Le blog de korrigancoquin.erog.fr
Alors qu'il profitait de son massage, Sébastien remarqua que les mouvements des mains de Sabrina s'attradait sur certaines zones de son anatomie. Les ciseaux et le rasoir avaient fini leur office et Sabrina s'appliquait à enduire les parties sur lesquelles elle venait d'exercer d'une crême apaisante et rafraichissante. Ses mains descendirent plus bas, et elle s'arrêta au-dessus de la serviette qui masquait difficilement l'intimité de Sébastien.
"Je peux voir s'il y aurait quelque chose à faire de ce côté-là également si tu le souhaites?", lui demanda t'elle, avec un sourire gourmand et les yeux pleins d'étincelles passant alternativement des siens à la bosse sous la serviette.
"Heu, oui, pourquoi pas..."
A ces mots, elle retira la serviette, et passa la main sur le pubis de Sébastien, d'une façon très professionnelle.
"Bien, je pense qu'en rafraichissant un peu, en taillant quelque poils ici ou là, ce serait encore plus appétissant. Qu'en penses-tu?", lui dit-elle en appuyant son discours du geste pour illustrer son propos.
"Très bien, je te fais confiance", répondit Sébastien, un peu troublé.
Sabrian sortit alors une petite paire de ciseaux et un peigne, et commenca de travailler. A mesure qu'elle aérait cette zone de son anatomie, Sébastien s'efforcait de contrôler son érection.
"Tu sais, c'est très agréable de travailler sur toi. Tu es très vigoureux, ça me permet de bien voir ce que je fais... Et puis, à regarder c'est pas mal du tout. Voilà, c'est fini, tu vois, il n'y avait pas grand chose à faire."
Sébastien baissa les yeux et vit que son sexe se dressait maintenant fièrement au milieu d'une fine toison bien entreenue et dégagée. Effectivement, même si la différence n'était pas énorme, il sentait bien la différence au niveau des sensations.
"Bien, maintenant, passons aux finitions."
Elle s'enduit les mains d'une crême parfumée, la même que celle qu'elle avait utilisée pour son torse et son ventre, et posé les mains sur la toison de Sébastien. Ce contact lui fit l'effet d'une décharge électrique, provoquant un frisson chez Sébastien. Ses mains passérent tout autour du sexe de Sébastien, le massant, le caressant. Les effluves de cette crême montaient jusqu'aux narines de Sébastien, fragrances qui éveillaient en lui une sensation de bien-être et, étrangement, de désir.
Tout à coup, il sentit une différence dans les gestes de Sabrina. Il rouvrit les yeux et la vit concentrée, le regard posé sur son vit, la langue pointant entre ses lèvres gourmandes. Puis il sentit une main passer sous ses testicules, les soupesant, les pétrissant tendrement, et l'autre main vint se poser sur son membre dressé, le caressant délicatement, l'index passsant délicatement sur le bout du gland qui dépassait du prépuce, une goutte de liquide suintant de celui-ci.
Sébastien choisit de se laisser aller, reposant la tête en arrière sur la table de massage, ondulant doucement du bassin pour venir au contact des caresses de Sabrina.
Celle-ci vint appuyer sa hanche contre le bord de la table, près de la main de Sébastien. En même temps qu'elle le caressait, il vint donc poser sa main sur cette hanche, sentit cette peau douce sous ses doigts.
Sabrina aussi sentit le contact des doigts de Sébastien, et l'encouragea du regard à pousuivre son exploration un peu plus loin. Pendant ce temps, sa main s'activait le long du sexe de l'homme allongé sur sa table de massage. Un sexe de dimensions très correctes, ni trop gros, ni trop fin, juste comme il fallait. Appétissant également, au point qu'il ne lui fallut pas longtemps avant de s'abandonner à l'envie d'y goupter, de le prendre en bouce suavement, après l'avoir léché de la base jusqu'au gland pour préparer Sébastien à cette manoeuvre.
Elle entendit Sébastien gémir de plaisir au moment où elle introduisait le sexe dans sa bouche, l'enveloppant de ses lèbvres, le caressant de sa langue douce et chaude. Dans le même temps, sa main gauche continuait de caresser les testiculles lourdes et gonflées de Sébastien, qui durcirent sous son contact.
