvrir la voix de Nathalie. La musique était très douce, un mélange de classique et de jazz, purement instrumental.

 

Sébastien remarqua le passage au tutoiement, mais ne releva pas et ne s'en offusqua pas. Pour sa première visite chez une esthéticienne, il n'était pas déçu, et il ne savait pas encore ce que cette séance allait lui réserver comme autres surprises.

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Vendredi 29 octobre 5 29 /10 /Oct 15:09

Sébastien était fatigué de naviguer en solitaire à chaque fois qu'il souhaitait sortir avec son voilier. Il se décidé donc à déposer des annonces sur le panneau d'affichage de la capitainerie ainsi qu'au Café du Port.

 

Le texte de cette annonce était très clair, il cherchait un ou une équipier ou équipière pour sortir dans la Baie de Quiberon, pour la journée ou pour deux jours. MAlheureusement, la plupart des personnes qui l'appelaient cherchaient surtout à se faire "promener", plutôt qu'à s'impliquer dans la navigation. Pensez donc, une journée de navigation à la voile gratuite!

 

Au bout de deux mois, il se décida donc à retirer son annonce du panneau de la capitainerie, et se rendit au Café du Port pour la retirer également.

 

A peine entré, il vit Pierre-Yves, le patron, en grande conversation avec une femme d'une quarantaine d'année, svelte, blonde, vêtue d'un jean qui mettait en valeur ses longues jambes sans être provocateur, ainsi qu'un chemisier très classe. Une très belle femme.

 

Le voyant entrer, Pierre-Yves lui fit signe de les rejoindre.

 

"Séb, tu tombes bien, Ludivine a vu ton annonce et elle me demandait si je connaissais le skipper. Elle est intéressée par ton annonce.

- Ah? Et vous vous y connaissez un peu en voile?, demanda Sébastien.

- Oui, j'ai travaillé comme monitrice au centre nautique ici quand j'étais jeune, et j'ai fait un peu de convoyage en Atlantique et en Méditerranée. J'ai un voilier également, mais j'ai du mal à trouver un équipier fiable. Il me semble que nos recherches se rencontrent, non?"

 

Elle lui avait répondu sur un ton très naturel, mais sa voix résonnait étrangement comme une musique aux oreilles de Sébastien. Il était un peu surpris de ce timbre de voix, si sensuel tout en restant naturel.

 

"Oui, on dirait bien", répondit-il.

 

Ils s'assirent donc pour discuter et voir s'ils pouvaient s'organiser pour sortir dans la baie ensemble. Ludivine vivait dans le Sud, mais elle était restée profondément attachée à son coin de Bretagne. Alors elle y avait laissé son voilier, où elle "campait" pendant les vacances. Elle avait un Muscadet, un vieux voilier en bois qu'elle entretenait avec amour et qu'elle faisait hiverner au même endroit que le Cognac de Sébastien.

 

Ils finirent par se rendre sur le port pour voir les deux bateaux, et décidérent de sortir une première fois le lendemain.

 

Sébastien était à la fois surpris et heureux d'avoir trouvé une équipière, et qui plus est celle-ci était très séduisante en plus de savoir naviguer, ce qui ne gâchait rien.

 

Le lendemain matin, il faisait déjà très chaud lorsque Sébastien arriva sur le pontn, sur les coups de 9 heures. La journée ne risquait pas d'être caniculaire, mais il allait faire chaud, d'autant que le vent était relativement modéré. Un vent de Sud d'une dizaine de noeuds, juste de quoi s'amuser un peu à la voile.

 

Ludivine arriva quelques minutes plus tard, vêtue d'un jean usé par des journées de navigation, un t-shirt léger, et une paire de chaussures de pont légères également. Sébastien se voyait confirmé qu'elle savait de quoi elle parlait: on ne navigue pas en sandales ou nu-pieds sur un bateau qu'on ne connait pas, au risque de s'âbimer un orteil; voire pire.

