Les Histoires de Korrigan Coquin, Finistérien Libertin
Novembre 2024 | ||||||||||
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Quel délice, quel plaisir de se sentir emporté par les fragrances de cette femme, ce parfum de désir qui envahit tout son être.
Sébastien glisse un premier doigt sous le fin tissu de la culotte, provoquant un frémissement chez Laetitia. Il relève la tête, plonge son regard dans celui de cette femme, si belle, si désirable dans cette tenue.
Ses lèvres se posent sur sa peau, sur la hanche de celle-ci, pendant que sa main droite caresse sa cuisse, s'arrêtant sur le pli de son genou. Elle découvre des sensations encore inconnues pour elle. JJamais encore un amant n'avait pris tout son temps pour découvrir son corps avant de la posséder, pas même son mari. Et elle brûle de sentir en elle cet amant.
Elle se saisit de la tête de sébastien, la guide vers son intimité. Les doigts de celui-ci se sont insinués sous le tissu et commencent déjà d'exciter ses grandes lèvres, naviguant avec finesse et tendresse autour de son clitoris qui se dégage déjà de sa prison de chair.
De ses mains, elle presse le visage de son amant contre son ventre. Il s'exécute, comprenant le message, et fait doucement, langoureusement, glisser la culotte jusqu'aux chevilles de son amante.
Reculant alors d'un pas, restant à genoux devant elle, il découvre son corps quasi nu, uniquement vêtue de ses bas et de sa guépière, qui peine désormais à retenir ses seins lourds et fermes.
Mais Sébastien ne s'attarde pas. Il a senti le désir de son amante et ne cherche pour l'instant qu'à satisfaire ce désir. Il lui tarde de plonger sa langue dans la chair de son amante, de goûter à ce fruit défendu, si délicieusement offert.
Il s'avance alors vers elle, dépose un baiser sur sa clavicul, et descend le long de son ventre, s'attardant quelques instant sur sa gorge et ses seins fermes et doux.
Elle se cambre sous le désir, son corps tout entier part en arrière alors qu'elle passe les mains dans ses cheveux.
Sébastien comprend le message, et redescend plus bas, toujours plus bas, ses mains caressant les hanches, les reins de Laetitia, puis saisissent ses cuisses, les attirant vers lui.
Il dépose alors ses lèvres autour du bouton de cette créature de désir qui se tient face à lui, et entame un mouvement de succion en même temps que sa langue s'agite autour de ce bouton. Sa main gauche bascule vers l'intérieur de sa cuisse, caressant cette peau au grain si fin au toucher, alors que sa main droite remonte vers sa vulve et glisse un doigt entre ses lèvres, puis un second.
Laetitia se laisse emporter, le plaisir déferle en elle. Elle anticipe chaque mouvement de son amant qui s'agite entre ses cuisse, ses mains saisissent les cheveux de Sébastien, le guident. Ses ongles s'enfoncent dans son cuir chevelu et un râle de plaisir s'échappe de sa gorge.
Elporté par l'élan de sa compagne d'un instant, Sébastien s'active, augmente la cadence en adoptant le rythme des gémissements et des frissons de Laetitia. Il goûte au plaisir de cette femme qui déferle dans sa bouche. Ce parfum, cette saveur, il les connait bien, et il se laisse également emporter alors que Laetitia expérimente un premier orgasme, qui la prend par surprise.
Sébastien ne s'arrête pourtant pas à ce premier orgasme, il continue de plus belle, et Laetitia est envahi par un sentiment nouveau, un plaisir jusque-là inconnu pour elle. Les doigts de son amant, puis sa langu, s'insinuent en elle, l'envahissent et prennent possession de son intimité.
Elle se laisse emporter par un raz-de-marée de plaisir, une sensation si douce, si intense qu'après quelques minutes elle est saisie d'un nouvel orgasme et se laisse aller sur le canapé derrière elle, son amant continuant de la caresser tendrement, parcourant en sens inverse le chemin qui l'a menée au plaisir.
Tous deux se reposent quelques instants sans dire un mot, enlacés tendrement sur le canapé, récupérant quelques forces.
"Merci mon bel amant. Tu sais que tu es vraiment un amant formidable, tendre, doux...?", lui demande t'elle.
- Maintenant oui, je le sais, mais toi aussi, tu es une femme exceptionnelle. Tu es belle, douce, et terriblement câline."
Elle rit à ces mots, et ils se taquinent quelques instants, puis elle se lève, et se dirige vers la cuisine.
"Je t'ai promis un café, non? Que dis-tu de le prendre maintenant, histoire de reprendre des forces?
- Volontiers. J'aurais l'occasion de t'observer pendant ce temps et je compte bien profiter du spectacle", lui répond-il avec un grand sourire aux lèvres.
Elle rit, un rire clair et cristallin, se saisit d'un coussin sur le fauteuil à côté d'elle et lance sur son amant avant de se faufiler derrière le comptior de la cuisine.
Qu'elle est belle, sa silhouette se dessinant dans la lumière de cette grande baie vitrée.
Sébastien se lève également, et vient la rejoindre dans la cuisine. Il la prend alors par la taille, et suit cahcun de ses mouvements, comme une ombre, le corps collé au sien, pendant qu'elle prépare le café.
A mesure de ces mouvements, son sexe reprend de la vigueur, et elle le sent qui frotte contre ses fesses et ses hanches à chaque mouvement.