Pendant ce temps, la main de Sébastien s'était finalement introduite, après avoir caressé les hanches et les rins, puis le dos de Sabrina, sous sa jupe, découvrant des bas noirs qui lui remontaient quasiment jusqu'en haut de cuisses fermes et fuselées, retenus par un porte-jarretelles de dentelle noire, et une culotte brésilienne assortie. Sébastien savoura le spectacle quelques instants, en même temps qu'il profitait de la fellation que lui offrait cette femme splendide.
Il entendait toujours les gémissement de NAthalie dans la pièce d'à côté, et les siens s'y joignirent bientôt, sous les assauts de la langue et des mains de Sabrina.
Ne voulant pas paraitre égoiste, et ayant envie de rendre à Sabrina une partie de ce plaisir qu'elle lui offrait, il se mit à lui caresser la cuisse, sur le flanc pour commencer, descendant jusqu'au genou, puis remontant sur l'intérieur de celle-ci pour s'arrêter à raz de la culotte, où il pouvait déjà deviner un peu d'humidité. Ne voulant pas précipiter les choses, il redescendit la main, suivant la cadence qu'imprimait l'esthéticienne sur son sexe, caressant chaqe centimètre carré de cette cuise, et s'attardant régulièrement sur l'int"rieur du genou, endroit particuluièrement sensible semblait-il, puisque ce contact provoquait de petits gémissements chez Sabrina.
Celle-ci accéléra le rythme progressivement, ne voulant pas laisser à Sébastien le loisr d'imposer son propre rythme. Nathalie lui avait parlé de cet homme comme étant un amant formidable, et il lui tardait de voir si c'était bien vrai. Pour le moment, elle était ravie de voir qu'il ne restait pas passif sous ses caresees mais cherchait à participer, à lui rende un peu de ce plaisir. Et ses caresses délicates et fermes à la fois commencaint de l'emporter, mais elle ne voulait pas se laisser aller pour l'instant, même si elle sentait une chaleur qu'elle connaissait bien se développer dans le bas de son ventre, comme une onde de bien-être et de d"ésir qui se diffusait en elle en rythme avec les caresses de Sébastien.
Après quelques minutes de ce traitement, Sébastien choisit d'essayer de s'impliquer un peu plus dans le cours des évènements en glissant sa main sur la blouse de Sabrina, remontant vers les boutons qui retenaient sa poitrine, et l'interrogea du regard. Celle-ci retira le sexe de sa femme et lui adressa un sourire complice et ravi avant de fermer les yeux en un geste d'assentiment. Il ouvrit donc un à un les boutons de la blouse de la quadragénaire, et sa poitrine généreuse se libéra, s'offrant à la fois au rergard, mais aussi aux mains de Sébastien.
Elle s'était redressée, l'invitant à s'asseoir sur le bord de la table, et plongea son regard dans celui de l'homme qui se tenait là, nu comme un verre, le sexe fiérement dressé, comme s'il saluait la jeune femme. Qu'il était beau. Musclé mais pas trop, le corps bien bâti, le tore large et ferme. D'un geste, elle se libéra de la blouse qui tomba à ses pieds, dévoilant sa poitrine nue, son vente plat, et sa lingerie délicate aux yeux de son amant d'un jour.
Sébastien n'en croyait pas ses yeux. Sabrina était peut-être plus âgée que lui, mais elle était vraiment ravissante, et même plus que cela, elle était désirable et il avait envie d'elle, envie de la prendre tout de suite dans cette salle de soins.
Il s'avanca vers elle, déposa un tendre baiser sur ses lèvres avant de la faire monter à son tour sur la table en la prenant par la taille.
Docilement, elle s'allongea à moitié, après avoir redressé le dossier de la table de massage, et plongea son regard dans celui de Sébastien alors que celui-ci se baissait doucement vers son intimité, caressant du regard et des mains son ventre, ses hanches... Qu'il était doux dans ses gestes... Il descendit ainsi juqu'à ses pieds, qu'il débarassa de ses hautes bottes marron, puis remontat doucement, avec des gestes lents et prècis vers son entrecuisse, s'y attardant quelques instants avant de redescendre faire de même avec son autre jambe.