 

Ses longs cheveux blonds, qu'elle portait attachés en une queue de cheval la veille, étaient retenus en un chignon serré sous sa casquette. Et ses yeux d'un vert profond pétillaient de joie à l'idée de sortir en mer.

 

Sébastien aussi avait hâte de larguer les amarres. Il remplit sn journal de bord avec la météo, les informations concernant l'équipage et le programme de navigation. Petite sortie côtière. Il ne pensait pas trop s'éloigner de la côte, et elle non plus, pour une première navigation ensemble.

 

Une fois le bateau prêt, les voiles parées et le moteur lancé, ils larguèrent les amarres, et embouquèrent le chenal, déjà légèrement encombré par tous les zodiacs, jet-skis et autres pêche-promenade que les touristes affectionnaient tant. Pas tout à fait un embouteillage, mais tout de même bien encombré. Ils étaient le seul voilier à sortir du port semblait-il.

 

Une fois franchie la dernière bouée, Sébastien mit le cap au Sud-Ouest, pour s'éloigner un peu de la côte et pouvoir ensuite profiter du vent de travers pour naviguer confortablement.

 

Ludivine était tout à fait à l'aise. Elle avait trouvé ses marques en quelques minutes, comme si elle avait passé sa vie sur ce bateau.

 

Il faisait chaud. Sébastien s'excusa et expliqua à Ludivine qu'il descendait dans la cabine pour se changer et adopter une tenue plus légère pour supporter la chaleur. Elle lui répondit que cela ne posait pas de problème et prit donc la barre.

 

Sébastien descendit dans la petite cabine, et passa son t-shirt par-dessus sa tête, puis entrepit de défaire sa ceinture pour retirer son pantalon. Ce n'est qu'en se baissant pour retirer celui-ci qu'il se rendit compte que, du fait qu'il ne portait pas de sous-vêtements, Ludivine avait une vue plongeante sur son postérieur. Mais bon, il était trop tard, et de toute façon, elle avait dû en voir d'autres.

 

Il enfila donc son bermuda, remit sa ceinture, à laquelle il portait sa pince multifonction par sécurité, et ressortit de la cabine.

 

"Je suis désolé, j'espère que ça ne t'a pas choqué, lui lança-t'il avec un sourire un peu forcé.

- Ne t'en fais pas pour ça. Il en faut plus pour me choquer", lui répondit-elle. "Et puis, la vue n'était pas désgréable...", ajouta-t'elle avec un sourire mi-moqueur, mi-enjôleur.

 

"Et puis, de toute façon, moi aussi j'ai un peu chaud, alors si tu le permets, je vais adopter une tenue plus... Moins pesante..."

 

Sur ces mots, elle lui fit signe de venir prendre la barre et se rendit à son tour dans la petite cabine.

 

Sébastien put donc profiter de la vue tout en dirigeant le bateau. Ludivine commença par enlever sa casquette, puis par défaire son chignon en secouant la tête, faisant voler sa longue chevelure blonde. Ensuite, elle se pencha en avant pour retirer ses chaussures, et se retourna pour adresser un regard appuyé à Sébastien. Troublé, il lui rendit un sourire niais qui la fit rire. Un rire cristallin, léger...

 

Puis, continuant de le regarder par-dessus son épaule, elle fit voler son t-shirt par-dessus sa tête, révélant un dos nu et musclé. Plaçant un bras sur ses seins, elle se pencha en avant pour commencer de faire glisser son pantalon. Par-dessous celui-ci, elle portait une simple culotte blanche, bordée de fine dentelle. Et lorsqu'elle se pencha plus en avant pour retirer son pantalon, le galbe de ses fesses fut tout ce sur quoi Sébastien arrivait à porter son attention. Il sentit sa gorge se serrer.

 

Elle enfila un léger paréo bariolé, presque diaphane. Puis, lancant à nouveau un regard pénétrant à Sébastien qui devenait aussi rouge qu'une pivoine, elle retira également sa culotte. Elle était désormais nue sous son paréo, la poitrine à l'air libre, libérée de toute entrave.

 

Sébastien ne pouvait réprimer une très forte érection. Il avait une boule dans la gorge et ne pouvait plus parler face à ce spectacle.

