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Jeudi 18 novembre 4 18 /11 /Nov 08:50

Sébastien se rend à Dusseldorf pour raisons professionnelles. L'un des clients de sa boîte souhaite en effet discuter d'un nouveau contrat et c'est à lui qu'incombe la charge de se rendre sur place pour expliquer la prestation.

 

Arrivé à l'hôtel, il confirme son rendez-vous avec le client pour le lendemain. Il rencontrera Frau Shoffenbauer, la responsable des achats de leur client dans la matinée, mais elle souhaiterait le voir le soir-même pour le rencontrer une première fois avant de parler de travail.

 

Malgré la fatigue du voyage en voiture depuis la Normandie, il accepte donc le rendez-vous pour le dîner. Il a tout juste le temps de prendre sa douche et de se changer avant l'heure du dîner.

 

A l'heure dite, il se rend donc au bar de l'hôtel pour attendre son hôte, et commande un whisky pour l'attendre.

 

Frau Shoffenbauer se présente à la réception, et on l'oriente vers le bar, où  elle rejoint Sébastien. Elle est ravissante et attire tous les regards des hommes présents dans le hall et dans le bar. Grande, élancée, ses longs cheveux blonds retenus en chignon serré, vêtue d'un tailleur pêche qui met en valeur sa poitrine, d'une jupe, de bas et d'une paire de chaussures à talons qui soulignent ses longues jambes. Malgré lui, Sébastien ne peut réprimer un regard d'admiration, et il se force à ne pas regarder ces jambes pour rester professionnel et détaché.

 

« Guten Tag Herr Tellier, Wie gehts? Avez-vous fait bon voyage?

- Oui, merci. Un peu long toutefois, mais les paysages Allemands étaient agréables et vos autoroutes sont bien pratiques.

- Ja, c'est un point pour nous. Je suis désolé de vous imposer ce dîner, mais je voulais faire connaissance pour voir si nous pourrons effectivement travailler ensemble efficacement. J'aime savoir à qui j'ai affaire avant de parler travail. Ca ne vous dérange pas trop j'espère?

- Non, pas du tout, ne vous inquiétez pas. Et puis, c'est toujours agréable d'être accueilli et d'avoir de la compagnie pour une première soirée dans un pays étranger, » répond-il avec un sourire.

 

Frau Shoffenbauer lui rend son sourire, un sourire sincère, elle semble apprécier le compliment caché.

 

« Voulez-vous boire quelque chose avant de passer à table? Il semble que notre table ne sera pas prête avant quelques minutes, j'en ai peur.

- Volontiers, je prendrai la même chose que vous. Whisky je suppose?

- Oui, tout à fait. Garçon, ein whisky bitte. »

 

Les deux verres à la main, Sébastien accompagne Frau Shoffenbauer jusqu'à une petite alcôve isolée dans un coin du bar. Il se réjouit intérieurement des regards envieux qui se posent sur lui après s'être posés sur Frau Shoffenbauer devant qui il pose l'un des deux verres avant de s'asseoir et de poser le sien également.

 

Ce faisant, il profite de la vue sur les longues jambes de l'Allemande, qu'elle croise sous la table, et il sent une boule dans sa gorge. S'asseyant à son tour, il pose son verre et croise le regard de la cinquantenaire. Des yeux bleus, d'un bleu si profond qu'ils semblent avoir été arrachés à un lagon de l'océan Indien.

 

Il sourit et ils engagent la conversation, parlent du trajet en voiture, et finalement engagent la conversation sur des sujets plus personnels.

 

« Her Tellier, vous permettez que je vous appelle Sébastien? Ce sera plus agréable pour nous deux. Vous pouvez m'appeller Debora.

- Comme vous le voudrez Debora, ce sera un vrai plaisir.

- Merci, » lui répond-elle avant de s'empourprer. « Ma question va vous paraître étrange, mais vous ne portez pas d'alliance, avez-vous quelqu'un dans votre vie? »

 

Un peu désarçonné par a question, Sébastien riposte.

 

« A vrai dire, non, pas en ce moment. Mais et vous-même? Vous n'avez pas d'alliance non plus? C'est surprenant. Je veux dire, une femme aussi séduisante, je ne peux pas croire que vous n'ayez pas de prétendant. »

 

Le whisky aidant, tous deux baissent leur garde, et commencent à parler de sujets plus personnels encore, jusqu'à ce qu'un serveur vienne les informer que leur table est libre et les guide jusque-là. Sébastien présente une chaise à Debora, et l'observe s'asseoir, admirant la finesse de ses gestes alors qu'elle rabat sa jupe pour s'asseoir.