Elle sent à nouveau le désir monté en elle. Une boule de chaleur qui se diffuse depuis son ventre dans tout son corps, mais elle essaie de rester concentrée sur ce qu'elle fait.
Sébastien pendant ce temps ne cesse de la tenir fermement, se tenant derrière elle, caressant ses épaules, ses cheveux.
Enfin, la machine à café est prête et Laetitia se retourn pour faire face à son amant, tendant le bras pour appuyer sur l'interrupteur avant de saisir de l'autrre main le sexe dressé de son amant.
"Hé bien polisson, qu'est-ce que c'est qe ces manières? On ne t'a jamais appris à bien te tenir?", lui demande t'elle, les yeux étincelants de désir.
"Il faut croire que non belle dame, mais je n'ai pas pu m'empêcher de te rejoindre et de rester près de toi, de caresser ton corps de rêve... Tu ne m'en vex pas au moins?
-Hé bien, disons que ceci m'a quelque peu perturbée", ajoute t'elle en caressant la verge de Sébastien, qui se trouve ausupplice. "Alors voyons ce que tu peux en faire, qu'en dis-tu?"
Sans prononcer un mot, Sébastien s'avance vers elle, un sourire aux lèvres, et sa main vient seposer sur la joue de Laetitia, la caressant en même temps qu'il vient déposer un tendre baiser sur ses lèvres.
Elle l'entraine alors vers elle, devant la baie vitrée, le conduisant à s'allonger sur le tapis. Les rayons du soleil viennent souligner le relief de son corps, son torse bien dessiné, ses hanches avec des délicieuses poignées d'amour, ses bras puissants... Elle vient se positionner sur lui, plngeant son regard dans le sien, retardant l'instant pour le savourer.
Livré aux caprices de son amante, qui tient toujours fermement mais tendrement son sexe dans sa main, Sébastien savoure la vue de ce corps, de cette silhouette dressée au-dessus de lui. Cette poitrine enfin libérée de cette guépière, ce porte-jarretelles qui souligne les hanches de son amante, son ventre si doux, sa gorge bien dessinée et ce visage avenant et souriant. Lui aussi savoure chaque seconde.
Une minute à peine s'est écoulée qu'il sent alors la main de Laetitia le guider en elle, le déposant contre ses lèvres, les écartant de deux doigts. Les mains de Sébastien viennent se poaser sur ses hanches, les caressent, et elle vient s'empaler doucement, centimètre par centimètre sur le pénis dressé qui vient caresser son intimité. Ce sexe qui disparait en elle progressivement, Sébastien le sent progresser, s'introduisant dans ce puit de chair chaud et moelleux.
Sa respiration se bloque pendant tout le temps de cette progression, il ferme les yeux de plaisir alors qu'elle laisse aller sa tête en arrière, un gémissement s'échappant de sa gorge.
Sébastien est désormais en elle, profondément, et elle s'immobilise pour savourer cette sensation, celle d'être remplie par ce sexe d'homme, par cette virilté. La tête basculée en arrière, elle vient se mordre la lèvre inférieure pour ne pas crier de plaisir.
Ils se regardent l'espace d'un instant, puis tous les deux se sourient et Laetitia entame un lent mouvement de va-et-vient. Sébastien est transporté, il ferme les yeux pour savourer ce plaisir. Il se sent en elle, il se fond dans ce sexe de femme, ressent chaque mouvement, vers le haut, vers le bas. Il sent par moment son sexe cogner tout au fond du sexe de son amante.
Laetitia est remplie par le sexe de son amant, elle sent celui-ci, ce corps introduit en elle qu'elle manipule, bougeant son vagin de haut en bas et de gauche droite, arrachant à Sébastien des halètements alors qu'elle-même gémit à n'en plus finir. Elle voudrait que ce moment se prolonge à l'infiini. Elle sent le pénis de Sébastien en elle, tout au fond d'elle. Elle le sent gonfler, pulser, scrute sur le visage de son amant chaque once de plaisir.
Un nouvel orgasme la saisit, et elle s'immobilise au-dessus de lui. Son plaisir est tel qu'elle n'ose plus bouge,r mais elle sent la verge de Sébastien, si dure, si chade et si douce, qui bouge encore en elle.
Elle ne peut prononcer un mot, sa gorge s'ouvre sur un gémissement profond, presuqe un râle quand tout à coup une nouvelle sensation l'envahit, comme une onde de chaleur qui finit par exploser en une éruption de liquide qui s'échappe d'elle. Elle vient d'éjaculer sur son amant, pour la première fois de sa vie. Sa respiration se bloque, puis se libère et elle sent tout son corps se mettre à frémir et à trembler sans qu'elle puisse le contrôler.
Sébasiten la saisit alors par la taille, accompagne son corps qui vient reposer sur le sol, son amant toujours en elle.
Elle le regarde à nouveau, le voit sous un nouvel auspice. Quel amant formidable.
Elle frémit encore quelques minutes, son amant reste en elle, immobile, lui laissant le temps de recouvrer ses esprits, caressant de ses mains ce corps qui repose sur le sol, repue de plaisir. Seules ses mains qui caressent le corps de son amante, et son sexe encore introduit en elle s'agitent toujours tendrement, accompagnant le plaisir en elle...
"Mmmh, quel délice... Tu sais vraiment te servir de cet engin dis-moi... Mais peux-tu en faire autre chose mon bel amant? J'ai envie de toi, envie de te sentir en moi, encore, envie que tu me possèdes, que tu me fasses tienne l'espace de quelques minutes..."
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