 

"J'espère que ça ne te dérange pas, j'aime me sentir libre lorsque je navigue. La sensation du vent sur ma peau me fait un bien fou.

- Hem, non, non... Ca ne me dérange pas du tout, bien au contraire", fût tout ce qu'il trouva à répondre.

 

"Mais, tu sais, si tu veux te mettre à l'aise toi aussi, n'hésite pas. Je pratique le naturisme depuis des années, alors rien ne me semblera plus normal", ajouta-t'elle avec un sourire gourmand.

 

"Heu, peut-être un peu plus tard", répondit-il.

 

Il n'en croyait pas ses yeux. Son équipière se trouvait assise à côté de lui, quasi-nue. Et étrangement, cela lui plaisait bien plus que cela ne lui semblait étrange.

 

Assise sur le banc de navigation, Ludivine, l'écoute à la main, semblait effectivement savourer les caresses du vent et du soleil sur son corps. Un corps bronzé, presque cuivré, qui prenait des reflets d'or sous un certain angle.

 

Ses longs cheveux flottaient dans le vent. Un sourire éclatant illuminait son visage. Elle était belle, tout simplement, désirable. Mais Sébastien devait se concentrer sur la barre et la navigation pour le moment.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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Samedi 26 juin 6 26 /06 /Juin 20:53

Une randonnée à moto très sensuelle



Christiane portait un maillot d’une seule pièce, noir, qui mettait en avant sa silhouette longiligne, Elle était vraiment superbe elle aussi, un paréo imprimé ceinturant ses hanches, noué à la taille.

Patrice portait un slip de bain, qui ne laissait aucun doute quant à sa virilité. Une belle bosse déformait le tissu. Un fin duvet brun remontait le long de son ventre, s’élargissant en forme d’étoile comme il rejoignait son torse. Un bel homme, bien bâti, aux épaules carrées et au torse puissant. Il lui faisait vraiment penser à Sébastien. Ils se ressemblaient beaucoup physiquement tous les deux. Pas au point de les prendre pour des frères, mais peut-être des cousins.

Sébastien fît son arrivée également, et ses trois compagnons purent voir clairement dans quel état d’excitation Juliette l’avait mis.

Rouge comme un pivoine, il s’avança vers eux et sauta tout de suite dans la piscine, éclaboussant au passage Juliette et provoquant un éclat de rire général.

« Hé Séb, ne t’en fais pas pour ça va. Christiane en a vu d’autres! », lui lança un Patrice rigolard.

Sans rien dire, Sébastien fit un aller et retour dans la piscine et vint s’appuyer sur le bord de la piscine, barbotant aux pieds de ses amis.

Les deux femmes s’installèrent dans deux transats côte-à-côte et commencèrent à papoter. Sébastien restait dans l’eau et engageait la conversation avec Patrice.

« Alors, c’est quoi le programme pour le week-end?
-Hé bien, pour le moment, rien de vraiment défini. On prend la route demain matin et on rejoint trois autres motards à Clermont à la station-service, et ensuite on devrait confirmer le road-book tous ensemble. Comme ça, si on perd quelqu’un en chemin, on pourra définir des points de chutes pour se retrouver.
-Ca roule. Au fait, c’est qui les gars avec qui on va rouler?
-Un groupe d’amis. Ils avaient prévu d’arriver aujourd’hui, mais avec le boulot l’un d’eux n’a pas pu se libérer. Alors ils vont nous rejoindre directement demain matin et pour demain soir on a réservé un bungalow pour tous les 7 dans un camping. »

Un programme sympa se dessinait. Sébastien sourit et éclaboussa les deux femmes avant de recommencer à nager.

Patrice, lui, s’installa dans un transat à côté de sa femme. Celle-ci lui prit la main et ils s’installèrent pour bronzer.

Les deux femmes bavardaient à bâtons rompus. Juliette expliqua à Christiane les circonstances de son accident, sa blessure à la cheville, comment Sébastien s’était occupé des papiers et des réparations de la moto. Bien sûr, elle garda pour elle les détails les plus savoureux. Ils étaient très amis tous les quatre, mais quand même.