 

Il s'assoit en face d'elle et ils prennent la carte pour commander. Tous deux commandent un repas frugal. Une entrée légère et un plat pas trop lourd, accompagné par un vin blanc goûteux choisi par Sébastien pour accompagner les plats.

 

Le serveur ayant pris leur commande, ils engagent à nouveau la conversation, et tout de suite s'intéressent à des sujets de plus en plus intimes à mesure que le temps passe et que la bouteille de vin se vide.

 

« Mais, vous-même, vous êtes un homme très séduisant, et vous avez l'air très sympathique, voire même sensuel dans votre façon de parler, si vous me permettez.

- A vrai dire, je suis célibataire un peu par choix.

- Ah? Expliquez-moi donc ça? Je pensais que tous les Français rêvaient de fonder une famille, d'avoir des enfants? »

 

Sébastien rit de bon cœur.

 

« Non, pas tous, et pas toutes non plus heureusement. Certains, comme moi, sont peut-être trop "gourmands". J'aime la sensualité, et j'aime les femmes, mais je ne peux pas me limiter à une seule femme dans ma vie. J'aime être avec une femme bien sûr, et le plus souvent ce sont des relations relativement longues. Quelques mois, un ou deux ans, mais je n'aime pas l'exclusivité. Je fais partie de ce que l'on appelle les "libertins", ces personnes qui sont passionnées par la sensualité et le partage.

- Ah bon, expliquez-moi donc ça?

- Disons que pour moi, et pour mes partenaires, la complicité passe parfois par le partager et la découverte de nouvelles sensations. Avec un autre couple, un homme, une femme, selon nos envies. Il ne s'agit pas uniquement de sexe, mais bien de volupté, de sensualité. C'est un peu une quête. Nous sommes très complices, nous avons une vie de couple parfaitement normale, mais parfois nous avons envie d'autre chose, de pimenter notre vie sexuelle. Qu'il s'agisse de regarder les autres, d'être regardés ou d'avoir un ou plusieurs complices. »

 

Debora semble de plus en plus intéressé et Sébastien remarque une lueur étrange, un peu mélancolique, dans son regard.

 

« Debora, si vous me permettez, vous semblez intriguée?" »

 

Désarçonnée à son tour, elle rougit et plonge alors son regard dans le sien.

 

« Sébastien, je vais nous paraitre un peu directe, mais... Vous savez, j'ai cinquante ans. A mon âge, il est difficile de rencontrer un homme qui ne soit pas intéressé que par le sexe. »

 

Sébastien est surpris. Se pourrait-il que cette femme si désirable ne puisse attirer que des goujats?

 

« Debora, vous êtes une très belle femme, très attirante. Je dois avouer que je suis surpris. Si je vous avais rencontrée sans savoir, j'aurais hésité à vous aborder en pensant que vous devez forcément être en couple. Je ne comprend pas vraiment, mais, il y a sûrement des endroits où rencontrer des hommes "biens", si vous voyez ce que je veux dire. Toutes les femmes méritent que l'on prenne soin d'elles, que l'on leur procure du plaisir. »

 

Debora le fixe alors, son regard à la fois reconnaissant et supplicateur.

 

« Venez..., » lui dit-il alors après avoir signé l'addition pour qu'elle soit portée sur la note de sa chambre.

 

Il la prend par la main, et la guide vers l'extérieur du restaurant, se dirigeant vers l'ascenseur. Elle ne dit rien, se laisse guider, soumise à a la volonté de ce Français entreprenant.

 

Une fois dans l'ascenseur, Sébastien appuie sur le bouton de son étage, et prend Debora par la taille, l'attirant à lui pour échanger un long baiser passionné.

 

L'ascenseur arrive à son étage et ils se dirigent vers sa chambre, dont il ouvre la porte avant d'entrainer Debora vers le lit.

 

Debout tous les deux, face à face, ils échangent un regard gourmand, plein d'envie, prometteur des délices à venir.

 

Sébastien passe doucement la main sur le visage de l'Allemande, dont le regard alterne entre la joie et une certaine angoisse.

 

« Qu'y a t'il Debora?

- Je ne sais pas, j'ai un peu peur. Peur que tu me considères comme une "femme facile" comme vous dites en France, que tu te fasses plaisir en jouant avec moi et que tu me jettes hors de ta chambre ensuite. »

 

Sébastien est ému par cet aveu, et il ne sait pas comment la rassurer.

 

« Ecoute, je te propose quelque chose. Je veux te faire plaisir, que tu saches que tous les hommes ne sont pas des fumiers. Laisse-moi découvrir comment te rendre heureuse, et si à un moment tu veux arrêter, dis-le moi, tout simplement, et on arrêtera là. D'accord? »

 

Un peu hésitante, Debora finit par hocher la tête, se mordant la lèvre inférieure. Elle a tellement envie de cet homme.

