Le blog de korrigancoquin.erog.fr
Ses mains si douces parcoururent la poitrine du skipper, jouant avec ses poils, caressant ses tétons, puis descendirent jusqu’à sa ceinture. Un sourire gourmand aux lèvres, Nathalie plongea son regard dans celui de cet homme, allongé sur la page avant du voilier, pendant que ses mains défaisaient la boucle de la ceinture et s’engageaient sous son bermuda. Celui-ci fût bientôt descendu à ses chevilles, révélant son boxer, déformé par une excitation déjà bien visible.
Voyant cela, Nathalie se passa la langue sur les lèvres, sa gourmandise éveillée par le spectacle. Ses mains jouaient avec l’élastique du boxer, dévoilant progressivement un gland légèrement violacé, perché au sommet d’une verge fièrement dressée. Alléchée, elle pencha son visage vers ce sexe offert, et sa langue passa sur cette friandise.
Sébastien eut un frisson. Il n’en croyait pas ses yeux, ni ses sens.
La langue s’activait sur le gland, sur le frein, les mains s’affairant à le débarrasser de ses vêtements. Il s’abandonnait sous ces caresses, transporté dans un autre monde.
Le bercement de la houle, combiné au savoir-faire de Nathalie, suscitait en lui des sensations inconnues. La chaleur de cette bouche, la douceur de ces lèvres et de cette langue passant sur sa hampe, sur ses bourses, ces doigts pétrissant et parcourant son sexe l’amenèrent au bord de l’explosion, et il prévint Nathalie.
« Ne t’inquiète pas pour ça, j’adore gouter au plaisir d’un homme », lui répondit celle-ci, avant de reprendre cette fellation experte.
La verge gonflée de désir se trouva ainsi emprisonnée au fond de la gorge. Sébastien n’aurait jamais cru que son sexe puisse tenir dans une bouche. L’excitation était à son comble, et en quelques spasmes, il eût tôt fait de remplir la bouche de Nathalie. Quelques gouttes seulement perlèrent sur des lèvres rouge vif, et Nathalie avala la quasi-totalité de sa semence avant de remonter échanger avec lui un baiser langoureux, partageant avec lui cette saveur acidulée, légèrement visqueuse et amère.
Puis elle s’allongea sur lui, la tête posée sur sa poitrine.
« Merci, lui dit-elle alors.
-Merci à toi, c’était vraiment… Vraiment divin et inattendu. », répondit le skipper.
Ils se remirent debout au bout de quelques minutes.
Philippe, depuis le cockpit, n’avait rien perdu de la scène qui s’était déroulée à l’avant du bateau. Sébastien et Nathalie le retrouvèrent nu, la main caressant son sexe et un large sourire aux lèvres.
Ils se retrouvèrent donc tous les trois dans le cockpit, et à la demande de Philippe, Sébastien mit le cap vers une petite crique difficile d’accès et prépara le mouillage. Il n’aurait jamais pensé que ce terme puisse s’appliquer à ce point à la situation.
Ils jetèrent l’ancre dans cette petite anse, à l’abri des regards et des touristes, connue seulement des marins du coin.
Une fois la manœuvre effectuée, Sébastien retrouva à l’arrière du bateau le couple en train de se caresser mutuellement. Sans mot dire, Philippe et Nathalie l’invitèrent d’un geste à se joindre à eux. La femme était à nouveau en train de lécher le sexe de son mari, la croupe fièrement dressée vers les cieux. Sébastien s’approcha et déposa un baiser sur une de ses fesses. Elle sentait bon la femme et la volupté, chaude de désir, trempée de celui-ci.
Il passa ses mains sur ses fesses, et descendit sur ses cuisses. Par-dessus la chevelure de Nathalie, il croisa le regard de Philippe, et perçut l’assentiment de celui-ci. Il s’aventura alors entre les fesses de Nathalie. Son visage caressait chacune de celles-ci, alors que ses mains caressaient tantôt sa cuisse, tantôt son clitoris ou ses lèvres entrouvertes par le désir qui l’envahissait.
Sa langue passa sur son petit trou, alors que ses doigts commençaient à trouver une voie en elle. Son corps tout entier ondulait sous les caresses et la langue du skipper. Sa langue trouva le chemin de son vagin, et caressa doucement ses lèvres entrouvertes. Deux de ses doigts lui avaient ouvert la voie, et il pût ainsi insinuer sa langue entre les petites lèvres, jusqu’en elle, alors que sa main caressa sous le fin duvet et la pellicule de peau qui cachait son clitoris, en cercles de plus en plus rapprochés. Il sentit le corps de Nathalie se crisper, puis être parcouru de spasmes comme il continuait ce cunnilingus et ces caresses.
Philippe, lui, était à nouveau penché en arrière, la tête renversée et un sourire d’extase sur le visage. Il sentit sa femme se contracter comme elle expérimentait un orgasme, puis se détendre et se laisser aller au plaisir.