En fin d’après-midi, la chaleur était toujours aussi accablante, et les quatre compères décidèrent de faire cuire leur viande au barbecue. Les hommes se proposèrent naturellement de faire le feu et de s’occuper de la cuisson, leurs compagnes prenant en charge le reste, c’est-à-dire de dresser la table et préparer une grosse salade composée à base de salade et de tomates, ainsi que quelques autres ingrédients.

Patrice alluma donc son barbecue, savourant un whisky en compagnie de Sébastien, qui avait lui opté pour un soda. Il était un peu fatigué par la route et ne voulait pas être assommé par l’alcool. ‘autant qu’ils avaient prévu une bonne bouteille de vin pour accompagner les entrecôtes achetées par leurs hôtes.

« Dis-moi, Juliette et toi, ça a l’air d’être plutôt sérieux, je me trompe?, lui demanda Patrice.
-Plutôt oui. Pout le moment en tout cas, ça m‘en a tout l‘air, C’est une chouette nana. Je pense que j’ai beaucoup de chance d’être avec elle.
-Ca, c’est sûr, c’est un beau brin de femme, une très jolie plante si tu veux mon avis. »

La réflexion fît sourire Sébastien. C’est vrai que Juliette est une femme ravissante, très féminine et sensuelle, quelles que soient les circonstances. Il se remémora l’un de leurs moments les plus torrides, où elle était vêtue du bleu de travail de son homme pendant qu’ils travaillaient sur leurs deux motos.

Elle l’avait noué à la taille, découvrant son soutien-gorge de sport. Elle faisait du 90C. Ses seins n’étaient pas très gros, mais d’une profondeur très agréable. Et le soutien-gorge mettait en valeur sa poitrine.

La sueur provoquée par les efforts physiques et la gymnastique pour accéder à certaines parties des deux machines lui coulait sur le visage, collant ses longs cheveux noirs sur son front, et luisant sur sa gorge sous la lumière crue du néon du garage.

Se faufilant derrière elle, il lui avait mis les mains sur les hanches, et déposa un baiser sur sa nuque, la faisant frissonner. Et lorsqu’elle s’était retournée, une trace de cambouis sur le visage, il avait passé son chiffon sur sa joue. Elle avait alors attrappé son poignet pour arrêter son geste, et l’avait attirée à elle. Ils avaient fait l’amour là, au milieu du garage, entre leurs deux machines dont les optiques leur renvoyaient par moments les reflets de l’éclairage du garage, un peu à la manière de clins d’yeux. Objets inanimés mais néanmoins complices de leurs ébats. Tous deux ne pouvaient réprimer un sourire à chaque fois qu’ils parlaient de l’entretien de leurs montures, qu’ils soient seuls tous les deux ou entourés de leurs amis. C’était l’un de leurs plus importants secrets.

Il sourit à nouveau à l’évocation de ce souvenir, et trinqua avec un Patrice Rigolard.

Depusi la cuisine, ils entendirent la voix de Christiane leur demander s’ils préféraient de la laitue ou de la frisée.

« De la frisée mon ange, tu me connais, j’adore la frisée!, lança Patrice, avec un clin d’œil complice à Sébastien qui ne put s’empêcher de rire.
-Toi alors, tu n’en manqes vraiment pas une!, lui répondit Sébastien, un large sourire aux lèvres.
-Jamais, c’est l’un de mes talents secrets, mais j’en ai bien d’autres, si tu savais! »

Patrice et Sébastien rigolaient des blagues grivoises de Patrice lorsque leurs compagnes revinrent.

« Hé bien les hommes, on a l’air de bien s’amuser par ici dites-moi. On peut se joindre à vous? », demanda une Christiane vêtue de son paréo et d’un petit haut presque transparent, qui laissait voir des seins lourds et fermes.