 

Sébastien passe alors sa main dans les fins cheveux blonds, son autre main caresse délicatement le cou de Debora, la faisant frissonner et provoquant un sourire. Elle ferme les yeux et son visage se détend.

 

Les lèvres de Sébastien viennent se poser doucement sur sa clavicule, l'effleurant alors que sa main descend déboutonner le tailleur, dévoilant un fin chemisier de soie, dont le décolleté dévoile une gorge douce et une peau fine.

 

Plongeant son regard dans celui de son amante, il passe alors un doigt sur les légères rides qui marquent ses lèvres, ces fines rides d'expression au bord des yeux qui lui donnent un charme fou. Il sent leurs deux cœurs s'emballer alors que son autre main vient caresser cette gorge offerte.

 

Elle rejette la tête en arrière, et il en profite pour poser ses lèvres sur sa gorge alors que ses mains défont l'un après l'autre les boutons de ce chemisier.

 

Son ventre magnifique s'offre alors à son regard. Quelques petites rondeurs soulignent ses hanches, sa peau fine est soyeuse sous les doigts de Sébastien, qui viennent se poser sur ses flancs, passent dans le creux de ses reins.

 

Ils se déshabillent ainsi mutuellement, découvrant progressivement le corps de l'autre offert à leurs regards, et Sébastien l'accompagne, la fait s'asseoir, puis s'allonger sur le lit alors qu'il commence de la caresser tendrement.

 

Debora s'abandonne totalement sous ce massage sensuel, si fin, si délicat, qui emballe son être tout entier, l'excite au plus haut point. A chaque fois qu'elle s'attend à sentir Sébastien s'imposer à elle, il change immédiatement de mouvement, passant de ses reins à ses hanches, ses jambes, ses bras, sans jamais venir faire plus que frôler son intimité.

 

Elle se sent pourtant ruisseler de désir et de plaisir, ses gémissements et ses frissons la prennent et lui apportent des sensations comme elle en a rarement connues.

 

Sébastien de son côté se concentre sur le bien-être de son amante, restant hors de portée de ces mains délicates qui passent parfois sur son corps malgré tout, cherchant à la satisfaire en tout.

 

Le petit manège dure plus d'une demi-heure, jusqu'à ce que, repue, Debora l'invite à venir s'asseoir à côté d'elle.

 

« Danke scheun, mon beau Français. Tu sais vraiment y faire avec les femmes, tu as des mains très expertes. Je ne me suis jamais sentie aussi détendue, aussi bien entre les mains d'un homme. »

 

Sébastien lui rend son sourire, enchanté de lire une certaine gourmandise dans ce regard, et ele l'attire à lui pour échanger un tendre baiser.

 

Le couple s'enlace alors, leurs langues se rencontrent, s'entremêlent, et leurs sens les emportent vers le niveau supérieur.

 

Les mains de Debora viennent saisir les hanches de Sébastien, l'attirant vers elle. Il se retrouve ainsi au-dessus d'elle, plonge son regard dans le sien et lui demande:

« En es-tu vraiment sûre? Je ne voudrais pas que tu te sentes obligée? »

 

Elle le regarde à son tour, puis lui dit:

« Si tu as ce qu'il faut, j'ai envie de t'accueillir en moi, de te sentir en moi, mon beau Français... »

 

Il ouvre alors le tiroir du chevet en déposant un tendre baiser sur ses lèvres couleur de rubis, en sort un préservatif dont elle se saisit pour le sortir de son emballage.

 

« Laisse-moi faire mon bel amant... »

 

Elle le repousse, le fait s'allonger et vient se mettre à côté de lui, échangeant un regard mi-amusé, mi-câlin, et pose sa main sur le sexe dressé de Sébastien, sa lange pointant délicatement entre ses lèvres charnues. Dans son autre main, elle tient le préservatif, mais elle semble hésiter, continuant de caresser la verge de son amant.

 

Puis elle semble prendre sa décision, et penche la tête vers lui, aspirant le sexe du Français dans sa bouche.

 

Cette sensation si agréable, la chaleur humide, les caresses de cette langue soyeuse, font que Sébastien s'arque de plaisir sous la surprise. De sa main libre, elle palpe les testicules de son amant, sa bouche aspirant toute sa virilité, alors que de son autre main elle finit de libérer le préservatif de son emballage. Puis, sans cesser de masser de sa main la verge dure du Français, elle vient placer le préservatif sur le bout de sa langue, qu'elle vient poser sur le bout de son gland, et à l'aide de ses lèvres, elle vient le dérouler sur toute la longueur du sexe de Sébastien, qui laisse échapper un râle de plaisir.