Les gestes de Sébastien étaient si tendres, si doux, que Sabrina sentait son intimité en feu, elle se sentait mouiller abondamment et les effluves qui se dégageaient de son sexe commencaient de leur monter à la tête, parfum enivrant de femme brûlant de désir. Elle ne pouvait plus s'exprimer que par des gémissements, et elle avait l'impression que sa respiration se faisait de plus en plus courtes à chaque seconde.
Après quelques minutes de ce traitement, Sébastien finit enfin par s'arrêter sur l'intimité de Sabrina, l'une de ses mains continuant de s'occuper de la jambe droite de Sabrina, qui lui semblait la plus sensibl, pendant que la seconde se glissait sous les coutures de la culotte de dentelle, ouvrant le passage à sa bouche, qui venait de passer quelques minutes à lécher, caresser, titiller alternativement chacun de es tétons.
Sabrina sentait son corps lui échapper. Elle n'était plus que plaisir et désir sous les attentions de cet homme. Plus rien n'existait au monde queces sensations intenses, qui commencèrent de culminer à l'instant où ses doigts, muis ses lèvres, finirent par se frayer un chemin vers sa vulve gonflée de désir et son clitoris déjà gonflé jaillissant de sa cachette.
De sa main gauche, il parvint à faire glisser la culotte, pendant que les doigts agiles de sa main droite caressaient ses grandes lèvres, puis les petites. Sa bouche n'étant pas en reste, ses lèvres se refermant autour de son petit bouton pour l'aspirer en même temps que le dessous de sa langue venait caresser celui-ci. Elle se sentait légère comme une plume. Jamais encore elle n'avait ressenti une telle explosion de plaisir soudain. Elle ne put retenir un cri de plaisir à l'instant où elle ressentit un premier orgasme.
Les yeux écarquillés par la jouissance, le souffle court, elle biassa le regard sur Sébastien, qui, loin de s'arrêter là, continuait de la caresser, de la lécher, sa langue venant se glisser entre ses lèvres et s'introduire dans son vagin, provoquant une nouvelle vague de plaisir qui lui provoqua un rale accompagné d'une grimace de jouissance.
Elle sentait déjà deux doigts dans sa vulve, qui écartaient délicatement ses lèvres pour que la lange puisse se frayer plus aisément un chemin vers son vagin, venant s'agiter à l'entrée de celui-ci alors que ces deux doigts l'accompagnaient, venant caresser tendrement les parois internes de son vagin, douces et soyeuses.
Excitée au plus haut point, elle ressentait chaque mouvement des doigts et de la langue de Sébastien, son souffle chaud sur ses grandes et petites lèvres qui frémissaient. Il lui semblait qu'elle allait exploser sous une telle avalanche de plaisir. Elle eût même l'impression que son coeur allait s'arrêter à l'instant où elle ressentit deux nouveaux orgasmes, quasi-simultanés.
Ce n'est qu'après ces deux orgasmes simultanés que Sébastien ralentit le rythme de ses caresses, retira ses doigts de ce sexe de femme ruissellant, embrassa à quelques reprises et avec tendresse le clitoris qui entamait son repli. Il continua toutefois de caresser ses jambes, son ventre, sa poitrine et ses hanches, calant son rythme sur celui de la respiration de Sabrina, qui ne pouvait pour le moment parler, cherchant à reprendre ses esprits. Il accompagna ainsi sa redescente depuis les sommets de jouissance où il l'avait emmenée.
Leurs regards se croisèrent pour ne plus se quitter jusqu'à ce qu'elle eût suffisamment repris le contrôle de son corps et de ses sens pour se redresser, attirer les lèvres de Sébastien pour échanger .avec lui un long baiser langoureux.
"Merci... Je n'ai jamais eu d'expérience aussi intense, c'était vraiment incroyable, tu es un amant exceptionnel; tu sais?
Sébastien rougit, ne sachant quoi répondre, et plongea à nouveau son regard dans celui de Sabrina avant de l'embrasser avec tendresse, le sexe toujours dressé, comme Sabrina le nota presque immédiatement.
"Hé bien, je crois que j'ai une petite idée sur la façon dont je pourrais te remercier...."
A ces mots, elle prit Sébastien par la main, l'attirant contre elle tout en se dirigeant vers une porte au fond de la salle de soins, sur laquelle était marqué "privé".