Sébastien était troublé par cette vision et heureux d‘avoir pris le temps de se changer. Il aurait peut-être été de mauvais ton que ses hôtes s’aperçoivent de l’effet qu’elle avait sur lui s‘il était resté vêtu de son seul boxer de bain.

Juliette, elle, était vêtue d’une jupe très courte qu’elle avait été acheter en compagnie de Sébastien. Il se souvenait encore de l’excitation qu’il avait ressentie en entrant avec elle dans la cabine d’essayage, puis en caressant son corps et en la couvrant de baisers. Ils n’avaient pas été plus loin que quelques caresses et baisers, mais le risque d’être surpris par la jeune vendeuse avait accru leur plaisir. Là encore, à chaque fois qu’elle portait cette jupe, Sébastien savait qu’elle se remémorait ce moment et qu’elle avait à chaque fois une idée très précise derrière la tête.

Patrice retourna une dernière fois les morceaux de viande, et ils s’installèrent tous à table.

Le repas fût comme toujours un moment délicieux à partager avec leurs amis, mais Séb était troublé par le chemisier de Christiane. Il ne l’avait jamais trouvée si désirable et s’en voulait de nourrir de telles pensées. Juliette semblait s’en rendre compte et s’en amuser à la fois, tous comme leurs amis, qui multipliaient les gestes tendres durant le repas.

Au moment du dessert, alors que Juliette et Sébastien s’étaient proposé de préparer une salade de fruits, ils se retrouvèrent tous deux dans la cuisine de leurs amis. Juliette se tourna vers lui et lui demanda:
« Dis-moi, tu trouves Christiane aussi belle que moi? »

Sébastien ne sût quoi répondre immédiatement. La question l’avait pris totalement au dépourvu. Heureusement qu’il avait la tête plongée dans le réfrigérateur, car elle ne pouvait le voir rougir.

« Hein? Comment ça?
-J’aio bien vu comment tu la regardais aujourd’hui. C’est vrai qu’elle est très belle. Et Patrice et elle partagent une complicité à la fois touchante et sensuelle. Tu savais que cela fait plus de 15 ans qu’ls sont mariés, et plus de 25 ans qu’ils se connaissent?
-Oui, c’est impressionnant hein? C’est tellement rare de nos jours.
-Oui, mais et nous? »

Aie, la question que Sébastien redoutait et espérait à la fois.

« Comment ça, et nous? Nous, on est aussi complice qu’eux… Et toi, tu es encore plus désirable qu’elle, même si elle est effectivement très belle. Il n’y a de place que pour une femme dans mon cœur, et tu sais de qui il s’agit. »

Il appuya sa réponse d’un clin d’œil, et s’avança vers elle, puis la prit dans ses bras pour l’embrasser tendrement dans le cou, puisqu’elle lui tournait le dos.

Dieu que ses fesses étaient belles, moulées dans cette petite jupe légère.

« Oui, mais et nous? On se connait depuis combien de temps? Sérieusement…
-Sérieusement? Hé bien si je ne me trompe pas, cela fera sept ans en novembre prochain, le jour de l’anniversaire de Fred. »

Elle parut se renfrogner, et se dégagea de ses bras.

« Tu sais très bien ce que je veux dire »,  répondit-elle en lui faisant face, les yeux plongés dans les siens, sa main passant dans les poils de son torse. Puis elle baissa son visage, regardant ses sandales.

Sébastien était troublé. Il savait où elle voulait en venir, mais n’avait jamais su exprimer ses sentiments.

« Regarde-moi mon amour, lui dit-il en relevant son menton de sa main. Si tu me le permets, j’aimerai que nous puissions dire la même chose qu’eux dans vingt ans. Je suis heureux d’être avec toi. Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve, mais j’espère qu’il ne nous séparera jamais, car tu es une femme formidable, et je t‘aime. »

Les yeux embués de larme, Juliette avança ses lèvres vers celles de son homme. Oui, son homme. Qu’elle aimait ces mots. Elle le repoussa conte le plan de travail, ses mains s’affairant sur son torse. La situation l’excitait et elle avait envie de lui, tout de suite et maintenant.