Sentant cet orgasme lui aussi, Sébastien attrapa l’une des mains de Nathalie et l’amena sur son pubis, l’invitant ainsi à prendre le relais de sa main.
Pendant ce temps, il avait interrompu son cunnilingus pour saisir le préservatif que lui tendait Philippe. Il enfila celui-ci tout en prolongeant ses caresses buccales sur l’intimité de Nathalie.
Elle se mit à se caresser. Elle savait ce que préparait Sébastien, et elle le savourait à l’avance. Elle ralentit donc sa fellation, et Philippe observa Sébastien se préparant à investir cette femme.
Le skipper se redressa, continuant de caresser les cuisses et les fesses de Nathalie, et présenta son sexe à l’entrée du vagin de celle-ci. Le gland entra en contact avec les grandes lèvres, et commença de se frayer doucement un chemin, et entra finalement en elle. Elle sentit ce corps étranger entrer en elle, dur et chaud, puis, d’un coupe de rein, Sébastien la pénétra jusqu’à la garde. Elle eut un petit hoquet de surprise, ses yeux s’agrandirent puis s’étrécirent sous la décharge de plaisir comme il commença des mouvements de va-et-vient.
Il se trouvait derrière elle, la prenant en levrette sous les yeux de son mari, celui-ci recevant de sa femme une splendide fellation. L’excitation du trio était à son comble. Les mains parcouraient les corps, l’un des doigts de Sébastien se frayant également un chemin dans le petit trou de Nathalie en même temps que son sexe envahissait celle-ci. L’une des mains de Nathalie s’occupait du sexe de son mari, l‘autre la masturbait tendrement. Les mains de Philippe couraient sur le corps de sa femme, sur ses seins, sa nuque.
Après quelques minutes, Sébastien se redressa sur un signe de Philippe. Celui-ci désirait prendre sa femme. Elle se redressa, retira le préservatif de Sébastien et le prit en bouche comme celui-ci la positionnait pour pouvoir s’introduire dans ce vagin déjà dilaté par les assauts du skipper. Il se coucha sur le dos, et elle vint s’empaler sur son vit dressé, le sexe de Sébastien à la main. Elle continuait de la masturber, couchée sur son mari. Celui-ci, couché sur le banc, tendit un nouveau préservatif à Sébastien. Il l’enfila, pendant que sa main préparait délicatement le petit trou de Nathalie à le recevoir. Se tenant derrière elle, il introduit un doigt, puis deux, à l’intérieur de la femme. C’était chaud et doux, quoiqu’un peu étroit Il eût peur de lui faire mal et s’en ouvrit au couple.
« Ne t’en fais pas, le rassura-t-elle. Tu ne seras pas le premier à passer par-là, et j’ai terriblement evie de savoir ce que cela fait d’être prise par deux homme à la fois. »
Rassuré, il s’exécuta. Son gland vint se positionner à l’entrée de l’anus, et entra progressivement en elle, d’un demi-centimètre. Puis, d’un grand coup de rein, il pénétra à nouveau en elle. Elle eût un hoquet, comme un cri, qui se mua en gémissement comme elle ressentait en elle la présence de ses deux amants. Philippe et Sébastien aussi ressentaient la présence de l’autre à travers la mince paroi qui les séparait. La situation, les sensations étaient terriblement excitantes.
Ils continuèrent ainsi quelques instants, et Nathalie eut un premier orgasme, mais aucun des deux hommes ne voulait s’arrêter en si bon chemin. Se retirant d’elle, Sébastien changea à nouveau de préservatif, et parvint au prix d’une petite gymnastique à venir rejoindre Philippe, leurs deux sexes pénétrant successivement puis ensemble le vagin de Nathalie qui se sentait totalement remplie par ces deux sexes. Les gémissements se muèrent en grognements de plaisir pour les trois partenaires. Les deux sexes se caressaient en la pénétrant, elle était totalement emplie, embrassant alternativement et à pleine bouche ses deux amants, la jouissance montant à nouveau en elle en une immense vague de plaisir.
L’atmosphère torride les emmenait tous les trois sur des rives de plaisir inconnues. Ils se laissaient porter par leurs désirs, et finalement, à quelques secondes d’écart à peine, Philippe finit par s’abandonner dans le vagin de sa femme comme celle-ci ressentait un nouvel orgasme, et Sébastien finit par remplir le préservatif de sa semence, restant quelques instants immobile en elle, son sexe et celui de Philippe parcourus de spasmes excitant encore davantage l’intimité de Nathalie qui eût immédiatement un nouvel orgasme.
Ils s’écroulèrent alors tous les trois dans le cockpit, un sourire complice sur leurs lèvres.
« C’était divin ! », remercia Nathalie, embrassant tendrement ses deux amants.
A SUIVRE