 

Le préservatif en place, elle se redresse alors, vérifie qu'il est bien positionné, et vient chevaucher le Français.

 

Sans échanger un mot, ils restent ainsi quelques secondes. La verge fièrement dressée de Sébastien se trouve juste à l'entrée du sexe de Debora, le bout de son gland s'insinuant de quelques millimètres à peine entre ses lèvres ruisselantes. Il peut déjà sentir la chaleur moite de l'intimité de son amante, et elle sent déjà la chaleur brûlante de sa verge.

 

Puis, levant le visage vers le plafond, un sourire gourmand sur le visage et les yeux fermés, elle vient lentement s'empaler sur son sexe, tous deux savourant la progression millimètre par millimètre de son sexe franchissant ses lèvres pour s'introduire au plus profond d'elle.

 

Elle imprime un rythme lascif à leurs mouvements, faisant aller et venir ses hanches, ondulant de son bassin pendant que les mains de Sébastien reprennent leur ballet sur ses hanches, son ventre, ses seins, sa gorge.

 

Leurs râles et leurs gémissements doivent s'entendre dans tout l'hôtel. Ils fusionnent, leurs corps ne faisant plus qu'un, emportés par le plaisir et le désir.

 

Lui se concentre sur le visage, les frissons de son amante, cherchant à interpréter les signes qui lui permettront de la satisfaire, et elle cherche à provoquer la montée de son plaisir, sentant le sexe de son amant profondément en elle, gonflé de désir, pulsant chaque instant et bougeant en elle comme elle sent ses mains courir sur son corps.

 

Après quelques minutes, ils changent de position, elle couchée sous lui, une jambe passée sur le côté du bassin du Français, l'autre placée entre ses jambes à lui. Il mène alors la danse, et se concentre à nouveau sur les signes verbaux ou non qu'elle lui adresse pour lui apporter le maximum de plaisir, appuyé sur ses avant-bras. Il sent les mains de l'Allemande parcourir son torse, ses hanches, lui indiquant en partie le rythme à adopter, jusqu'à ce qu'elle ait un premier orgasme, et qu'il ralentisse un peu le rythme pour lui permettre de récupérer, accompagnant sa descente avec tendresse et moult caresses.

 

Puis ils changent encore de position, debout devant la grande baie vitrée de la chambre qui donne sur le balcon, Sébastien vient se placer derrière elle, elle se cambre et sent son sexe s'introduire à nouveau en elle, lui arrachant de nouveaux gémissements. Quel spectacle ils doivent donner aux passants dans la rue si ceux-ci venaient à lever le nez vers le cinquième étage! Excitée à cette pensée, elle accompagne les mouvements de son amant, et ne tarde pas à jouir à nouveau, criant le nom de son amant. Excité par la vue de cette femme submergée de plaisir, il jouit à son tour, emplissant le préservatif de sa semence, et continue quelques instants ses mouvements de va-et-vient en les accompagnant de caresses qui viennent petit à petit les remplacer.

 

Il se retire d'elle et elle se retourne pour lui faire face, puis elle le guide vers le lit, savourant les caresses de cet homme qui l'a comblée. Comme il retire le préservatif et fait un noeud au bout, elle le fait s'allonger, et, pendant qu'il continue de la caresser et de savourer ses frissons, elle vient poser à nouveau sa bouche sur le sexe désormais reposé de Sébastien, le léchant et savourant le goût de leur jouissance mutuelle, avant de remonter l'embrasser avec tendresse.

 

Ils restent ainsi, enlacés, pendant de longues minutes, à se caresser mutuellement, jusqu'à ce que le feu du désir s'allume de nouveau en elle, et que Sébastien, le sentant gonfler en elle, se mette à l'alimenter de ses caresses à nouveau, mêlant massages sensuels, caresses, baisers, utilisant ses doigts et sa bouche pour la satisfaire et lui procurer un troisième orgasme, en attendant que son sexe aie retrouvé assez de vigueur pour recommencer.

 

Cette folle nuit leur procura énormément de plaisir à tous les deux, et ils eurent droit à un feu d'artifice d'orgasmes; et lors de la signature du contrat entre les deux sociétés le lendemain, ils veillèrent à ce qu'un suivi personnalisé soit prévu dans les clauses, qui leur permettrait de se revoir aux moins une fois tous les deux mois, en France ou en Allemagne.

Par korrigancoquin.erog.fr - Publié dans : Récits - Communauté : Récits Erotiques X
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