Elle releva la jambe contre la hanche de son amant, sentit sa virilité à travers son short. Mmmh, quel régal pour tous les deux.

Les mains de Sébastien parcouraient le corps de sa compagne, et vinrent se poser sur ses hanches. Il l’embrassait fougueusement, et vint placer ses mains sous ses fesses.

Sans ajouter un mot, il la souleva dans ses bras, et commença à se diriger vers la sortie de la cuisine.

« Non, je ne veux pas attendre qu’on soit dans la chambre. Prends-moi là, tout de suite. J’en ai envie… »

Sébastien la regarda, perplexe.

« Ici, dans leur cuisine? Mais, et s’ils revenaient? En ne nous voyant pas arriver?
-Hé bien tant pis, ils comprendront. Je te veux, j’ai envie que tu me fasses l’amour ici et maintenant. »

Un peu gêné, Sébastien regarda par la fenêtre. Il pouvait apercevoir leurs amis sur la terrasse, ce qui voulait dire qu’ex aussi pouvaient les distinguer. Mais après tout, rien ne l’empêchait de faire plaisir à sa femme. Leurs amis semblaient en grande conversation, il y avait peu de risques qu’ils débarquent à l’improviste.

Il porta donc Juliette jusqu’à un plan de travail, la posa délicatement dessus, et passa ses mains sur ses cuisses, sous sa jupe. Etrangement, il ne perçut pas le tissu de sa culotte. Sans baisser le regard, il laissa ses mains explorer le corps de sa partenaire, et entendit celle-ci glousser.

« Ah, tu as enfin remarqué…
-Comment ça?
-On a fait un pari avec Christiane, celui de ne pas porter de culotte pendant le repas. Un petit jeu entre filles. Elle n’en a pas non plus sous son paréo. On voulait voir comment vous alliez réagir si vous vous en aperceviez. Mais ces messieurs ont été bien plus intéressés par nos poitrines que par ce qui se passait plus bas…
-Alors ça, si je m’attendais! »

Sébastien était hilare.

« Mais tu vas voir, je vais me venger… Je ne vais pas te faire l’amour ici, mais autre chose que tu adores tout autant.! »

Appuyant cette remarque d’un clin d’œil, il engagea sa tête sous la jupe de sa compagne, qui ne put retenir un hoquet de surprise.

« Hé, mais qu’est-ce que tu f… »

Elle n’eût pas le temps de finir sa phrase que la langue de Sébastien lui léchait l’intérieur des cuisses. Elle adorait cette sensation. Les doigts de son compagnon caressaient l’intérieur de ses genoux, sa langue le haut de ses cuisses, et son souffle brûlant effleurait sa vulve, dont la toison était taillée en forme de flèche orientée vers le bas.

Sébastien eût immédiatement les narines emplies du parfum de sa compagne, cette senteur de femme, de désir, qu’il aimait tant.

Sa langue s’agitait autour de la vulve de Juliette, puis s’approchait en grands cercles concentriques de son clitoris. Ses mains chatouillait cette zone si senssible à l’intérieur des cuisses et des genoux de sa bien-aimée Il commençait à connaitre par cœur ce corps tant aimée, anticipant ses désirs, interprétant chaque réaction, provoquant les autres.

Après quelques minutes de cet assaut, Juliette se trouvait toujours sur le plan de travail, la tête rejetée en arrière, lorsqu’elle entendit un bruit. Sans rien dire, elle redressa la tête et aperçut Patrice près de la porte, qui les regardait avec un grand sourire aux lèvres. Il mit un doigt sur celles-ci, lui fit un cin d’œil et s’en alla pour aller rejoindre la terrasse. Un peu gênée, elle préféra n’en rien dire à Sébastien, dont la langue la transportait vers des sommets de plaisir.

Elle l’aimait tant. Il était le seul homme à savoir lui procurer autant de plaisir, et ses caresses buccales étaient une vraie friandise pour tous les deux.

Entre ses doigts et sa langue, Sébastien la faisait gimper aux rideaux, an sens propre. Elle sentit l’orgasme arriver, mais ne put retenir son cri de jouissance. Sébastien se figea et releva la tête.

« Heu, là, je crois que côté discrétion c’est fichu!
-Je t’aime mon amour. SI tu savais combien. Et je pense qu’ils le savent tous les deux. Ils ne diront rien, mais je pense qu’on va se faire mettre en boîte… D’autant que Patrice nous a aperçus…
-Hein? Mais pourquoi tu ne m’as rien dit?
-Pour deux raisons mon cœur: la première, c’est qu’il était trop tard. Il a entrouvert la porte, nous a aperçus, et m’a fait signe de ne rien dire avant de repartir. Je pense qu’il n’a pas voulu nous déranger..
-Et la seconde raison?, lui demanda-t-il, un sourcil relevé.
-Je ne voulais pas que tu t’arrêtes, c’était trop bon. »

Elle avait rougi sur ces paroles. Sébastien sourit à son tour, et se redressa pour embrasser son amante. Il tenait encore ce corps aimé contre lui, ce corps brûlant et vibrant de désir.

« Allez, on retourne à table, ou ils vont penser qu’on fait des petits, lui lança-t-il ne se retournant vers la table pour prendre le saladier.
-Non mais dis donc! »

Elle lui lança un coup de poing dans les côtes.

« Arrrg, j’ai mal, tu me tues, je souffre… »

Il avait un large sourire aux lèvres. Il sentait encore dans son haleine les effluves de sa compagne. Il avait encore le goût de celle-ci dans la bouche et sur les lèvres.

« Allez, allons-y. »

Juliette prit le saladier des mains de Sébastien, et celui-ci la prit par la taillepour retrouner à table.

Patrice et Christiane les regardèrent avec insistance comme ils revenaient à table.

« Alors les jeunes? Il vous en faut du temps pour éplucher trois pommes », lança un Patrice rigolard.

Juliette vira au pivoine et Sébastien s’empourpra également.

« Mais laisse-les donc tranquilles Pat! Il n’y a pas si longtemps, tu mettais encore plus de temps qu’eux pour m’éplucher trois légumes! Alors tu ferais mieux de garder tes réflexions pour toi! »

Christiane était hilare également.

Juliette et Sébastien étaient embarrassés d’avoir été surpris, et Sébastien ouvrit la bouche pour parler.

« Non mon grand, ne t’excuse surtout jamais d’avoir procuré du bonheur à ta compagne!, le coupa Patrice avant qu’il aie pu dire un mot. Vous êtes le plus beau couple que nous connaissions, et nous sommes heureux pour vous deux. Tu ne dois jamais t’excuser de l’aimer, c’Est-ce qu’il y a de plus beau sur terre. Pas vraie chérie?
-Oui, renchérit Christiane. Aimer sa compagne ou son compagnon n’est absolument pas répréhensible. Et d’après ce que j’ai entendu, vous y excellez tous les deux. »

Elle adressa un clin d’œil à Patrice.

« Et mon Pat aussi est plutôt doué vous savez. Avec lui, je suis comblée! »

A ces mots, elle embrassa son mari, puis ils reprirent leur repas.  Sébastien se délectait du mélange de saveurs, entre les fruits et le goût de sa compagne. Un goût vraiment incomparable.

A la fin du repas, les deux couples se levèrent et débarrassèrent la table pour aller s’asseoir dans le salon et partager un café. Patrice avait mis un disque de jazz et ils se laissèrent emporter par la musique pendant le reste de a soirée, chacune des deux femmes blotties dans les bras de leur homme respectif, jusqu‘à ce que, pris de fatigue, assommés par le voyage et par l‘excitation de la journée, Juliette et Sébastien prennent congé de leurs hôtes pour aller prendre du repos.

Ils se glissèrent donc tous les deux, entièrement nus, sous les draps de la chambre d’amis. Juliette vint se blottir tout contre Sébastien, les bras contre la poitrine, le visage collé au torse de son amant si formidable, et tous deux se laissèrent emporter par le sommeil.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits
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